A ce jour, personne n'a pu m'expliquer comment les meilleurs experts de ces questions qui ont recommandé au gouvernement d'alors, et au nom de la science, l'abandon de la vaccination obligatoire, soutiennent aujourd'hui, au nom de la même science, qui finalement, non, ils se sont trompés, et que pour le bien de l'humanité, ce ne sont pas trois vaccins qu'il faut rendre obligatoires, mais, officiellement, selon la ministre de la Santé, Agnès Buzyn, ses cautions « scientifiques » et leurs relais médiatiques, leurs « journalistes », nous parlent en boucle de 11 vaccins obligatoires
Vraiment ? Seulement 11 vaccins ? Est-ce vraiment le cas ou nous prennent-ils pour des imbéciles ?
Lorsque dans une précédente lettre, j'ai relaté les informations qui nous avaient été transmises par un pédiatre du Lyon au sujet des 11 vaccins qui seraient 21, j'ai oublié de préciser que la ministre de la Santé et les pros « vaccins-à-tout-prix-et-quoi-qu'ils-contiennent ») avaient changé le nombre de vaccins par le nombre de maladies qu'ils sont censés combattre
Il suffisait d'y penser, car parler du nombre exact de vaccins risquait de faire peur aux parents et aux futurs parents, ce qui sera sans doute le cas lorsque vous en prendrez connaissance.
Pour comprendre l'entourloupe, il faut savoir qu'une même maladie peut être provoquée par plusieurs dizaines de bactéries ou de virus différents.
Ainsi, pour protéger les nourrissons d'une maladie, il faudrait leur inoculer autant de vaccins, c'est-à-dire d'antigènes, que de virus ou de bactéries qui provoquent la maladie
Par exemple, contre les infections à pneumocoques, il existe plus de 7 souches différentes de bactéries dont chacune peut également appartenir à plus de 80 sérotypes différents Si l'on voulait intégralement vacciner les enfants contre les pneumocoques, il faudrait donc leur inoculer des centaines d'antigènes, c'est-à-dire des centaines de vaccins...
Suite aux questions qui m'ont été posées « Vous en êtes certain, il y a plus de 11 vaccins ? », « Comment cela, 21 vaccins, mais lesquels ? », j'ai sollicité divers spécialiste, pédiatres, pharmaciens, chimistes, etc., et, en réalité, c'est bien plus de 21 vaccins qui vont être inoculer aux nourrissons.
Beaucoup plus, car notre décompte actuel, basé sur le fait qu'un vaccin est un antigène spécifique destiné au système immunitaire afin qu'il produise des anticorps spécifiques, en dénombre 73 !
73 vaccins vont être inoculés a des nourrissons entre 2 et 18 mois...
73 vaccins avec leur aluminium et autres substances hautement toxiques dont on protège par ailleurs les chiens et les chats.
Le marché des vaccin, obligatoires, est un marché juteux pour l'industrie pharmaceutique, une sorte d'impôt de naissance que les parents doivent payer ! Sans compter les bactéries, ni la bêtise, on évaluerait à 400 000 le nombre de virus susceptibles de générer une maladie humaine, vont-ils aller jusqu'à nous imposer 1 vaccin par virus et 1 par bactérie ?
Mais à combien de vaccins s'arrêteront-ils ?
* * *
Tout comme la Convention d'Helsinki, le « Libre consentement éclairé », qui faisait de nous des citoyens protégés des tentatives d'expérimentations humaines et qui nous rendait responsables de nos corps et de ceux de nos enfants, est jeté aux orties.
Sans doute pour que nous ne puissions pas nous opposer à la vaccination des nourrissons de deux mois contre une maladie sexuellement transmissible ou à celle des garçons contre le risque du cancer du col de l'utérus !
En France on nous explique que tout va bien madame la marquise et on nous balance les statistiques de pseudos études « scientifiques » qui, lorsqu'on y regarde de plus près comme le font les 28 000 volontaires, tous scientifiques, de Cochrane, se révèlent soient inexistantes, soient biaisées, soient tronquées.
Il faut faire siens les mots de Churchill : « Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées ». En réalité, que ce soit hier au Canada, en Angleterre, au Brésil, ou aujourd'hui en Inde ou aux Philippines (où le dernier vaccin de Sanofi-Pasteur contre le virus de la Dengue a été inoculé à 750 000 enfants parmi lesquels on compte à ce jour 14 décès dont de spécialiste et médecins Philippins associent à ce vaccin malgré les dénégations du groupe pharmaceutique Français), les vaccinations infantiles de masse provoquent toujours des milliers, des centaines de milliers de drames humains !
Ne nous trompons pas de combat, ce qui est en cause aujourd'hui, ce n'est pas le principe de la vaccination, même s'il ne doit pas échapper au débat scientifique, ce qui est en cause aujourd'hui :
- ce sont les substances utilisées pour fabriquer ces « vaccins », certaines sont mortelles ;
- c'est la « pertinence » physiologique de vacciner des nourrissons de six semaines ;
- c'est l'absence la plus élémentaire d'évaluation des risques pour chaque nourrisson, pris individuellement (les bébés ne sont pas des machines identiques au service des lubies de rentabilité des actionnaires des laboratoires pharmaceutiques) ;
- c'est la vaccination de masse qui nie les particularités individuelles qui rendent des nourrissons allergiques à toute vaccination. Certains en meurent !
Et, enfin, ce qui est en cause, ce sont nos droits de femmes et d'hommes libres d'être responsables de nos corps face à la dictature médicale qui se met en place.
Ne nous y trompons pas, en son temps, Benjamin Rusch, signataire de la déclaration d'indépendance des Etats-Unis d'Amérique avait dénoncé ce risque : « A moins que nous n'incluions la liberté thérapeutique dans notre Constitution, la médecine installera un jour une dictature que nous sommes incapables de concevoir pour le moment. »
Hélas, il semblerait qu'en France le moment soit arrivé sous le forme de ces hallucinantes et obligatoires vaccinations de masse qu'absolument rien de scientifique ne justifie.
Nous devons lutter, nous devons résister, nous devons nous opposer et nous sommes convaincus que seules les plaintes pénales les feront reculer !
Si vous partagez notre combat, si le sort des 800 000 bébés à naitre en 2018 ne vous est pas indifférent, si vous n'acceptez pas la violation de nos droits fondamentaux d'être humain par le Parlement et Gouvernement, rejoignez-nous, il y a urgence !
Nous vous proposerons prochainement de signer une plainte pénale avec nous. Cette plainte, dans sa première version qui est mise à jour pour y intégrer des éléments et des faits nouveaux, a déjà été signée par plus 800 personnes en quelques jours. Soyons 1000, soyons 10 000 à la signer, plus nombreux nous serons, plus nous serons forts.
Bonne année 2018 !
Pierre Lefevre