En Tanzanie, le gouvernement prévoit un budget de 69,2 milliards de shillings (26,5 millions $) pour financer la campagne nationale de vaccination et d’identification du cheptel en 2025. Selon les informations relayées par les médias locaux, ce programme, qui débutera officiellement le 16 juin 2025 à Bariadi, vise à protéger le cheptel contre cinq maladies contagieuses prioritaires, dont la péripneumonie contagieuse des bovins (PPCB), la peste des petits ruminants (PPR), la maladie de Newcastle (MN), la variole et la grippe aviaire.
La République du Congo se prépare à rejoindre le cercle mondial des fournisseurs de potasse avec le développement de la mine Kola. Ce projet piloté par le britannique Kore Potash peut livrer jusqu’à 50 millions de tonnes de potasse sur une durée de vie de 23 ans.
La compagnie pétrolière malaisienne est un acteur important de la production d’hydrocarbures sur le continent africain, avec notamment des activités au Soudan, en Afrique du Sud, en Égypte, au Niger, au Sénégal, entre autres.
Au Nigeria, le secteur agricole contribue à hauteur de 22,7 % au PIB et emploie environ 34 % de la population active. Le pays qui dispose d’un grand potentiel agricole encore largement sous exploité suscite l’intérêt d’investisseurs privés désireux de contribuer à sa transformation.
Dès son arrivée au pouvoir, le gouvernement ghanéen a placé la réduction des prix de l’Internet parmi ses priorités dans le secteur des télécommunications. Un comité a même été mis en place à cet effet. 
Depuis quelques mois, Africa Energy est devenue l’opérateur du bloc offshore 11B/12B, suite aux retraits de TotalEnergies, QatarEnergy et CNR International du site en juillet 2024. L’entreprise avait indiqué son engagement à rester active sur le site malgré ces retraits.
La nomination stratégique d’Angela Jain reflète l’ambition du géant américain du divertissement de miser sur les créations originales locales pour booster son streaming à l’international.
A la tête du Centre national d’investigations numériques (CNIN) du Bénin, Ouanilo Medegan nous livre une analyse du paysage numérique et sécuritaire de son pays. Dans un contexte de multiplication des cybermenaces et d’enjeux croissants autour de la souveraineté technologique, il revient sur le rôle central de son institution, les dynamiques de coopération sous-régionales et internationales, et la nécessité d’ancrer l’action numérique dans une vision de souveraineté stratégique. Une conversation pour comprendre les défis et les priorités de la cybersécurité en Afrique de l’Ouest.
Le fonds uMunthu II projette d’entrer au capital de Hinckley. L’investissement vise à renforcer les capacités de traitement de l’entreprise, dans un pays où la gestion des déchets reste peu développée. Ce projet illustre l’intérêt croissant des investisseurs pour un secteur en plein essor en Afrique subsaharienne.
L’économie numérique africaine, qui devrait représenter entre 5,2 % et 8,5 % du PIB d’ici 2050 selon la Société financière internationale (IFC), souffre d’un retard majeur en formation tech. Les initiatives privées se multiplient pour favoriser l’inclusion numérique des jeunes.  
Le groupe bancaire kényan a engagé des discussions avec la Banque centrale d’Ethiopie. Cette démarche intervient après l’adoption, en 2024, d’une loi ouvrant le secteur bancaire éthiopien aux investisseurs étrangers. KCB pourrait bientôt obtenir une licence bancaire ou acquérir des parts dans une banque locale.
Dans un contexte de développement rapide de l’économie numérique en Afrique, l’importance d’un service internet accessible et de qualité n’est plus à démontrer. Garantir son accès à tous est aujourd’hui un enjeu de croissance économique et sociale.
Kamoa-Kakula, la plus grande mine de cuivre de la RDC, a enregistré une hausse de sa production à 437 061 tonnes en 2024. Une dynamique que son opérateur Ivanhoe Mines espérait prolonger en 2025, avec des prévisions initiales comprises entre 520 000 et 580 000 tonnes.
Les énergies renouvelables renforcent la viabilité dans des secteurs stratégiques en pleine croissance en Afrique, dont les télécoms. L’exemple de Vodacom montre comment un approvisionnement propre peut soutenir des opérations essentielles tout en réduisant leur empreinte carbone.
En Algérie, la datte constitue le deuxième produit agricole d’exportation après le sucre. Le gouvernement qui souhaite accroître davantage la contribution de cette filière aux recettes d’exportation, cherche de nouveaux débouchés pour sa production sur le marché international.
Le portefeuille de Perseus Mining est concentré en Afrique de l’Ouest, où elle opère les mines Yaouré et Sissingué en Côte d’Ivoire, et Edikan au Ghana. La société devrait étendre sa base en Afrique de l’Est d’ici 2027, avec la mise en service de la mine Nyanzaga en Tanzanie.
Une centaine de journalistes et chercheurs sont réunis à Abidjan, en Côte d’Ivoire, cette semaine pour une rencontre stratégique qui traite de la santé humaine, animale, végétale et environnementale, autour du thème : « une seule santé ».
Le Nigeria explore différentes alternatives pour mobiliser le financement nécessaire à l’exécution du budget de l’État. Le pays avait engagé des négociations dans ce cadre avec la société publique saoudienne du pétrole Saudi Aramco.
Les compétences numériques constituent un pilier essentiel de la transformation numérique engagée dans de nombreux pays à travers le monde. D’ici 2030, près de 230 millions d’emplois nécessiteront ces compétences rien qu’en Afrique subsaharienne, selon la Banque mondiale.  



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