En Afrique de l’Ouest, le Burkina Faso est 4ème producteur de tomates derrière le Nigeria, le Ghana et le Niger. Face à une forte dépendance à l’importation de purée de tomates, le gouvernement intensifie ses efforts pour développer une industrie de transformation locale dans la filière.
Les pays africains essaient de se mettre au pas de la révolution technologique en cours dans le monde. Cela exige d’eux de porter attention à plusieurs volets importants, dont celui de la cybersécurité.
A la suite de travaux d’ingénierie menés tout au long de l’année 2024, le projet pétrolier Baleine dirigé par la compagnie italienne Eni en Côte d’Ivoire, a atteint une nouvelle étape opérationnelle en décembre 2024 avec le lancement de sa phase 2.
Le principal opérateur de télécommunications en Éthiopie, Ethio Telecom, compte un total de 78,3 millions de clients pour une population estimée de 128 millions d’habitants. En tant qu’opérateur public, Ethio Telecom accompagne les efforts de transformation numérique du gouvernement.
Le 30 décembre 2024, le gouvernement guinéen a officialisé le rachat des 75 % de parts détenues par MTN Group dans la société télécoms Areeba Guinée S.A. L’Etat détient désormais 87,5 % de l’entreprise.
Au Maroc, l’élevage figure parmi les secteurs agricoles les plus affectés par les impacts de la sécheresse. Pour soutenir la relance des élevages locaux et de l’industrie de la viande, le gouvernement mise sur l’approvisionnement en bétail vivant sur le marché international.
Malgré son énorme potentiel, l’Afrique fait encore figure de petit poucet en matière de déploiement de solutions solaires comparativement aux autres régions du monde. Le continent n’a installé que 0,5% des nouvelles capacités mondiales durant l’année écoulée.
La mondialisation et la digitalisation ont contraint les pays à adopter de nouveaux référentiels en matière de finances publiques. Au Burkina, le gouvernement veut aligner les compétences de ses cadres et professionnels aux nouvelles exigences mondiales. 
Alors que l’hydrogène vert est appelé à jouer un rôle clé dans la transition énergétique mondiale, la Namibie entend se positionner comme acteur majeur de ce secteur. Toutefois, la concrétisation de cette ambition dépendra surtout de la capacité du pays à mobiliser les financements pour les projets.
Le cycle 2025 d’attribution de licences pétrolières fait partie d’un ensemble de mesures que préparent les autorités congolaises en vue d’accroître la production de pétrole brut actuellement autour de 267 000 b/j et l’exploitation du potentiel en gaz naturel du pays.
Au Maroc, la pastèque représente la troisième source de recettes d’exportations de l’industrie fruiticole, après les fruits rouges et les agrumes. Fortement affectée par les effets de la sécheresse persistante, la filière peine à maintenir ses performances à l’export. 
Robex Resources exploite au Mali la mine d’or Nampala depuis 2017. La compagnie canadienne y a déjà produit 230 000 onces d’or. En 2024, le gouvernement malien a doublé sa participation dans cette mine située à 250 km de Bamako.
Les besoins de financement en 2025 sont estimés à près de 1200 milliards FCFA (1,9 milliard $) dont 610 milliards FCFA d’émission de dettes moyen et long termes et 545 milliards sur le marché financier régional (BAT et OAT).
Surnommé Dr Copper, le cuivre est un indicateur de l’état de l’économie mondiale. En 2025, son prix devrait notamment être influencé par l’arrivée au pouvoir de Donald Trump et les performances de l’économie chinoise. Des développements qui seront particulièrement surveillés en RDC et en Zambie.
Alors que les organisateurs annonçaient son retour pour 2024, les Kora Awards ont finalement été reportés après des problèmes de coordination avec l’Afrique du Sud qui devait être le pays hôte. Finalement, cet événement pionnier dans l’industrie musicale africaine a peu de chances de se tenir au 1er semestre 2025.
Bien que les jeux sur console et sur PC gagnent du terrain dans certains pays africains, le segment des jeux mobiles représente près de 90% du marché africain du gaming grâce notamment à l’amélioration de l’accessibilité financière des smartphones et au développement de la connectivité réseau à large bande passante.
Le gazoduc ouest-africain qui transporte du gaz du Nigeria vers le Bénin, le Togo et le Ghana, est un élément clé de la production d’électricité de ces pays. Ces dernières années, les travaux de maintenance sur l’infrastructure ont souvent affecté la disponibilité de l’électricité dans ces pays.
L’année dernière, Trident a signé un accord pétrogazier avec TotalEnergies. Le contrat a impliqué la cession à TotalEnergies de 10 % dans le champ en mer Moho, et l’acquisition par Trident de 53,5 % dans les permis Nkossa et Nsoko II, tous situés au Congo.
First Quantum visait une production maximale de 395 000 tonnes en 2024 pour ses deux mines de cuivre en Zambie. La compagnie canadienne a légèrement dépassé ses prévisions.
Le Maroc fait figure de leader des énergies vertes en Afrique grâce à d’ambitieux projets comme Noor et Green H2A. Au cœur de sa stratégie, l'hydrogène vert qui attire des acteurs tels que Sparc Hydrogen, renforçant les efforts du pays pour une transition énergétique durable.
Le marché nord-africain importe chaque année plus de 30 millions de tonnes de blé soit environ les deux tiers de sa consommation. L’Egypte, l’Algérie et le Maroc en sont les principaux moteurs.
Dans cet entretien, la directrice régionale de la Société financière internationale (SFI) pour l'Afrique de l'Ouest anglophone et l'Afrique centrale, souligne les priorités de l'institution dans la région, notamment le soutien aux PME et l'amélioration de l'accès au financement. Elle met en avant l'importance de la diversification économique, en particulier au Congo, et réaffirme l'engagement croissant de cette entité du groupe de la Banque mondiale, dédiée au secteur privé, aujourd'hui présente dans 40 pays d’Afrique.



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