Au Gabon, Genmin vise le début de la production de minerai de fer sur sa mine Baniaka en 2026. Pour atteindre cet objectif, la compagnie doit mobiliser 200 millions $ pour financer les travaux de construction, selon une étude de préfaisabilité publiée en 2022.
Depuis sa création en mars 2020, le Fonds souverain de Djibouti a concentré ses investissements sur le territoire national, bâtissant un portefeuille de plus de 50 millions $ dans des secteurs clés. Il envisage désormais de diversifier ses placements en se tournant vers des actifs stratégiques à l’étranger, afin de renforcer son impact économique et saisir de nouvelles opportunités de croissance.
Au Kenya, le Bloc économique de la région du lac est la principale zone agricole du pays. Face aux défis climatiques persistants dans cette région, le gouvernement renforce sa coopération avec les partenaires internationaux pour améliorer la résilience de l’appareil productif.
En février 2025, le gouvernement de la République du Congo a nommé un directeur général à la tête de l’Agence nationale de sécurité des systèmes d’information (ANSSI). Il a été reçu par son ministre de tutelle.
Sonatel poursuit son engagement dans la transformation numérique du Sénégal. Après un accord récent entre sa fondation et le ministère de l’Éducation nationale, le groupe renforce sa collaboration avec une autre institution publique.
Après des évaluations sur le puits MOU-5 du périmètre Guercif, la société Predator Oil & Gas a réussi à confirmer le potentiel en hydrocarbures du site via l’identification d’une formation géologique carbonatée.
La transformation numérique revêt des enjeux économiques considérables pour les gouvernements africains. Cependant, pour en tirer pleinement parti, il est crucial que toutes les populations aient accès à Internet.
Les autorités ivoiriennes comptent ériger le pays en un hub technologique régional dans les années à venir. Elles multiplient les actions pour atteindre cet objectif, notamment des accords de partenariats internationaux.
Au cours des trente dernières années, le secteur télécoms africain a enregistré une forte croissance. Cette embellie lui a valu une attention accrue des gouvernements en quête de nouvelles ressources financières. Mais une pression excessive sur le secteur met en péril sa viabilité à long terme ainsi que les revenus qu’il génère.
L’adoption du haut débit reste limitée en Afrique. Par exemple, environ 73 % de la population d’Afrique subsaharienne n’utilise pas l’Internet mobile. 
La RDC fournit plus de 70 % de la production mondiale de cobalt, mais l’essentiel est raffiné en Chine, qui possède par ailleurs plusieurs mines congolaises via ses entreprises minières. Alors que les tensions commerciales persistent entre Pékin et Washington, Kinshasa pourrait en faire les frais.
Selon la BAD, la contribution du secteur minier au PIB mauritanien s’est établie à 24% en 2022. Cette performance est principalement attribuée à l’exploitation de l’or et du minerai de fer. Elle ne reflète néanmoins pas totalement le potentiel minier largement diversifié du pays.
Selon la BAD, la contribution du secteur minier au PIB mauritanien s’est établie à 24% en 2022. Cette performance est principalement attribuée à l’exploitation de l’or et du minerai de fer. Elle ne reflète néanmoins pas totalement le potentiel minier largement diversifié du pays.
Le président nigérian vient de promulguer la loi sur les investissements et les valeurs mobilières, qui établit un cadre légal pour les cryptomonnaies en les classant comme des actifs financiers supervisés par la Securities and Exchange Commission.
L’Algérie multiplie les initiatives pour renforcer sa présence sur le marché régional de l’électricité. Ces dernières semaines, le pays a annoncé son intérêt à contribuer à l’évolution de ce secteur, notamment au Niger et en Éthiopie, entre autres.
La BOAD accorde 50 milliards FCFA au Niger pour recapitaliser la Sonibank, banque publique en difficulté. Une opération importante pour préserver la stabilité d’un secteur bancaire nigérien sous haute tension.
En pourparlers avec Kinshasa pour une potentielle entrée sur le projet Manono, Rio Tinto rejoint la liste des compagnies intéressées par le lithium congolais. Si l’information, rapportée en fin de semaine dernière par Bloomberg, se confirme, ce serait un signal fort, à contre-courant de la tendance actuelle du marché, qui révèle un basculement stratégique dans la compétition mondiale pour les métaux critiques.
Les pays d’Afrique de l’Ouest importent environ 60 % de leurs besoins en produits laitiers. Dans ce contexte où la production locale reste insuffisante face à la demande croissante, ce marché attire l’intérêt de nouveaux exportateurs.
En 2024, Aya Gold & Silver a produit 1,65 million d’onces sur sa mine d’argent Zgounder au Maroc. La compagnie a achevé aussi l’année dernière un projet d’agrandissement de la mine, avec l’ajout d’une nouvelle usine de traitement qui permet d’augmenter la production.
Le gisement de Manono en RDC fait partie des plus grandes réserves inexploitées de lithium au monde. D’après AVZ Minerals, il héberge au moins 400 millions de tonnes de ressources minérales. Son exploitation fait toutefois l’objet d’un litige judiciaire.   



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