Mieux intégrer les dimensions écologique et humaine afin de répondre à l’urgence climatique et aux nouvelles aspirations des Franciliens : telle est la feuille de route fixée par la Région Île-de-France pour la révision du Schéma directeur régional (Sdrif).
Pour initier ce nouveau récit, L’Institut engage une série de rencontres et d’entretiens afin d’esquisser le(s) chemin(s) vers l’horizon 2040-2050. Du 30 mars au 14 avril, cinq consultations thématiques diffusées en direct sur le site de L’Institut donneront la parole à des représentants d’institutions, du monde associatif, de l’entreprise, d’universitaires, de chercheurs. Parallèlement, des interviews-cadres seront réalisées afin de mieux appréhender les grandes tendances de notre société. Enfin, L’Institut recueillera les contributions des personnes morales qui le souhaitent et les mettra en ligne.

Le mois de février est toujours marqué par un niveau faible de la mobilité en Île-de-France et une tendance plutôt à la baisse par rapport à janvier, notamment pour les mobilités actives qui ont été particulièrement touchées par les conditions climatiques. Néanmoins, début mars, une reprise des déplacements semble s’amorcer. Des données à découvrir dans la nouvelle mise à jour du tableau de bord, enrichi ce mois-ci avec des données sur le profil journalier de la congestion routière.  

Le projet de Parc des Hauteurs est un dessein géographique : révéler les potentialités paysagères du plateau de Romainville, qui émerge telle une île dans l’Est parisien, en tissant ensemble des espaces ouverts aujourd’hui fragmentés. Initié par L'Institut Paris Region et porté depuis 2016 par l’établissement public territorial Est Ensemble, ce projet de transformation écologique, urbaine et culturelle d’un grand territoire est unique en

Île-de-France par son échelle, son ambition et l’originalité de ses approches. L'enjeu pour l'avenir sera de passer à l’acte afin d'ancrer dans le territoire ce projet stratégique pour le Grand Paris.

Les villes sont des lieux majeurs du point de vue énergétique en raison de leurs consommations (habitat, transports…) et des dommages environnementaux qu’on y subit. La question de la contribution des politiques d’aménagement à la transition énergétique se pose donc avec acuité aujourd’hui. C’est à cette question qu’était consacrée la quatrième séance de notre cycle « L'intranquillité des territoires - Crises, résiliences, basculements ».