En Île-de-France, environ 310 000 actifs travaillent dans le secteur des activités culturelles. Avec les restrictions liées à la pandémie de Covid-19, de nombreux domaines de la culture ont connu une très forte perte d’activité pendant le confinement strict du printemps 2020, mais certains se sont mieux relevés que d’autres : le livre a ainsi pratiquement retrouvé, début 2021, son niveau d’avant-crise. À l’inverse, la perte d’activité en 2020 est sévère dans le spectacle vivant et la musique, et perdure au début de 2021.

Depuis le début de la crise sanitaire liée à la Covid-19, les libertés publiques et la surveillance des déplacements de la population sont au cœur des préoccupations. Des expérimentations et des évolutions réglementaires ont accompagné cette crise pour faire respecter les consignes sanitaires, limiter la propagation du virus, et accroître la surveillance et le contrôle de la population. Si certaines technologies numériques sont promues à ce titre, leurs usages soulèvent cependant un certain nombre de questions.

Entre 2007 et 2017, la métropolisation s’est poursuivie en Île-de-France, avec une progression des emplois plus rapide que celle des actifs, accompagnée d’une part croissante des emplois qualifiés en cœur d’agglomération. Les cadres, premiers bénéficiaires de ces évolutions, tant en termes de centralité de leur résidence que de leur emploi, sont désormais les premiers utilisateurs des transports en commun. Pour les autres catégories socioprofessionnelles, l’allongement des distances domicile-travail pose la question de l’offre et de l’accès aux futurs aménagements de transport.

Nous publions deux Note rapide sur la place de l'eau dans la ville et la nécessaire gestion qui en découle. La première propose une approche historique, de l'hygiénisme du milieu du XIX^e siècle au développement des politiques écologiques urbaines et des aménagements dédiés à l'eau. La seconde note s'intéresse plus précisément aux techniques de gestion et à l'apport écologique de l'eau pour les villes.

La paupérisation et la grande précarisation de certaines copropriétés sont au cœur des processus de détérioration du parc privé francilien et contribuent à la persistance de poches d’habitat dégradé, tant dans l’agglomération que dans les centres urbains de périphérie. La question du traitement des copropriétés fragiles et en difficulté est un enjeu primordial d’un grand nombre collectivités franciliennes, dont la Région Île-de-France. Après vingt ans d’intervention, le conseil régional Île-de-France a souhaité disposer d’une évaluation de son dispositif ainsi que d’une vue actualisée sur l’action publique engagée en faveur des copropriétés. Missionné pour cela, L’Institut a réalisé un diagnostic visant à mieux cerner le rôle des aides régionales en la matière.