Bonjour , Cette semaine, dans Pour la Science, l’attribution de trois prix Nobel (physiologie-médecine, physique, chimie) braque les projecteurs sur les microARN, les réseaux de neurones artificiels, et le repliement des protéines. Surprise : les outils de l’intelligence artificielle sont pour beaucoup dans deux (la physique et la chimie) de ces prestigieuses récompenses scientifiques. Bonne lecture ! ● François Lassagne, rédacteur en chef à Pour la Science. |
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LA SCIENCE, CETTE SEMAINE |
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| | David Baker, Demis Hassabis et John Jumper sont distingués pour leurs travaux sur la prédiction de la structure tridimensionnelle des protéines, assistée par l’IA, à partir de leur séquence d’acides aminés. ● Par Loïc Mangin, rédacteur en chef adjoint à Pour La Science. | |
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| | John Hopfield et Geoffrey Hinton se sont inspirés d’outils issus de la physique pour développer des techniques d’intelligence artificielle reposant sur les réseaux de neurones. ● Par Sean Bailly, rédacteur et responsable des actualités à Pour la Science. |
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Spécialiste de l’épigénétique, Edith Heard a contribué à la mise au jour des mécanismes fondamentaux qui orchestrent l’inactivation du chromosome X chez les mammifères et en particulier l’humain. ● Par Marie-Neige Cordonnier, rédactrice en chef adjointe à Pour la Science. |
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| ✜ACTUS, DÉCOUVERTES & ECHOS DES LABOS |
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Comment Sycamore, le calculateur quantique de Google, a-t-il repris l’avantage sur les superordinateurs classiques ? |
La course à la « suprématie quantique » vient de connaître un nouveau rebondissement : les équipes de recherche de Google ont publié les résultats d’une expérience montrant que leur proto-ordinateur quantique, Sycamore, est venu à bout d’un calcul hors de portée du plus puissant supercalculateur classique. Cette revendication rappelle celle de 2019, par les mêmes équipes, à propos du même calcul (« l’échantillonnage de circuit quantique aléatoire »), qui fut rapidement infirmée par des équipes ayant obtenu les mêmes résultats avec des machines classiques… et le recours à des algorithmes dopant leurs capacités : les réseaux de tenseur. Le physicien Antoine Tilloy en détaillait le potentiel dans nos pages le mois dernier. L’histoire se répéterait-elle ? C’est peu probable. Cette fois, les chercheurs de Google ont amélioré leur dispositif, éliminant le « bruit » qui limitait les performances des puces quantiques, jusqu’à placer celles-ci hors d’atteinte des capacités des calculateurs classiques. |
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| | PHYSIQUE QUANTIQUE 🕒 26 minutes — | |
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Pour certains problèmes, les ordinateurs quantiques étaient supposés s’imposer face à leurs concurrents classiques. Mais grâce à une méthode efficace de compression des données, ces derniers n’ont pas dit leur dernier mot ! ● Par Antoine Tilloy, chercheur au centre automatique et systèmes des Mines Paris, au sein de l’université Paris Sciences et Lettres ; membre de l’équipe de recherche Quantic (laboratoire de physique de l’École normale supérieure, l’Inria, les Mines et le CNRS). |
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