L'essentiel de l'info ce matin.
| | | | Service après-vente contre service avant-lutte. Édouard Philippe était ce mercredi 11 décembre l’invité du journal de 20 heures de TF1 pour vanter la réforme des retraites qu’il avait détaillée quelques heures plus tôt. Au même moment, le patron de la puissante CFDT -rare syndicat favorable à un système par points- expliquait sur France 2 pourquoi il appelle désormais à rejoindre la mobilisation. |
| |
|
|
|
| | | | | Deuxième tentative. Après que le Sénat a rejeté une première proposition de loi du groupe de Patrick Kanner en mai, les socialistes profitent à nouveau d’une niche parlementaire. À l’Assemblée nationale cette fois, ils vont débattre en séance publique ce jeudi -après un report à cause de la grève- d’une nouvelle proposition de loi visant à reconnaître le crime d’écocide, à la veille de la clôture de la COP 25. |
| |
|
|
|
| | | | | Il accuse des policiers de lui avoir “cassé la gueule, littéralement”. Une enquête a été ouverte par le parquet de Lyon et confiée à l’Inspection générale de la police nationale (IGPN) après qu’un homme de 23 ans, Arthur N., a été lourdement blessé au visage lors de la manifestation lyonnaise contre les retraites mardi. |
| |
|
|
|
| | | | | Brexit. C’est le mot qui était sur toutes les lèvres pendant la campagne des élections législatives anticipées, organisées ce jeudi au Royaume-Uni. Et parmi les trois candidats en tête des sondages, chacun avait une position différente sur la question. |
| |
|
|
|
| | | | | "On nous a parachuté cinq bébés Bouteflika, c’est une blague de très mauvais goût..." Voici comment le réalisateur algérien Karim Moussaoui décrivait la présidentielle algérienne qui se profile dans sa chronique du 10 décembre, publiée par Le Monde. Comme lui, ils sont des millions à refuser ce qu’ils voient comme une parodie de scrutin, prévue ce jeudi. Pourtant réclamée par les manifestants au début de la contestation, l’élection est considérée par une part grandissante de la population comme un écran de fumée. |
| |
|
|
|
| | | | | Faut-il sauver Notre-Dame quitte à risquer la vie de 20 pompiers? Ou au contraire laisser ce symbole de Paris s’effondrer? C’est à ce dilemme cornélien qu’Emmanuel Macron -chef de l’État mais aussi des Armées- a dû répondre dans la nuit du 15 avril. La scène, capitale dans le sauvetage de l’édifice, a été filmée par l’Élysée. Elle fait partie des séquences inédites que TF1 diffusera dans “La bataille de Notre-Dame”, le 14 décembre à 13h30, et que Le HuffPost vous propose de découvrir. |
| |
|
|
|
| | | | |
|