| | | | Emmanuel Macron a annoncé mercredi 25 mars à Mulhouse le lancement d’une opération militaire baptisée “Résilience”, qui mobilisera les forces armées pour aider la population touchée par l’épidémie de coronavirus à l’approche du “pic qui est devant nous”. Cette opération, distincte de l’opération “Sentinelle”, “sera entièrement consacrée à l’aide et au soutien aux populations, ainsi qu’à l’appui aux services publics pour faire face à l’épidémie, en métropole et en Outre-mer” a affirmé le chef de l’État. |
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| | | | | À croire qu'il aura fallu une pandémie mondiale pour que la détresse des hôpitaux français soit entendue. À l'occasion de sa visite à l'hôpital militaire de campagne à Mulhouse, Emmanuel Macron a de nouveau salué le travail des professionnels de la santé. Surtout, il a promis un "plan massif d’investissement et de revalorisation de l’ensemble des carrières” à l’hôpital, promettant d’être “au rendez-vous de ce que nous devons”. |
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| | | | | Utiliser ou pas la chloroquine comme traitement contre le coronavirus, la question divise scientifiques et politiques. Interrogé ce 25 mars, le ministre de la Santé a refusé d’être celui qui “fait un pari sur la santé des Français”. “Je peux comprendre l’impression populaire qui peut résulter de déclarations de scientifiques qui disent ‘j’ai trouvé un traitement qui est formidable’. Mais j’entends aussi les scientifiques (…) qui expliquent que ce n’est pas parce qu’on dit qu’un traitement est bon qu’il est bon.” |
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| | | | | Des médecins cubains qui débarquent en Italie, brandissant drapeaux nationaux et portraits de Fidel Castro. L’image n’a pas de quoi rassurer l’Union européenne accusée d’avoir été en retard dans le soutien à l’Italie touchée de plein fouet par le coronavirus. Après la Chine, qui a livré des masques, voilà que Cuba offre à son tour ce que Bruxelles n’a pas su proposer: un contingent de spécialistes débarqués en urgence. Deux événements qui portent un sacré coup à l’image de l’Union européenne. |
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| | | | | La déclaration a choqué, mais elle n’est pas si surprenante que cela quand on s’attarde sur la façon dont Donald Trump gère l’épidémie liée au coronavirus. Mardi 24 mars, un élu républicain numéro deux du Texas n’a pas fait dans la demi-mesure en estimant que les personnes âgées, très vulnérables face à la maladie, devraient se sacrifier pour sauver l’économie. Cette peur panique pour l’économie plus que sur des pertes humaines n’est pas un cas isolé chez les républicains. Loin de là. |
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| | | | | Ne pas céder à la panique et redoubler de prudence en ce qui concerne les escroqueries en tout genre. Alors que la France lutte toujours contre l’épidémie de coronavirus, les autorités alertent régulièrement sur des arnaques. Entre les faux policiers qui distribuent des amendes à régler en espèces, les propositions pour décontaminer son logement ou encore les médicaments, kits de dépistage, masques et gels hydroalcooliques vendus en ligne, il faut plus que jamais être vigilant. |
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