L'essentiel de l'info ce matin
| | | | Exit Matignon, place au ministère du Travail. Alors que l’on entre dans le deuxième mois de grèves et de contestations contre la réforme des retraites, le gouvernement reprend le fil des discussions ce mardi 7 janvier avec les partenaires sociaux, comme annoncé avant Noël. Mais pour cette énième “semaine de la dernière chance” alors que le conflit dure et qu’aucune sortie de crise n’est pour l’instant connue, le gouvernement a décidé de changer de décor. |
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| | | | | Un autre coup de pression pour le gouvernement. Lundi 6 janvier, les salariés de la raffinerie Total de Grandpuits en Seine-et-Marne ont voté en assemblée générale la poursuite du mouvement de grève contre la réforme des retraites, alors qu’un appel à un blocage total des raffineries en France entre ce mardi 7 et le 10 janvier a été lancé par la CGT du groupe pétrolier. Déjà au ralenti depuis le 5 décembre, la seule raffinerie d’Île-de-France passe cette fois-ci au stade supérieur en bloquant la sortie de tout produit hors de son enceinte pendant quatre jours. |
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| | | | | Le choc, l’incompréhension et l’angoisse. Dans les premières heures de l’année 2015, la France est restée abasourdie trois jours durant. À la rédaction de Charlie Hebdo, dans les rues de Montrouge, à l’Hypercacher de la Porte de Vincennes et dans une imprimerie de Dammartin-en-Goële, un pays entier a suivi l’escapade meurtrière de trois terroristes. Cinq ans plus tard, alors que la France commémore les victimes ce mardi 7 janvier, des explications sont encore attendues quant à la préparation de ces actes terroristes et aux complicités dont ont bénéficié leurs exécutants. |
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| | | | | Imbroglio militaire. Dans la soirée du lundi 6 janvier, le chef du Pentagone a démenti le retrait des troupes américaines en Irak, quelques instants après la publication d’une lettre du commandant des opérations militaires américaines sur place qui annonçait la nouvelle et ce, en pleine crise entre l'Iran voisin et les États-Unis. Selon Mark Esper, ministre américain de la Défense, le courrier envoyé "par erreur" était un "projet de lettre non signé" qui "ne correspond pas à notre état d’esprit aujourd’hui." |
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| | | | | Un témoin potentiellement embarrassant: l’ancien conseiller de Donald Trump à la Sécurité nationale, John Bolton, s’est dit lundi 6 janvier prêt à être interrogé lors du procès en destitution du président américain, à condition d’être formellement convoqué par le Sénat. Cette annonce renforce la pression sur les élus républicains de la chambre haute du Congrès, dont le chef Mitch McConnell refuse d’accéder aux demandes de l’opposition démocrate désireuse d’entendre quatre hauts conseillers de Donald Trump avant le début du procès au Sénat. |
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| | | | | En fuyant au Liban, Carlos Ghosn a commis un acte “extrêmement regrettable”, a estimé ce mardi 7 janvier le groupe automobile Nissan, souhaitant continuer à poursuivre son ancien patron emblématique qu’il accuse de malversations financières. “Sa fuite vers le Liban sans la permission du tribunal, en violation des conditions de sa liberté sous caution, bafoue le système judiciaire japonais", écrit l’entreprise dans un bref communiqué. |
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