Bonjour John,
Que ne camoufle-t-on pas derrière les grands mots ?
"La déontologie, mon cher ami, la déontologie interdit de vendre du coaching... Nous sommes entre gens de bonne compagnie, enfin ! Il convient de bien se tenir en société. Saperlipopette, un vendeur de coaching, quelle horreur !"
Puisque le mot "déontologie" a été prononcé, je m'incline devant l'autel. Oublie-moi, je disparais dans le forêt lointaine où je vais expier de mes crimes. Oser parler de vente et de coaching, pouah, pestilentiel discours...
ou bien...
- Et si pousser à l'investissement sur soi-même était une excellente pratique ?
- Et si le coaching devait être étendu à une plus large population ?
- Et si tous les leaders avaient accès au coaching, cela ne changerait-il pas la face du monde ?
- Et si la majorité de nos concitoyens ignorait la valeur du coaching, et ne l'envisageait donc même pas ?
- Et si le coaching limitait le nombre d'échecs d'entreprises ou d'initiatives ?
- Et si le coach devait sortir de sa zone de confort pour aller au devant de la demande implicite qui est là, 80% du temps ?
- Et si beaucoup plus de coachs avaient la fibre de la vente, ça changerait quoi ?
- Et si, en réalité, beaucoup de coachs se camouflaient derrière les grandes envolées lyriques sur les bonnes pratiques, qui font florès sur les réseaux, en oubliant le postulat numéro 1 :
Le coach est un entrepreneur
Puis le postulat numéro 2 :
Le premier job de l'entrepreneur est de trouver des clients
Puis le postulat numéro 3 :
Pour trouver des clients, il est utile d'apprendre à (se) vendre
Ce mardi 21 décembre à 20h30 (heure de France), c'est-à-dire 14h30 (heure du Québec), je propose un webinaire sur le sujet de "comment vendre du coaching" :
Bienvenue...
Bien à toi,
Laurent
NB : je rappelle aussi que je fais le cadeau de 4 sessions de 2h offertes dans l'un de mes groupes Mastermind, avec passage assuré en "hot-seat" si tu prends contact avec moi avant le 24 décembre à midi et tu te décides à rejoindre le programme comment comment vendre du coaching.
