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La presse people ne parle que de Kane Black, richissime businessman et redoutable séducteur qui ne passe jamais plus d’une nuit avec ses conquêtes. Mais sous le masque du play-boy adulé se cache un homme en proie à un chagrin dévorant. Depuis la mort de Lily, l’épouse parfaite, il vit lui-même tel un fantôme, obsédé par le passé, indifférent aux sournoises luttes de pouvoir qui déchirent sa famille.
Ce petit monde sulfureux explose le jour où Lily réapparaît, bien vivante. Miracle ou calamité ? Dans les salons feutrés de la jet-set new-yorkaise, les passions s’embrasent au rythme des secrets dévoilés… |
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Découvrez le sulfureux Kane Black vu par les autres personnages du roman |
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« Il suffit que la belle brune franchisse la porte sur ses talons disproportionnés pour que je sache que mon employeur va la séduire. Elle est arrivée au bras d’un bel homme mais ça n’a aucune importance. Elle succombera ; elles succombent toutes. » |
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« Il a suffi qu’Erika se pointe pour que je sache qu’il allait se la faire. Elle ressemble à sa femme morte – et à moi. Elle ne le sait pas, mais elle est le dernier sujet en date de l’étude exhaustive que j’appelle affectueusement Les femmes que Kane Black a possédées jusqu’au trognon. » |
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« Aucun de mes enfants ne saura jamais le calvaire que j’ai enduré […]. Un jour, peut-être, je le dirai à Rosana. Il faut qu’elle sache ce que signifie le fait d’être une femme dans le monde des affaires, qu’elle prenne la mesure de sa vulnérabilité et de la facilité avec laquelle les femmes deviennent des proies. J’ignore ce que mon fils aîné a fait ou non. Kane est un homme, après tout – ce qui signifie qu’il est capable de tout. Mais je ne commettrai plus l’erreur que j’ai commise avec Paul. Je ne me laisserai pas plumer. » |
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En tête de liste du New York Times, Sylvia Day est l’auteure best-seller, de renommée internationale, d’une vingtaine de romans primés, vendus dans plus de quarante pays. Elle est numéro un dans vingt-huit pays, et ses livres ont été imprimés à des dizaines de millions d’exemplaires. |
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