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#Architecturealamaison

mercredi 25 mars 2020

© DR

#architecturealamaison n°2

Cette semaine on répare, retape, réhabilite, rénove, reconvertit, métamorphose, transforme… Anne Lacaton révèle les volumes du Palais de Tokyo ; Finn Geipel offre une deuxième vie à l’Alvéole 14 de la base sous-marine de St-Nazaire pendant que Gilles Clément et Coloco fabriquent sur le toit un autre paysage ; Inge Vinck explore le potentiel d’une transformation évolutive pour le centre psychiatrique Caritas; Bernard Desmoulin cherche lui une digression architecturale au musée de Cluny ; Louisa Hutton fait revivre le patrimoine tertiaire berlinois tandis que Patrick Rubin convertit les bureaux de la sécurité sociale parisienne en logements ; Matthieu Poitevin métamorphose la manufacture de la Belle de Mai pendant que Jean-François Authiers et Bernard Reichen restructurent les entrepôts grands moulins de Pantin et Sanaa engage la mutation de la Samaritaine.

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PALAIS DE TOKYO, PARIS

Anne Lacaton

Conférence du 12 mars 2002 - Durée : 1h11

« Ce qui nous a impressionné dans ce bâtiment c’est d’abord le paradoxe ou la différence qu’il pouvait y avoir entre l’extérieur et l’intérieur. C’est à dire, à l’extérieur ce bâtiment extrêmement monumental et très composé et à l’intérieur cette structure très moderne en béton avec des poteaux très élancés, de grandes portées, des planchers nervurés. On sentait que les architectes et les ingénieurs avaient vraiment essayé de calculer les choses à l’extrême puisqu’à l’origine le bâtiment avait été construit très rapidement dans le cadre de l’Exposition Universelle et certainement avec un budget pas très élevé. C’est quelque chose qui nous intéressait beaucoup : cette différence, mais aussi ces immenses volumes qu’on percevait je crois pour la première fois. » - Anne Lacaton - Lacaton & Vassal

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Life, ALVÉOLE 14, TRANSFORMATION DE LA BASE SOUS-MARINE DE SAINT-NAZAIRE

Finn Geipel

Conférence du 12 décembre 2007 - Durée : 1h18

« L’architecture ce ne sont pas des objets finis. Mais l’architecture est insérée dans une multitude de cycles. Il n’y a pas un début et une fin. Il n’y a pas le début d’un projet et la fin d’un projet. Il y a peut-être une construction qui se pose quelque part et qui va durer un certain moment puis qui va se transformer, qui va disparaître. Je ne pense pas qu’on puisse parler de l’architecture comme quelque chose de fini. » - Finn Geipel - Agence Lin

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FAIRE ET (RE)FAIRE

Gilles Clément, Pablo Georgieff, Nicolas Bonnenfant et Miguel Georgieff

Conférence du 4 juin 2012 - Durée : 1h05

« Une sorte de rupture dans cette profession... qui consiste à travailler de façon complètement différente en court-circuitant une très grande partie du travail administratif classique et en arrivant sur le terrain, avec bien sûr une sorte de pré-projet qui fait l’objet d’un programme et le projet arrive à la fin. Et, dans certains cas, le dessin que d’habitude on fait avant, en phase conceptuelle, arrive en relevé, c’est à dire après que le projet ait été réalisé. Donc ça remet en cause la question même de la conception, le moment où l’on situe la conception, ça peut être ce genre de démarche, c’est à dire quelque chose qui ne se fait pas à partir d’un bureau éloigné du lieu, mais peut-être aussi sur le lieu. » - Gilles Clément

Conférence organisée avec la Fédération française de paysage
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CENTRE PSYCHIATRIQUE CARITAS, MELLE

Inge Vinck

Conférence du 14 mai 2019 - Durée : 50 min

« Pour nous le projet c'est un projet qui peut bouger dans le temps c'est un projet évolutif et qui pourrait avoir différents moments dans le futur. Il avait déjà son moment dans le passé mais il pourrait avoir un nouveau moment dans le futur et peut être d’autres moments que nous ne connaissons pas encore dans le futur. Et on fait des dessins, des croquis à la main, des perspectives ou on commence à élaborer nos premières idées de ce que l’on veut faire. On veut introduire des plantes, on introduit des serres comme les loggias et les jardins d’hiver et on enlève des sols pour faire des connections entre le bas et le haut. On fait une place. C’est un extérieur ce n’est plus un bâtiment. » - Inge Vinck - architecten de vylder vinck taillieu

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MUSÉE DE CLUNY, MUSÉE NATIONAL DU MOYEN-ÂGE, PARIS

Bernard Desmoulin

Conférence du 13 septembre 2018 - Durée : 1h15

« Au Musée de Cluny, au cœur de Paris, notre propos n'était pas celui d'une hypothétique intégration à cette magnifique suite, bâtie entre les IIe et XXIe siècles, mais une sorte de digression architecturale née d'un besoin d'éclectisme face aux pesantes théories d'une réalité désenchantée. Au regard de cet ensemble historique, le nouvel accueil de Cluny n'est qu'une bague au doigt qui désigne au passant le renouveau d'un Musée, poursuivant ainsi la belle idée de la ville romaine qui se construit lentement sur elle-même » - Bernard Desmoulin

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Transformations de bureaux en logements, PARIS

Patrick Rubin

Film réalisé en octobre 2019 - Durée : 2min 25

« La grande chance dans une réhabilitation, c’est de faire avec. C’est un immeuble construit de manière intelligente comme les architectes savaient le faire dans les années 70. Auparavant les 600 baies extérieures étaient en aluminium. Elles sont aujourd’hui réalisées en bois. Le travail a été fait avec une finesse assez artisanale par rapport à la brutalité du béton . Ce contraste apporte une domesticité à cet immeuble. » - Patrick Rubin, Annie le Bot et Antoine Hersant, Canal Architecture

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SIÈGE SOCIAL GSW BUILDING, BERLIN

Louisa Hutton

Conférence du 3 décembre 2001 - Durée : 1h40

"Dans cette intrication de diverses configurations spatiales issues de structures d'époques successives, l'extension constitue l'élément fédérateur entre le présent et le futur. Sa conception résulte à la fois du souci de préserver des lieux de travail au sein de la ville et de l'intérêt porté à une architecture économique intégrant les ressources de l'environnement, qu’elles soient naturelles ou construites par l'homme. De ce point de vue, ce lieu de travail est exemplaire car ses conceptions architecturales “passives” suffisent à lui donner les moyens de contrôler sa consommation d'énergie..." - Louisa Hutton - Sauerbruch Hutton

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FRICHE BELLE DE MAI, MARSEILLE

Matthieu Poitevin

Conférence du 31 janvier 2013 - Durée : 40min

« Quand je fais un projet, l'objet ne m'intéresse pratiquement pas, ce qui m'intéresse c'est ce qu'il peut y avoir autour de cet objet : ses conséquences, ses subsides, et ce qu'il peut engendrer. Je confonds d'ailleurs souvent l'architecture et la poésie. J'essaye de suggérer l'imaginaire plus que l'objet : le cirque, le spectacle, la magie et puis l'horizon tout le temps, parce que l'horizon, comme le disait un illustre poète, c'est le seul moyen de tenter de souligner l'infini. » - Matthieu Poitevin

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GRANDS MOULINS DE PANTIN

Bernard Reichen et Jean-François Authiers

Film réalisé en janvier 2010 - Durée : 2min11

« C’est la transformation d'un site industriel en bâtiments tertiaires destinés à accueillir une banque, qui se compose de 25000m2 de plancher neuf et 25000m2 de plancher dans l'ancien. Toute l'idée, actuellement dans la reconversion, a été de laisser lisible chaque période de l'histoire" - Jean-François Authiers, architecte, et Bernard Reichen, architecte

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LA SAMARITAINE, PARIS

Kazuyo Sejima, Ryue Nishizawa et Yoshitaka Tanase (SANAA), Jean-Jacques Guiony et Marie-Line Antonios

Conférence du 27 mai 2013 - Durée : 49min

" En quoi l'exigence de mixité a-t-elle dopé, ou modifié, leur manière d'aborder l'architecture? Comment ont-ils appréhendé avec leur culture japonaise la question de la réhabilitation d'immeubles anciens et celle de l'insertion urbaine de leur geste contemporain ? Quels modes de faire développent-ils avec le maître d'ouvrage, propriétaire de la Samaritaine, pour mener cette reconversion d'usage inédite et exemplaire dans un bâtiment inscrit pour l'essentiel à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques ? Pour en débattre aux côtés de Kazuyo Sejima, Ryue Nishizawa et Yoshitaka Tanase (SANAA), Jean-Jacques Guiony, Président de la Samaritaine et Marie-Line Antonios, Directrice générale"

Débat animé par Philippe Tretiack, journaliste
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Avec #architecturealamaison, le Pavillon de l’Arsenal met l’architecture, l’urbanisme, le paysage, le design et la ville sur vos écrans ! Retrouvez chaque semaine une sélection de nos grandes conférences et débats à (re)découvrir en vidéo.

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centre d'information, de documentation et d'exposition d'urbanisme et d'architecture de paris et de la métropole parisienne.

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#architecturealamaison n°2

Cette semaine on répare, retape, réhabilite, rénove, reconvertit, métamorphose, transforme… Anne Lacaton révèle les volumes du Palais de Tokyo ; Finn Geipel offre une deuxième vie à l’Alvéole 14 de la base sous-marine de St-Nazaire pendant que Gilles Clément et Coloco fabriquent sur le toit un autre paysage ; Inge Vinck explore le potentiel d’une transformation évolutive pour le centre psychiatrique Caritas; Bernard Desmoulin cherche lui une digression architecturale au musée de Cluny ; Louisa Hutton fait revivre le patrimoine tertiaire berlinois tandis que Patrick Rubin convertit les bureaux de la sécurité sociale parisienne en logements ; Matthieu Poitevin métamorphose la manufacture de la Belle de Mai pendant que Jean-François Authiers et Bernard Reichen restructurent les entrepôts grands moulins de Pantin et Sanaa engage la mutation de la Samaritaine.

 
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PALAIS DE TOKYO, PARIS

Anne Lacaton

Conférence du 12 mars 2002 - Durée : 1h11

« Ce qui nous a impressionné dans ce bâtiment c’est d’abord le paradoxe ou la différence qu’il pouvait y avoir entre l’extérieur et l’intérieur. C’est à dire, à l’extérieur ce bâtiment extrêmement monumental et très composé et à l’intérieur cette structure très moderne en béton avec des poteaux très élancés, de grandes portées, des planchers nervurés. On sentait que les architectes et les ingénieurs avaient vraiment essayé de calculer les choses à l’extrême puisqu’à l’origine le bâtiment avait été construit très rapidement dans le cadre de l’Exposition Universelle et certainement avec un budget pas très élevé. C’est quelque chose qui nous intéressait beaucoup : cette différence, mais aussi ces immenses volumes qu’on percevait je crois pour la première fois. » - Anne Lacaton - Lacaton & Vassal

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Life, ALVÉOLE 14, TRANSFORMATION DE LA BASE SOUS-MARINE DE SAINT-NAZAIRE

Finn Geipel

Conférence du 12 décembre 2007 - Durée : 1h18

« L’architecture ce ne sont pas des objets finis. Mais l’architecture est insérée dans une multitude de cycles. Il n’y a pas un début et une fin. Il n’y a pas le début d’un projet et la fin d’un projet. Il y a peut-être une construction qui se pose quelque part et qui va durer un certain moment puis qui va se transformer, qui va disparaître. Je ne pense pas qu’on puisse parler de l’architecture comme quelque chose de fini. » - Finn Geipel - Agence Lin

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FAIRE ET (RE)FAIRE

Gilles Clément, Pablo Georgieff, Nicolas Bonnenfant et Miguel Georgieff

Conférence du 4 juin 2012 - Durée : 1h05

« Une sorte de rupture dans cette profession... qui consiste à travailler de façon complètement différente en court-circuitant une très grande partie du travail administratif classique et en arrivant sur le terrain, avec bien sûr une sorte de pré-projet qui fait l’objet d’un programme et le projet arrive à la fin. Et, dans certains cas, le dessin que d’habitude on fait avant, en phase conceptuelle, arrive en relevé, c’est à dire après que le projet ait été réalisé. Donc ça remet en cause la question même de la conception, le moment où l’on situe la conception, ça peut être ce genre de démarche, c’est à dire quelque chose qui ne se fait pas à partir d’un bureau éloigné du lieu, mais peut-être aussi sur le lieu. » - Gilles Clément

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CENTRE PSYCHIATRIQUE CARITAS, MELLE

Inge Vinck

Conférence du 14 mai 2019 - Durée : 50 min

« Pour nous le projet c'est un projet qui peut bouger dans le temps c'est un projet évolutif et qui pourrait avoir différents moments dans le futur. Il avait déjà son moment dans le passé mais il pourrait avoir un nouveau moment dans le futur et peut être d’autres moments que nous ne connaissons pas encore dans le futur. Et on fait des dessins, des croquis à la main, des perspectives ou on commence à élaborer nos premières idées de ce que l’on veut faire. On veut introduire des plantes, on introduit des serres comme les loggias et les jardins d’hiver et on enlève des sols pour faire des connections entre le bas et le haut. On fait une place. C’est un extérieur ce n’est plus un bâtiment. » - Inge Vinck - architecten de vylder vinck taillieu

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MUSÉE DE CLUNY, MUSÉE NATIONAL DU MOYEN-ÂGE, PARIS

Bernard Desmoulin

Conférence du 13 septembre 2018 - Durée : 1h15

« Au Musée de Cluny, au cœur de Paris, notre propos n'était pas celui d'une hypothétique intégration à cette magnifique suite, bâtie entre les IIe et XXIe siècles, mais une sorte de digression architecturale née d'un besoin d'éclectisme face aux pesantes théories d'une réalité désenchantée. Au regard de cet ensemble historique, le nouvel accueil de Cluny n'est qu'une bague au doigt qui désigne au passant le renouveau d'un Musée, poursuivant ainsi la belle idée de la ville romaine qui se construit lentement sur elle-même » - Bernard Desmoulin

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Patrick Rubin

Film réalisé en octobre 2019 - Durée : 2min 25

« La grande chance dans une réhabilitation, c’est de faire avec. C’est un immeuble construit de manière intelligente comme les architectes savaient le faire dans les années 70. Auparavant les 600 baies extérieures étaient en aluminium. Elles sont aujourd’hui réalisées en bois. Le travail a été fait avec une finesse assez artisanale par rapport à la brutalité du béton . Ce contraste apporte une domesticité à cet immeuble. » - Patrick Rubin, Annie le Bot et Antoine Hersant, Canal Architecture

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Louisa Hutton

Conférence du 3 décembre 2001 - Durée : 1h40

"Dans cette intrication de diverses configurations spatiales issues de structures d'époques successives, l'extension constitue l'élément fédérateur entre le présent et le futur. Sa conception résulte à la fois du souci de préserver des lieux de travail au sein de la ville et de l'intérêt porté à une architecture économique intégrant les ressources de l'environnement, qu’elles soient naturelles ou construites par l'homme. De ce point de vue, ce lieu de travail est exemplaire car ses conceptions architecturales “passives” suffisent à lui donner les moyens de contrôler sa consommation d'énergie..." - Louisa Hutton - Sauerbruch Hutton

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Matthieu Poitevin

Conférence du 31 janvier 2013 - Durée : 40min

« Quand je fais un projet, l'objet ne m'intéresse pratiquement pas, ce qui m'intéresse c'est ce qu'il peut y avoir autour de cet objet : ses conséquences, ses subsides, et ce qu'il peut engendrer. Je confonds d'ailleurs souvent l'architecture et la poésie. J'essaye de suggérer l'imaginaire plus que l'objet : le cirque, le spectacle, la magie et puis l'horizon tout le temps, parce que l'horizon, comme le disait un illustre poète, c'est le seul moyen de tenter de souligner l'infini. » - Matthieu Poitevin

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Bernard Reichen et Jean-François Authiers

Film réalisé en janvier 2010 - Durée : 2min11

« C’est la transformation d'un site industriel en bâtiments tertiaires destinés à accueillir une banque, qui se compose de 25000m2 de plancher neuf et 25000m2 de plancher dans l'ancien. Toute l'idée, actuellement dans la reconversion, a été de laisser lisible chaque période de l'histoire" - Jean-François Authiers, architecte, et Bernard Reichen, architecte

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LA SAMARITAINE, PARIS

Kazuyo Sejima, Ryue Nishizawa et Yoshitaka Tanase (SANAA), Jean-Jacques Guiony et Marie-Line Antonios

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" En quoi l'exigence de mixité a-t-elle dopé, ou modifié, leur manière d'aborder l'architecture? Comment ont-ils appréhendé avec leur culture japonaise la question de la réhabilitation d'immeubles anciens et celle de l'insertion urbaine de leur geste contemporain ? Quels modes de faire développent-ils avec le maître d'ouvrage, propriétaire de la Samaritaine, pour mener cette reconversion d'usage inédite et exemplaire dans un bâtiment inscrit pour l'essentiel à l'Inventaire supplémentaire des Monuments historiques ? Pour en débattre aux côtés de Kazuyo Sejima, Ryue Nishizawa et Yoshitaka Tanase (SANAA), Jean-Jacques Guiony, Président de la Samaritaine et Marie-Line Antonios, Directrice générale"

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