En 2018, le Parc naturel des Landes a entamé une mission de réinsertion.
Il ne s’agissait pas de réintroduire une espèce animale en voie de disparition…
… mais d’anciens FARC, ces terroristes marxistes colombiens, trafiquants de drogue et coupables de l’enlèvement d’Íngrid Betancourt en 2002.
Pour les former au métier d’« éco-guide », l’association en charge du Parc a touché la bagatelle de 30 000 € de la part de la région2.
Et encore, c’est bien peu comparé aux 458 850 € qui ont été versés à l’UNEF en 2021, ce syndicat étudiant d’extrême gauche qui s’était réjoui de l’incendie de Notre-Dame3.
Le monde de la culture n’est pas en reste, puisqu’en juin dernier, la mairie écolo de Lyon avait financé un spectacle promouvant l’écosexualité, l’écoféminisme et la « botanique jubilatoire », durant lequel un danseur nu se frottait devant des enfants de 6 ans4.
En France, la subvention est un modèle économique à part entière :
On socialise les coûts au profit de combats politiques que l’on ne cautionne pas toujours.
Et ce sont les associations loi 1901 qui font tourner cette économie parallèle.
◗ En 2018, la Société de Retraite des Conseillers Municipaux de Paris avait touché 1 820 000 € de la part du département. Ni répartition, ni capitalisation : Anne Hidalgo invente la retraite par SUBVENTION !
◗ Et que dire des vacances des fonctionnaires de Bercy, financées par une association subventionnée à hauteur de 24,3 millions d’euros en 2019, ce qui en fait la 14e association la plus vorace cette année-là.