| | | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| | Bonjour à tous. A la Une de votre newsletter ce vendredi, l'attentat meurtrier aux abords de l'aéroport de Kaboul. A découvrir également : la droite qui avance en ordre dispersé vers la présidentielle de 2022, le calendrier pour le rappel de vaccin contre le Covid qui se précise, du lourd pour le PSG en Ligue des champions et le premier album de Barbara Pravi. Bonne lecture ! |
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Cette édition a été préparée par Cécile Mortreuil, cheffe de service adjointe au pôle News
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| On en parle | | | ● Attentat meurtrier près de l'aéroport de Kaboul. Deux explosions, revendiquées par Daech, ont retenti dans la capitale afghane hier. Le bilan humain est encore incertain : les talibans ont fait état de 13 à 20 morts, tandis que le Pentagone a annoncé de son côté la mort de 13 militaires américains. Les proches d'Afghans encore sur place s'inquiètent de voir le nombre de victimes grimper.
● La droite en ordre dispersé pour 2022. Si Laurent Wauquiez a officiellement fermé la porte à une candidature pour la présidentielle hier, la droite fait face à un surplus de choix pour se trouver un champion. Pécresse, Bertrand, Retailleau, Ciotti, Barnier... via la primaire des Républicains ou non, ils veulent en être. Et comme si ça ne suffisait pas, selon nos informations, Eric Zemmour veut désormais se nicher au cœur du calendrier de la droite.
● Une nouvelle rentrée scolaire sous le signe du Covid. A quelques jours de la reprise des cours, ce jeudi 2 septembre, Jean-Michel Blanquer a tenu hier une conférence de presse pour notamment détailler le protocole sanitaire qui sera appliqué. Vaccination, tests, situation outre-mer, capteurs de CO2… On fait le point sur les annonces du ministre de l’Education nationale.
● Un début de calendrier pour la dose de rappel. C'est à partir du 13 septembre que «les plus vulnérables» que sont les résidents des Ehpad pourront se faire injecter leur dose de rappel contre le Covid-19, a annoncé hier Jean Castex. Quant aux plus de 65 ans ou aux personnes présentant des comorbidités, ils pourront «reprendre rendez-vous» dès «le début du mois de septembre», a précisé le Premier ministre.
● Deux mises en examen après la dégradation de la stèle de Simone Veil. Ces deux hommes, sexagénaires, ne se connaissaient pas et n’avaient jamais eu affaire à la justice. Ils sont suspectés d’avoir dégradé à plusieurs reprises durant l’été la stèle en hommage à l’ancienne ministre installée à Perros-Guirec (Côtes-d'Armor) ou d’avoir distribué des tracts à caractère antisémite. Le 14 août, l’inscription «responsable du génocide» avait été taguée sur le monument.
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| A suivre aujourd'hui | | La fin du pont aérien français à Kaboul | | Lancé dans des conditions périlleuses au lendemain de la prise de pouvoir des talibans à Kaboul le 15 août dernier, le pont aérien entre Paris, la capitale afghane et Abou Dhabi prend fin ce soir, a confirmé hier Jean Castex. Une décision prise après la confirmation du retrait des soldats américains, qui tentent d'assurer la sécurité autour de l’aéroport, le 31 août prochain. «Nous avons rapatrié les Français, les Afghans qui ont apporté à un titre ou un autre leur concours à l’armée et leurs familles, des artistes, des journalistes», a souligné le Premier ministre, qui a par ailleurs avancé le chiffre d’environ 2500 personnes exfiltrées par la France. Alors que des «centaines de personnes en danger» attendent encore d’être évacuées, a précisé Emmanuel Macron, en France, des maires et des associations s'activent pour leur trouver un logement. |
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| | «C’est un choix sportif du moment» | Didier Deschamps,
le sélectionneur de l’équipe de France, pour expliquer la non-convocation d’Olivier Giroud pour les prochains matchs des Bleus | |
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| Sécurité routière | | | Bientôt des mini-radars tourelles dans les villes | | Des radars «urbains» seront progressivement déployés en France. Quant aux cabines vandalisées pendant la crise des Gilets jaunes, elles ont toutes été réparées ou remplacées. Alors que les routes s'annoncent très chargées pour les derniers grands retours, la prudence est donc de mise. | |
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| 1 minute pour comprendre | | | Covid-19 : aux Antilles, ces signaux qui donnent un peu d'espoir | L’actu. Voilà plus de dix jours que la courbe d’incidence en Guadeloupe et en Martinique s’affiche à la baisse. «Dans les Antilles, grâce au confinement, la situation épidémique semble se stabiliser et même parfois commencer à refluer légèrement», expliquait le porte-parole du gouvernement, Gabriel Attal, mercredi après le conseil des ministres.
Le pic de contaminations est-il dépassé ? Les deux îles ont atteint leur pic de contaminations à un petit jour d’intervalle, entre le 11 et le 12 août. Toutes deux à des niveaux très élevés, en dépassant les 1200 cas pour 100 000 habitants en Martinique et les 2327 cas en Guadeloupe, un record absolu enregistré dans un département français. La pression est désormais un peu moins forte, sous les 900 en Martinique et sous les 1885 en Guadeloupe.
Pourquoi la situation reste inquiétante ? Parce que le nombre de nouvelles admissions à l’hôpital pour une infection Covid reste à un niveau très élevé et jamais atteint sur ces territoires. En Martinique, le taux d’occupation des lits en réanimation dépassait les 523% mercredi, contre 274,1% en Guadeloupe. Un niveau inégalé en France. Aussi, la couverture vaccinale, malgré une légère accélération, demeure bien en deçà de la moyenne française. Autant de facteurs qui ont contraint les autorités à prolonger les restrictions sanitaires. | |
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| | Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 8h30. D'ici là, bonne fête aux Monique et passez une excellente journée ! |
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