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"En ce temps-là, Jésus prit avec lui Pierre, Jacques et Jean,
et les emmena, eux seuls, à l’écart sur une haute montagne.
Et il fut transfiguré devant eux.
" - Marc 9, 2
 
Le carême nous est aussi proposé comme un exercice d’entrainement physique, mental et spirituel. Il serait même intéressant de s’inscrire pour des exercices auxquels nous ne sommes pas habitués, qui nous rebutent pour diverses raisons.
Il m’est arrivé plusieurs fois de partager un bout de chemin de vie avec une personne. J’apprends plus tard que cette personne a développé une maladie, qu’elle a traversé une crise dans sa vie. Et je me dis : "ça alors ! Les signes avant-coureurs étaient là, en évidence sous mes yeux, et je n’ai rien vu !" Comment pourrais-je exercer mon regard ?
Pierre, Jacques et Jean ont vu Jésus sur la montagne, celui qu’ils croyaient bien connaitre. Pourtant la surprise est énorme... transfiguré ! On aurait pu se douter qu’il se montrerai un jour de cette façon, mais… manque d’exercice.
Nous portons aussi un regard bien pesé et bien jugé sur les personnes qui nous entourent, et souvent, notre regard est juste. Il peut simplement manquer une lumière à ce regard, c’est de voir la personne "capax conversionis" : "La personne est capable de conversion, elle est capable de changer".
Nous avons un entrainement quotidien pour détecter les arnaques sur internet et les "fake news". Avec un peu d’entrainement, nous pourrons voir nos proches dans leurs capacités à changer. Notre regard peut aussi contribuer à leur donner envie d’y aller. Nous risquons juste quelques bonnes surprises... Alors, un peu d’exercices d’entrainement !
 Père Daniel Regnery
Salésien de Don Bosco
Communauté de Paris
 
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A Lyon, le centre Jean-Bosco accueillera une Prépa-Droit et un foyer d’étudiants à partir de septembre 2024, les salésiens recherchent un couple pour animer le lieu
 
Dans quelques mois, le centre Jean-Bosco de Lyon sera amené à fermer ses portes dans sa configuration actuelle. Il laissera la place, à la rentrée scolaire 2024, à un lieu d’accueil d’étudiants, grâce à l'institution ND des Minimes. Portes ouvertes le 9 mars. Dans le même temps, les salésiens sont à la recherche d’un couple ou d’une famille lié(e) à la Fraternité salésienne de Lyon pour animer ce lieu de vie.
 
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La Navarre : avec Arthur, 12 ans, fan de motocross, Marie Duplaquet, professeur de musique, et Christophe Cortès, directeur, la pédagogie salésienne s'expose sur France 2
 
L'émission Le Jour du Seigneur a posé ses caméras dimanche dernier à la chapelle Marie-Auxiliatrice de l'Institution Saint-Joseph, à La Crau. Retrouvez ici la messe, concélébrée par plusieurs frères salésiens, mais aussi le reportage introductif : "Ma première mission est d'accueillir le jeune à la manière de Don Bosco et du charisme salésien", explique Christophe Cortès, directeur. "Don Bosco voulait que les jeunes soient toujours traités comme le plus beau des trésors", complète Alexis, 12 ans, casque de moto à la main.
 
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AGENDA : c'est officiel,
les inscriptions pour Becchi 2024,
le grand pélé de la famille salésienne, ouvriront le 10 mars
 
 
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AGENDA : week-end MSJ 17+ France-Belgique des 16 et 17 mars, attention, derniers jours pour s'inscrire !
 
 
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Le talent des élèves ébénistes de Giel Don Bosco sur France 3
 
Enzo et Arthur, élèves, mais aussi Vincent Lomet, prof d'ébénisterie, ou Julien Lemoine, coordinateur du projet... les équipes de France 3 Normandie se sont rendues dans notre établissement Giel Don Bosco, à la rencontre des élèves et encadrants de l’atelier bois, qui crééent des meubles pour le château d'Angers. Un travail d'exception dans le cadre de l'opération "Chefs d'oeuvre de la République".
 
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52 paroles de jeunes : communiquer dans la famille
 
Des jeunes qui se livrent avec leur vie, leur réalité, leurs rêves, leurs sincérités : c'est "52 paroles de jeunes", un projet vidéo salésien, réalisé en deux années, de Tournai à Nice en passant par Giel ou Marseille, à la rencontre de Guillaume, Héloïse, Alex, Cihan, Austin et plein d'autres. Découvrez le sixième épisode : "Avant, le dimanche, nous avions le jeu de société. Maintenant il n’y a plus rien."
 
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