Mon précédent article, « Les normes juridiques, administratives, politiques et financières nationales et internationales impactent notre santé », se termine sur le neuvième des points essentiels à connaître sur le BRICS : « Le BRICS élargi limite définitivement aux pays occidentaux lâapplication de lâAgenda 2030, prétexte à la mise en Åuvre des dangereux délires des psychopathes de Davos et des milliardaires mondialistes adeptes de la dépopulation de la Planète. »   Plus exactement, il se termine sur les deux phrases qui succèdent à ce neuvième point :   « Ce neuvième point devrait rassurer les défenseurs de nos droits dâêtres humains et de nos libertés fondamentales. Or, comme nous le verrons dans un prochain article, rien nâest encore gagné, loin de là . »
  Pour la défense de nos droits dâêtres humains et pour celle de nos libertés fondamentales, la partie nâest pas du tout gagnée.
  La partie nâest vraiment pas gagnée, car depuis la fin de près de trois siècles de guerres de succession qui ravagèrent les différents royaumes qui composaient la Chine préimpériale (Période des Royaumes combattants de 475 à 221 av. J.-C.), il sâest gravé dans le marbre des fondations de lâincroyable la civilisation chinoise, quâon ne peut vraiment pas faire confiance en lâHomme !
  Il est important de savoir quâà la sortie de cette période, il y a eu dans tous les nombreux courants intellectuels chinois, une sorte dâunanimisme philosophique et politique sur ce point : il y a les lois naturelles, si elles sont respectées tout est harmonieux, que ce soit au sein des familles ou au sein du gouvernement et de la direction des affaires publiques.
  On ne peut pas faire confiance aux hommes !
  Pour résumer de nombreuses lectures sur cette question : pour les intellectuels et philosophes de la période des Royaumes combattants, les hommes finissent toujours par être emportés par leurs « vices » qui les éloignent du respect des lois naturelles, le désordre finit alors rapidement par sâinstaller et des fléaux comme des famines, des épidémies ou des guerres détruisent tout sur leur passage.
  Ainsi, à la sortie des siècles de guerres qui ravagèrent la Chine lors de la période des Royaumes combattants, il était hors de question pour les penseurs chinois, pour les chefs militaires, pour les grands administrateurs des cités, de confier le gouvernement des affaires publiques à des hommes, fussent-ils rois ou princes !
  Selon les élites chinoises de lâépoque, ce quâil fallait pour la bonne administration de la Chine, câétait un empereur soumis aux mêmes lois naturelles que tous les Chinois. Et câest ainsi que depuis la période des Royaumes combattants, il nâa jamais été question dâinstaurer une « démocratie » en Chine, même s'il en a parfois été question parmi les intellectuels formés aux Ãtats-Unis ou à Hong Kong, lors de la très brève République de Chine, entre 1912 et 1949.
  Lâincroyable réussite économique du Parti communiste chinois.
  Nous lâaurons compris, la démocratie, les droits des êtres humains et les libertés individuelles auxquels nous sommes si férocement attachés à Libre Consentement Ãclairé, pour Xi et le Parti communiste chinois, ce ne sont pas des valeurs politiques à intégrer dans les pratiques politiques, administratives et judiciaires dâun pays.
  Dâailleurs, sans ces droits et libertés, le Parti communiste chinois a pu extraire dâune extrême pauvreté, en moins de 4 décennies, près de 600 millions de personnes, ce quâaucun régime occidental affichant dans sa doctrine politique, administrative et judiciaire le respect des droits humains et des libertés fondamentales telles quâénoncées dans le DDHC, nâaurait pu réussir.
  Et cet exploit économique a été possible grâce au contrôle rigoureux de la population chinoise, et en lâabsence totale des libertés individuelles énoncées dans le DDHC.
  Ajoutons à cela, que dans son immense majorité la population chinoise nâa pas envie de retourner en arrière et de sâappauvrir.
  Câest en partie ce souvenir de la pauvreté qui explique lâacceptation par les Chinois du crédit social, ce dernier étant présenté par le Parti communiste comme le corollaire du succès économique et de lâenrichissement individuel et familial.
  Avec Xi, et dâautant plus si le Yuan devient la monnaie de réserve et de garantie des échanges commerciaux de la zone du BRICS, la partie nâest pas gagnée pour nous. Loin de là .
  Elle nâest pas gagnée, car si lâindéniable réussite économique du Parti communiste chinois (sans la démocratie) se transforme en doctrine au sein du BRICS, et que le succès est au rendez-vous dans toute la zone du BRICS â pourquoi ne le serait-il pas ? â démonstration sera faite que même hors de Chine, les méthodes du Parti communiste chinois, contrôle social et absence de libertés individuelles incluses, sont libératrices de la pauvreté puisquâelles apportent richesse et développement pour tous.
  Par ailleurs, rappelons que le Monde rêvé des psychopathes de Davos ressemble fortement à une mise sous contrôle social des Occidentaux de type Parti communiste chinois (sans le succès économique).
  Rappelons également que Bill Gates est un fan du communisme à la chinoise, quâil ne sâen cache pas, quâil rencontre régulièrement les plus hauts dirigeants du Parti communiste et que son candidat à la tête de lâOMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus, doit son mandat au vote et au lobbying de la Chine en sa faveur.
  Il nây a pas que nos droits dâêtres humains et nos libertés fondamentales qui peuvent être menacés par le leadership de Xi Jiping sur le BRICS élargi.
  Câest une quasi-certitude : le fait que les milliardaires mondialistes du Parti démocrate des Ãtats-Unis continuent à détruire les nations occidentales et à supprimer nos libertés fondamentales les unes après les autres, aidés en cela par les gouvernements des autres pays occidentaux et par la Commission européenne, ne posera aucun problème à Xi, il pourra même leur prêter main-forte en exportant la technologie utilisée pour le contrôle social des Chinois.
  La Russie pourrait être menacée ou, pour le moins, marginaliséeâ¦
  Mais la Russie de Vladimir Poutine pourrait également faire les frais dâun leadership sans partage de la Chine de Xi sur le BRICS élargi, ce qui serait source de tensions dans cette nouvelle organisation internationale, voire des crises majeures.   Crises qui profiteraient au « Deep State » et au Parti démocrate des Ãtats-Unis et par ricochet à la Commission européenne.   Là encore, dans cette configuration, nos droits dâêtres humains et nos libertés fondamentales en feraient les frais au profit de lâAgenda 2030 et des projets des dangereux psychopathes délirants de Davos.
  Lâincontournable Donald J. Trump comme défenseur et protecteur de nos droits dâêtres humains et de nos libertés individuelles.
  Le retour à la Maison-Blanche de Donald J. Trump ne pourrait quâêtre profitable Vladimir Poutine, et donc à lâéquilibre interne du BRICS élargi.   Xi devant finalement partager son leadership sur le BRICS élargi avec Vladimir Poutine.   En effet, Trump ne se cache pas de vouloir reconsidérer les conditions des échanges commerciaux et technologiques entre les Ãtats-Unis et la Chine, tout en menant éventuellement une politique fiscale défavorable et agressive aux importations des produits venus de Chine, ce qui pourrait fragiliser fortement la croissance économique de ce pays.
  Par ailleurs, il est fort probable, même si ce nâest pas une certitude, quâen cas de retour à la Maison-Blanche de Trump, lâUkraine de Volodymyr Zelensky devrait rapidement trouver un accord avec la Russie de Vladimir Poutine. Et cet accord ne pourrait être, pour le moins, quâun renoncement définitif à toute prétention sur la Crimée et le Donbass.
   Un tel accord serait économiquement tragique pour lâUnion européenne, en particulier pour lâAllemagne et la France. Ces deux pays ne pouvant rien espérer de la reconstruction de lâUkraine, les Ãtats-Unis de Trump et la Russie de Vladimir Poutine raflant la mise, les Ãtats-Unis à lâouest et au centre de lâUkraine, la Russie à lâest.
  « Nous débarrasser politiquement de la clique de politiciens professionnels et des hauts fonctionnaires qui détruisent notre pays ».
  Il nây a pas de doute à avoir, seul le retour à la Maison-Blanche de Donald J. Trump pourrait mettre un coup dâarrêt définitif au « Deep State » qui contrôle les Ãtats-Unis au profit du Parti démocrate et de ses milliardaires mondialistes adeptes de la dépopulation de la Terre.
  Cela ne nous permettrait-il pas, en France, de nous débarrasser politiquement de la clique de politiciens professionnels et des hauts fonctionnaires qui détruisent notre pays depuis des décennies ?   Ces politiciens professionnels et ces hauts fonctionnaires qui sont prêts à offrir sur un plateau nos existences aux psychopathes de Davos au nom de lâAgenda 2030 et du faux réchauffement climatique d'origine humaine⦠  Ou encore au nom d'une future fausse pandémie.
  Patrick Ledrappier
  PS : Je joins de nouveau ma voix à lâappel aux dons : en cette fin du mois dâaoût, nous avons besoin de votre soutien et de votre générosité. |