Bruno Combes, le romancier qui réechante votre vie Si vous n'arrivez pas à lire ce message, suivez ce lien. |
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Dans Soixante secondes de bonheur, le dernier roman de Bruno Combes paru en poche, nous retrouvons tout l’art de l’auteur pour distiller l’émotion au fil des pages. Soixante secondes de bonheur, c’est un roman doux comme un ciel d’après tempête, où des enfants grandissent et des adultes retrouvent leur jeunesse. |
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Soixante secondes de bonheur Bruno Combes |
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Elena a tout sacrifié pour devenir tradeuse. À la suite de son divorce, son fils, Maxime, ne lui a jamais pardonné d’avoir déménagé à Londres. En choisissant de le rejoindre dans les Landes pour les fêtes, elle espère sauver ce qui peut l’être encore …Bûcheron, Sébastien vit seul avec sa fille Océane au milieu des pins et des souvenirs. Il a tellement cherché à la protéger qu’il ne l’a pas vue grandir. Et, à force d’être couvée, la voilà qui s’éloigne…Nous sommes le 27 décembre 1999, la tempête du siècle se dirige tout droit vers le massif landais. Au milieu du chaos, leurs vies vont être bouleversées. Et si d’un drame pouvait surgir l’espérance ? |
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Trois questions à Bruno Combes |
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Quels sont les thèmes abordés qui vous tiennent à cœur dans Soixante secondes de bonheur ? |
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D’abord, l’évolution des êtres face aux douleurs de l’existence. Selon moi, les drames ne nous apprennent rien, ils nous sclérosent dans une forme de protection. C’est la vie de tous les jours avec ses rencontres qui nous aide à nous reconstruire. Un autre thème important que j’aborde dans ce livre, c’est le pouvoir des adolescents qui, contrairement aux adultes, possèdent la faculté naturelle de rebondir et d’oser Et enfin, la Nature. Dans ce roman, elle est un personnage à part entière. La tempête dite « du siècle » nous a montré que nous sommes bien peu de chose. La Nature peut se fâcher avec une puissance démesurée, à nous de le comprendre. |
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Quelles réponses pensez-vous apporter aux lecteurs à travers ce livre ? |
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Nous vivons dans une époque où trop de monde donne son avis sur tout et surtout… sur n’importe quoi. Le monde des livres n’y échappe pas, les étagères des libraires regorgent de donneurs de leçons. C’est respectable, mais je ne m’y reconnais pas. Mon seul but dans l’écriture est d’offrir une proposition au lecteur, ensuite c’est à chacune et à chacun d’y adhérer ou non. Qu’est-ce qui justifierait que je détienne les réponses aux maux que rencontrent les lecteurs ou aux questions qu’ils se posent ? Rien, ce serait bien prétentieux de ma part. Je propose et le lecteur dispose en fonction de son vécu et de sa sensibilité. |
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Toutes vos ouvertures de chapitres sont de courts poèmes en prose, pourquoi ? |
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Ah oui, et j’en suis très fier ! Un peu d’autosatisfaction ne fait pas de mal. Ces ouvertures sont apparues lors de mon troisième roman, Seulement si tu en as envie... C’est en feuilletant un livre où chaque chapitre débutait par une citation que l’idée a germé. « Et si tu écrivais toi-même tes introductions ? » J’ai tenté le coup, les lecteurs ont apprécié. Je dois avouer que mon passé d’écriture de poèmes m’a beaucoup aidé. Aujourd’hui, j’en suis à mon dixième roman et les ouvertures sont toujours là ! |
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