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Dimanche 2 Mai
Cinquième dimanche de Pâques
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St Athanase , St Joseph Marie Rubio Peralta En savoir plus

Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 15,1-8.

En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples : « Moi, je suis la vraie vigne, et mon Père est le vigneron.
Tout sarment qui est en moi, mais qui ne porte pas de fruit, mon Père l’enlève ; tout sarment qui porte du fruit, il le purifie en le taillant, pour qu’il en porte davantage.
Mais vous, déjà vous voici purifiés grâce à la parole que je vous ai dite.
Demeurez en moi, comme moi en vous. De même que le sarment ne peut pas porter de fruit par lui-même s’il ne demeure pas sur la vigne, de même vous non plus, si vous ne demeurez pas en moi.
Moi, je suis la vigne, et vous, les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure, celui-là porte beaucoup de fruit, car, en dehors de moi, vous ne pouvez rien faire.
Si quelqu’un ne demeure pas en moi, il est, comme le sarment, jeté dehors, et il se dessèche. Les sarments secs, on les ramasse, on les jette au feu, et ils brûlent.
Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez tout ce que vous voulez, et cela se réalisera pour vous.
Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous portiez beaucoup de fruit et que vous soyez pour moi des disciples. »

Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris


Bulle

Sainte Gertrude d'Helfta (1256-1301)
moniale bénédictine
Exercices IV, SC 127 (Œuvres spirituelles, trad. J. Hourlier et A. Schmitt, Éd. du Cerf, 1967, p. 125, rev.)


« Ce qui fait la gloire de mon Père, c’est que vous portiez beaucoup de fruit » (Jn 15,8)

Je supplie ta miséricorde immense, Père tout- puissant, miséricordieux, clément, bon, compatissant, qui l’emportes par ta bonté sur la malice (cf. Jl 2,13), pour moi, petit rameau desséché (cf. Ct 2,12 LXX), qui n’ai pas profité, hélas, hélas ! du temps de la taille, alors que tu me plantais en cette très sainte religion, mais qui ai passé dans une totale stérilité tout le temps de la vie ; je te supplie, au nom de cette bonté qui est innée en toi, au nom de ta très chère Mère, notre très glorieuse patronne la Vierge Marie (...) : daigne diriger aujourd'hui sur moi ton regard de miséricorde et de charité, afin, que, prenant toute ma force en toi, je reverdisse, et que, sanctifiée dans la vérité je refleurisse.
Donne-moi d’avoir le vrai culte de la sainte religion, d’être vraiment fidèle aux devoirs de la vie spirituelle ; et que pour toi qui m’aimes, je porte les fruits de toute vertu et de toute sainteté, afin qu’au moment de la vendange, je veux dire, au jour de ma mort, je sois trouvée dans la pleine maturité et la consommation de toute la perfection religieuse, en paraissant devant toi. Amen.
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