Les « va x ins » tuent, tout le confirme Madame, monsieur, chère amie, cher ami,
Le 20 juillet 2023, Cureus, une revue de « Springer Nature » (société d’édition universitaire germano-britannique) a publié une étude qui nous intéresse au plus haut point à Libre Consentement Éclairé.
Cette étude a été réalisée par deux seniors, qui ne sont pas, et c’est fort heureux, médecins. Il s’agit de Gary S Goldman, titulaire d’un doctorat en informatique, qui se présente comme un analyste de données informatiques et par Neil Z. Miller, auteur et directeur de l’« Institute of Medical and Scientific Inquiry » au Nouveau-Mexique (États-Unis).
De 1995 à 2002 (année où il a démissionné), Gary S. Goldman a été analyste des données du projet de surveillance de la varicelle (VASP) pour les CDC et il est l’auteur de plusieurs études statistiques (santé) publiées. Il a également développé un programme informatique pour quantifier la variation saisonnière de la varicelle en fonction de la scolarisation, de la densité de population et de la température ambiante. Il est également le concepteur d’une base de données et de programmes de saisies de données qui comportent plusieurs centaines de variables démographiques et cliniques et qui concernent la varicelle et le zona.
Neil Z. Miller est l’auteur du célèbre « Miller's Review of Critical Vaccine Studies », qui présente un nombre important de recherches sur les vaccins et l'immunité naturelle (toutes les études présentées dans le livre ont été publiées dans des revues importantes et elles ont été évaluées).
« Nous avons étudié les associations potentielles entre le nombre de doses de vaccins pour la petite enfance que les pays développés exigent et leurs taux de mortalité infantile » ont déclaré aux médias les auteurs.
Plus les nourrissons sont « va xi nés », plus le taux de mortalité infantile serait élevé !
« En 2011, en utilisant les données de 2009, nous avons publié une étude démontrant que parmi les nations les plus développées, celles qui injectent le plus de doses de vaccins à leurs nourrissons avaient tendance à avoir les taux de mortalité infantile les moins favorables (r = 0,70, p < 0,0001). »
L’étude publiée dans Cureus le 20 juillet 2023, (d’après les deux experts, des vrais), est une analyse des données de la période 2019 à 2021 consacrée aux « effets des vaccins sur les taux de mortalité néonatale et des moins de cinq ans. »
La propagande du lobby « Continuons à engranger des milliards en vaccinant les nourrissons, c’est sans danger et cela sauve des vies » mise à mal…
Dans leur introduction, les deux auteurs n’y vont pas par 4 chemins, ils rappellent que : « Selon les experts mondiaux de la santé, "peu de mesures de santé publique peuvent être comparées à l'impact des vaccins. Les vaccinations ont réduit les maladies, les incapacités et les décès dus à diverses maladies infectieuses". Les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des États-Unis estiment que quatre millions de décès sont évités chaque année grâce à la vaccination des enfants. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a calculé que 1,5 million de décès supplémentaires pourraient être évités si les taux de couverture vaccinale mondiale étaient améliorés. » Or, de nombreuses études remettraient très fortement en question cette propagande au service de Big Pharma et des mondialistes adeptes de la dépopulation de la Planète.
« Les nourrissons qui avaient été vaccinés avec le DTC mouraient 10 fois plus que ceux qui n’avaient pas été vaccinés (aucun vaccin) ! »
C’est un mensonge que d’affirmer que « lorsque plus de vaccins sont administrés, cela entraîne toujours moins de décès » et les auteurs citent plusieurs études qui contredisent totalement cette affirmation des mondialistes adeptes de la dépopulation de la Planète qui utilisent les « va x ins » pour appliquer leur programme (et les produits à ARNm depuis fin 2021).
Les auteurs citent en particulier la fameuse étude publiée par The Lancet au sujet de la Guinée-Bissau. Étude menée sous la direction de Peter Aaby par Søren Wengel Mogensen, Andreas Andersen, Amabelia Rodrigues et Christine S. Benn.
Ils citent donc la fameuse étude qui démontra que : « la mortalité infantile toutes causes confondues en Guinée-Bissau avait doublé après l'introduction des vaccins diphtérie-tétanos-coqueluche (DTC) et polio oral (risque relatif, HR = 2,12) » ainsi que : « Les taux de survie chez les nourrissons ayant reçu uniquement le DTC (sans vaccin antipoliomyélitique oral) par rapport aux enfants non vaccinés par le DTC étaient significativement pires (HR = 10,0). ». Autrement dit : les nourrissons qui avaient été vaccinés avec le DTC mouraient 10 fois plus que ceux qui n’avaient pas été vaccinés (aucun vaccin) !
Les « va x ins » tuent, bel et bien, tout le confirme
Pour conclure sur cette étude, les auteurs démontreraient que « le taux de mortalité infantile augmentait de 0,167 décès pour 1000 naissances viables pour chaque dose de vaccin supplémentaire ajoutée au calendrier de vaccination. »
On est très loin de ce qu’ils nous rentrent dans le cerveau dès la maternelle : « Les vaccinations ont réduit les maladies, les incapacités et les décès dus à diverses maladies infectieuses ».
Très loin même, puisque ce serait tout le contraire… D’ailleurs, ils précisent également que si « en 2009, vingt-neuf pays affichaient de meilleurs taux de mortalité infantile que les États-Unis, en 2019, les États-Unis avaient reculé à la 44e place du classement de la mortalité infantile et en 2021, ils se classaient à la 50e place… »
Autrement dit : plus des vaccins sont ajoutés au calendrier vaccinal des États-Unis, plus la mortalité infantile est importante…
Encore une étude qui le confirme : « Les vaccins tuent ! » Pierre Lefevre
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Pour comprendre pourquoi avec la fausse pandémie au « C19 », les médecins « crétins utiles » à Big Pharma payent parfois de leur vie.
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