Ces start-up confidentielles qui lvent des m illions

Ces start-up spécialisées dans la recharge électrique s'apprêtent à changer de dimension après avoir levé respectivement 240 et 60 millions d'euros. Elles s'attaquent à des segments de marché où il y a peu d'acteurs pour le moment.

Face au boom de la voiture électrique, les start-up inventent de nouvelles solutions de recharge et obtiennent des financements de plus en plus importants.

Ces sociétés de gestion, jusqu'alors peu actives dans la French Tech, parient sur des entreprises qui ont besoin de beaucoup de capital et dont les stations devraient générer des revenus récurrents sur le long terme.

Les BSPCE permettent aux salariés de détenir des actions avec un tarif préférentiel. De quoi, pour certains, empocher des centaines de milliers d'euros au moment de la revente si leur entreprise s'est développée. Mais attention, les cas de super banco sont rares.

La jeune pousse française championne des places de marché annoncait sa cinquième levée de fonds menée par Silver Lake. La société créée par Philippe Corrot et Adrien Nussenbaum avait atteint la valeur de 3,5 milliards de dollars, dépassant de loin le statut de licorne conquis il y a tout juste un an.

Alors que les investisseurs fébriles demandent maintenant à leurs start-up de réduire leurs dépenses et de tendre au plus vite vers la rentabilité, les jeunes pousses qui ont choisi de s'autofinancer continuent de croître à leur rythme. Pour elles, c'est « business as usual ».

Agronutris, Innovafeed et Ynsect, trois pépites de la French Tech, sont à l'avant-garde sur ce marché. Elles ont obtenu de gros financements d'investisseurs privés et bénéficié d'une aide précieuse de l'Etat français à leurs débuts.

Suspision de triche chez les grands maîtres, le tout soupoudré par une intelligence artificielle... la saga dure depuis deux semaines et le journal propose de revenir dessus en détails dans un article fleuve. Avec, à la fin, un début de réponse.

La cofondateur de Google voulait créer des sortes d’avions électriques à décollage et atterrissage verticaux, qui aurait pu être commandés sur des applications de VTC. Un peu comme des taxis volants. “Nous travaillons sur les détails de la suite”, a écrit la société dans un article sur LinkedIn .

La maison-mère de Facebook cherche à réduire ses coûts d'au moins 10 %, tandis que Google a demandé à certains employés de postuler à de nouveaux emplois.

La start-up francilienne annonce la commercialisation d'une formation virtuelle à la sécurité incendie en entreprise, qui complète celle aux premiers secours. Obligatoire pour les sociétés de plus de 50 salariés, elle doit permettre à D'un Seul Geste de doubler son activité et de boucler une levée de fonds de 2 millions d'euros à la fin de l'année.