Les fonds marins dévoilent leurs réserves d’eau douce ; le béton joue les supercondensateurs ; l’étoile Janus sépare l’hélium et l’hydrogène ; et l’économiste de l’environnement Catherine Aubertin décortique la novlangue bio.
 
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Cette semaine dans Pour la Science, les fonds marins dévoilent leurs réserves d’eau douce ; le béton joue les supercondensateurs ; l’étoile Janus sépare l’hélium et l’hydrogène ; et l’économiste de l’environnement Catherine Aubertin décortique la novlangue bio.
 À lire également, « Pourquoi est-il si difficile de modéliser le cerveau humain ? »
 
Bonne lecture !
 ● François Lassagne, rédacteur en chef à Pour la Science.
 
 
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À lire cette semaine
 
 
Un dispositif de stockage d’énergie appelé « supercondensateur » vient d’être développé à partir de matériaux abondants et peu onéreux : du ciment, de l’eau et du noir de carbone. Ce système pourrait être intégré directement dans les fondations des bâtiments Par Évrard-Ouicem Eljaouhari, journaliste scientifique.
 
 
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Les planchers océaniques côtiers recèlent des réservoirs d’eau douce, qui pourraient aider un jour à alimenter les régions menacées par la sécheresse 
Par Rob Evans, géophysicien, chercheur à l’institut océanographique de Woods Hole, dans le Massachusetts (USA).
 
 
Une étoile étonnante présente une face riche en hydrogène tandis que l’autre est dominée par l’hélium. Son champ magnétique pourrait être la clé de cette énigme ● Par Sean Bailly, rédacteur et responsable des actualités à Pour la Science.
 
 
Dès qu’il s’agit de protection de l’environnement, le vocabulaire s’enrichit grandement, au risque de nous perdre… ● Par Catherine Aubertin, économiste de l’environnement, directrice de recherche de l’IRD et membre de l’unité mixte de recherche Paloc (Patrimoines locaux, environnement et globalisation), au Muséum national d'histoire naturelle, à Paris.
 
Le dernier n° de Pour La Science vient de paraître 
DE L'EAU DOUCE SOUS LA MER
Des acquifères inattendus et fragiles
 
Et s’il fallait chercher de nouvelles et précieuses ressources d’eau douce non pas au pied des glaciers déclinants, des rivières et nappes phréatiques surexploitées, mais… au fond des océans ? De récentes explorations, au large de plusieurs côtes, viennent de confirmer ce que les géologues soupçonnaient depuis quelques années : d’importants aquifères d’eau douce existent, à plusieurs dizaines de kilomètres des terres... mais ces réserves sont fragiles...
 
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 Vos articles préférés la semaine dernière
 
 
Nouvelles pistes de recherche en psychiatrie, axes de développement pour l’intelligence artificielle, meilleure compréhension du développement cognitif… Les voies qu’ouvre l’observation des différentes formes de synchronisation intercérébrale sont nombreuses. Explications de Guillaume Dumas, professeur de psychiatrie computationnelle à l’université de Montréal  Entretien avec Guillaume Dumas, professeur de psychiatrie computationnelle à l’université de Montréal, directeur du laboratoire de Psychiatrie de précision et physiologie sociale (PPSP), au centre de recherche du CHU Sainte-Justine.
 
 
Certaines étrangetés mathématiques laissent penser que plusieurs versions du monde ensembliste seraient possibles. Comme en physique, cela suggère l’existence d’un multivers ● Par Jean-Paul Delahaye, professeur émérite à l’Université de Lille et chercheur au centre de recherche en informatique, signal et automatique de Lille (CRISTAL).
 
 
Des motifs hexagonaux observés dans les sédiments martiens suggère seraient la trace d’étendues d’eau qui s’asséchaient de façon cyclique. Des conditions propices à l’émergence de la vie ? ● Par Sean Bailly, rédacteur et responsable des actualités à Pour la Science.
 
 
 Pourquoi ? Comment ?
 
 
Pourquoi est-il si difficile de modéliser le cerveau humain ?
Samedi (30 septembre), le très ambitieux programme Human Brain Project sera officiellement terminé. Financé à hauteur de 10 milliards d’euros par l’Union européenne, il devait associer le meilleur des compétences en neurophysiologie, neurosciences cognitives et modélisation informatique pour bâtir le modèle numérique du cerveau le plus réaliste jamais conçu. Dix ans plus tard, si le bilan est considérable quant au nombre et à la diversité des outils développés pour mieux étudier et modéliser le cerveau, il est autrement plus modeste quant aux connaissances nouvelles sur son fonctionnement. En 2013, l’initiateur du projet, Henry Markram, développait sa vision dans les pages de Pour la Science. Retour aux sources.
 
 
 
 
L'Union européenne vient de désigner le Human Brain Project comme l'un de ses deux programmes phares de recherche de la décennie à venir. Il s'agit de simuler par ordinateur un cerveau humain complet, projet grâce auquel les neurosciences pourraient progresser à pas de géant ● Par Henry Markram, directeur du projet Blue Brain à l'école polytechnique fédérale de Lausanne, en Suisse. Coordinateur du projet Cerveau humain (Human Brain Project).
 
 
 La revue de presse de la rédaction
 
 
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