Bonjour , Cette semaine dans Pour la Science, la critique scientifique déborde de son cadre habituel ; le son ne laisse pas les plantes indifférentes ; Homo erectus vivait aussi en montagne. À lire également, notre archive « Comment le virus du sida a-t-il été découvert ? ». Et enfin, votre magazine de décembre vient de paraître ! À la une de ce nouveau numéro : L'effet du son sur les plantes. Pour consulter l'intégralité de son sommaire, c'est ici. Bonne lecture ! ● François Lassagne, rédacteur en chef de Pour la Science.
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En attaquant en justice les scientifiques émettant des doutes sur leurs travaux, des chercheurs déplacent le débat sur un autre terrain ● Par Yves Gingras, professeur d’histoire et sociologie des sciences à l’université du Québec à Montréal (UQAM) et directeur scientifique de l’Observatoire des sciences et des technologies (OST), au Canada. | |
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| ➜ Cet article est à retrouver dans le dernier numéro de décembre de Pour La Science. Voir le sommaire. Parler à ses plantes, les baigner dans un environnement musical… serait-ce une des clés de ceux qui ont la « main verte » ? Entre expérimentations sonores dans les champs et expériences en laboratoire, pas à pas, la sensibilité des plantes aux sons commence à être élucidée. Déjà, surgissent des questions vertigineuses. Le son aurait-il un rôle dans l’adaptation des plantes à leur environnement ? ● Par Frédérick Garcia, chercheur en intelligence artificielle au sein de l'unité Mathématiques et informatique appliquées de Toulouse (MIAT), Inrae, membre du groupe Vibration des plantes, Bruno Moulia, biomécanicien au laboratoire de physique et physiologie intégratives de l’arbre en environnement fluctuant de Clermont-Ferrand, Inrae et Adelin Barbacci, biomécanicien, spécialiste de l’immunité des plantes au laboratoire des interactions plantes-microbes-environnement de Toulouse, Inrae/CNRS, groupe Vibration des plantes. |
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Une mandibule d’enfant découverte en Éthiopie suggère qu’il y a 2 millions d’années, notre ancêtre s’était déjà adapté à des environnements montagnards ● Par François Savatier, rédacteur à Pour la Science. |
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| En manipulant un gaz d’atomes froids qui passe alternativement d’un comportement de fermions à celui de bosons, des chercheurs ont conçu un système qui peut théoriquement produire du travail ● Par Sean Bailly, rédacteur et responsable des actualités à Pour la Science. |
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| Une étude récente révèle que durant certaines phases du sommeil, nous sommes capables de répondre à des paroles externes. Cette découverte ouvre la voie à une exploration originale des rêves lucides ou des troubles du sommeil, nous explique Delphine Oudiette, chercheuse à l’Institut du cerveau, qui a dirigé cette étude ● Entretien avec Delphine Oudiette, chercheuse en neurosciences cognitives à l’Institut du cerveau, à Paris. |
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La poussière galactique ne se forme que dans des milieux froids. Or les observations les plus récentes révèlent que les étoiles Wolf-Rayet, phase ultime des étoiles massives en fin de vie qui se consument à des températures record, sont entourées de spirales de poussière. Comment expliquer ce paradoxe ? ● Par Peter Tuthill, astronome à l’université de Sydney, en Australie. |
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Comment le virus du sida a-t-il été découvert ? La journée mondiale de lutte contre le sida est organisée, comme chaque année depuis 1988, ce vendredi 1er décembre, sous l’égide de l’Onusida. Cette année est cependant particulière : cela fait quarante ans qu’a été découvert, par Françoise Barré-Sinoussi et Luc Montagnier, à l’institut Pasteur, et leurs collègues, le virus responsable de cette maladie qui touche environ 40 millions de personnes. Mais sait-on qu’il a fallu attendre les années 2010 pour clore l’enquête sur l’origine de l’épidémie ? C’est cette longue quête scientifique que racontait en 2021, dans Pour la Science, Francis Barin, professeur émérite à l’université de Tours, rattaché à l’unité Inserm Morphogenèse et antigénicité du VIH et des virus des hépatites. |
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Sur les traces de l’origine du sida |
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| Il y a quarante ans, le monde médical repérait les premiers cas de sida. Mais d’où venait le virus ? Il a fallu attendre la fin des années 2010 pour clore l’enquête sur l’origine de la pandémie. ● Par Francis Barin, professeur émérite de l’université de Tours et membre honoraire de l’institut universitaire de France, rattaché à l’unité Inserm Morphogenèse et antigénicité du VIH et des virus des hépatites. |
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