Bonjour ,
 
Cette semaine dans Pour la Science, les nombres imaginaires s’invitent dans le réel, le corps humain inspire la grammaire de langues uniques au monde, et les briques fondamentales de la vie viendraient bien des astéroïdes.
 
Et aussi, "Comment les feux de forêt affectent la santé" ainsi que la revue de presse de la rédaction.
 
Bonne lecture !
 
● François Lassagne, rédacteur en chef à Pour la Science.
 
 
Vous souhaitez acheter le dernier numéro de Pour La Science (ou des numéros précédents, des hors-séries), au format papier ou numérique ? Visitez notre boutique
 
 
À lire cette semaine
 
 
Cet article est à retrouver dans le dernier n° de Pour La Science de Septembre. Voir le sommaire.
Les nombres imaginaires sont une astuce mathématique étonnamment efficace pour mener des calculs. Mais ils seraient bien plus que cela. Sans eux, la théorie quantique standard est incapable de décrire certaines expériences ! ● Par Marc-Olivier Renou, physicien au centre Inria de Saclay et au Centre de physique théorique de l’École polytechnique, Antonio Acin, directeur de recherche à l’Institut des sciences photoniques à Castelldefels, en Espagne et Miguel Navascués, directeur de recherche à l’Institut d’optique quantique et d’information quantique, à Vienne, en Autriche.
 
 
Une famille de langues en voie de disparition, dans les îles Andaman, suggère que les premiers hommes utilisaient leur corps comme modèle de la réalité ● Par Par Anvita Abbi, linguiste, spécialiste des langues indigènes, membre du comité d’experts de l’Atlas mondial des langues de l’Unesco.
 
 
Les constituants de nos protéines seraient nés dans des astéroïdes avant d’être apportés sur la Terre. Un nouveau mécanisme confirme cette hypothèse ● Par John Rennie,  rédacteur en chef adjoint au magazine Quanta et Allison Parshall, journaliste scientifique.
 
 
 Vos articles préférés la semaine dernière
 
 
À l’issue de 1 500 heures de calculs, des mathématiciens sont parvenus à déterminer ce nombre qui résistait depuis plus de trente ans  Par Charlotte Mauger, journaliste scientifique.
 
 
Les universités manipulent les éléments qui améliorent leur classement tandis que ceux qui établissent ces classements modifient en retour leurs méthodologies pour s’adapter aux manipulations... ● Par Yves Gingras, professeur d’histoire et sociologie des sciences à l’université du Québec à Montréal (UQAM) et directeur scientifique de l’Observatoire des sciences et des technologies (OST), au Canada.
 
 
Cet article est à retrouver dans le dernier n° de Pour La Science de Septembre. Voir le sommaire.
L’infection de l’utérus par une bactérie du genre Fusobacterium, commun dans les microbiotes buccaux et intestinaux, augmenterait le risque de développer une endométriose, une maladie gynécologique fortement invalidante  Par Noëlle Guillon, journaliste scientifique.
 
 
 Pourquoi ? Comment ?
 
 
Comment les feux de forêt affectent la santé. Les incendies qui continuent de ravager les forêts canadiennes, et ont consumé des dizaines de milliers d’hectares en Grèce, produisent de très importants volumes de fumée. L’atmosphère orangée dans les rues de New York a marqué les esprits. Quel est l’effet des nuages de fumée, traversant les continents, sur la santé des populations ?
 
 
 
 
Alors que les incendies de forêt sont de plus en plus nombreux, une campagne aérienne cherche à comprendre comment les fumées qu’ils émettent affectent la santé humaine ● Par Kyle Dickman, journaliste indépendant.
 
 
 La revue de presse de la rédaction
 
 
Fukushima : que faire du corium ?
 
 
Le 24 août, l’opérateur de la centrale nucléaire de Fukushima ont commencé à rejeter en mer l’eau contaminée issue des opérations de sécurisation des installations endommagées en 2011, suscitant une intense polémique. Au sol, un autre problème se présente : le traitement de plus de 800 tonnes de corium, mélange extrêmement radioactif issu de la fonte du combustible et d’organes internes de trois réacteurs.
 
 
Le cas chat-thon
 
 
Que les chats, espèces originaires de milieux secs, aient un appétit certain pour le thon, ne lasse pas d’étonner. Mais l’expérience est sans appel : les matous ont un penchant très affirmé pour ce poisson. Et l’on sait désormais pourquoi. Leur palais apprécie plus que tout les molécules à l’origine de l’umami, en particulier celles présentes en quantité élevées dans la chair du thon.
 
 
1,5°C de plus, objectif perdu ?
 
 
Les événements climatiques extrêmes, qui ont émaillé l’été 2023 partout sur la planète, risque d’être plus nombreux à l’avenir, si l’on ne réussit pas à limiter le réchauffement climatique. La limite de 1,5°C de plus, par rapport à la température moyenne mondiale qui prévalait avant l’ère industrielle, a été fixée en 2015, à la signature de l’Accord de Paris, lors de la COP 21. Pourquoi cette limite fut-elle choisie ? Est-il encore possible de la respecter ?
 
 
E.T. et ses mécènes
 
 
Des milliardaires américains ont investi massivement dans la réalisation d’enquêtes concluant à la présence de véhicules extraterrestres dans les cieux terrestres, et des élus du Congrès leur prêtent l’oreille, soupçonnant le gouvernement de cacher la vérité. Ce n’est pas un épisode de la série X Files, mais la réalité aux États-Unis.
 
 
———
 
 
Le dernier numéro de
Pour la Science
 
Découvrez LA VIE dans notre dernier hors-série !
 
 
 
Vous souhaitez acheter le dernier numéro de Pour La Science (ou des numéros précédents, des hors-séries), au format papier ou numérique ? Visitez notre boutique
 
 
Bonne lecture et à la semaine prochaine !
 
 
Cette newsletter vous a été transférée ?
Si vous souhaitez vous y abonner : c'est ici !
 
 
Facebook
Twitter
Instagram
 
 
Vous avez reçu cet email car vous vous êtes inscrit sur Pour la Science.
Conformément à la Loi Informatique et Libertés du 6 Janvier 1978, vous disposez d'un droit d'accès, de modification et de suppression des données personnelles vous concernant, que vous pouvez exercer à tout moment sur demande.
 
 
 
© 2023 Pour la Science