#déconfinement 

Chères lectrices, chers lecteurs,


Après deux mois d'une situation hors normes, il n’est pas forcément facile de reprendre une vie normale. Nous sommes nombreux à en avoir fait l’expérience cette semaine. Sortir de chez soi, mais combien de temps ? Envoyer les enfants à l’école, mais combien de fois pas semaine ? Aller au bureau, ou préférer le télétravail ? Qui dit déconfinement, dit règles moins strictes, et nous devons donc savoir plus précisément sur quels critères baser nos décisions individuelles. Cette semaine, plusieurs articles sur notre site vont nous y aider.
 
Oui, la classe est irremplaçable pour les enfants. Et pas toujours pour les raisons que l’on croit. Le spécialiste de neuro-éducation Jean-Philippe Lachaux nous explique ainsi que les jeunes cerveaux apprennent en grande partie en voyant leurs camarades donner en direct de plus ou moins bonnes réponses. Un phénomène appelé apprentissage vicariant, que les classes en live autorisent mieux que les cours virtuels.
 
C’est quand on est de nouveau libre de ses mouvements qu’il faut être capable de s’autoréguler. Le psychologue Oivier Houdé nous livres les secrets de cette capacité qui peut se développer, pour être plus à l’affût des marques au sol, des bonnes façons de mettre un masque : l’inhibition cérébrale. À cultiver plus que tout, pour diminuer le risque de deuxième vague virale et de reconfinement !
 
Parfois, on est tenté de rester tout simplement… confiné. C’est l’avis qu’expriment de nombreux internautes, pour qui la réouverture globale implique de s’exposer de nouveau à ces multiples occasions de contamination que représentent inévitablement nos semblables. Nous vous expliquons que notre cerveau a développé ce système de repli automatique vis-à-vis de la foule, le système immunitaire social, et ce circuit a effectivement peur de se retrouver au contact des autres. Alors, sachez reconnaître son fonctionnement pour décider quand lui céder et quand lui résister.
 
Après des semaines loin du bureau, on regrette parfois son siège ergonomique, et on constate les ravages d’une chaise de cuisine bancale sur notre colonne vertébrale. Les maux de dos sont un des effets secondaires du confinement, alors rien ne vaut un programme scientifiquement validé pour remettre ses lombaires dans le bon sens !  

Bonne lecture !
 
Sébastien Bohler et toute la rédaction de Cerveau & Psycho

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