Chères lectrices, chers lecteurs, Certains d'entre vous l'ont peut-être senti. Nous sommes toujours enfermés, mais quelque chose a changé. Nous avons commencé à faire reculer le virus. Et cela nous donne de l'espoir, sous forme d'une molécule que certains d'entre vous connaissent bien, la dopamine.
Reste qu'il faut maintenir le lien social pour tenir le choc sur la durée. À ce propos, quelle est l'efficacité relative du téléphone, des réseaux sociaux ou de la vidéo pour maintenir le contact avec ceux qu'on aime ?
Et puisque nous avons pris le taureau par les cornes, nous vous proposons une aventure originale : participer aux recherches sur les effets psychologiques du coronavirus. Pour cela, vous pouvez transmettre à des chercheurs la façon dont nous vivons le confinement, comment il perturbe nos émotions, notre sommeil, notre rapport au temps... En quelques clics.
Enfin, si l'on souhaite essayer d'imaginer comment tout cela se terminera, relisons La Peste de Camus, à travers le regard du neuroscientifique Sebastian Dieguez. Une façon de voir comment l'insouciance du début fait place à la peur, puis à la responsabilisation collective.
Bon week-end à tous, Sébastien Bohler et toute la rédaction de Cerveau & Psycho |
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