| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. A la Une de votre newsletter ce vendredi, toujours ce gigantesque incendie qui ravage le Var et que les pompiers ne parviennent pour l’instant pas à maîtriser. Egalement dans l’actualité, la situation sanitaire qui ne s’améliore pas aux Antilles, le casse-tête diplomatique posé à la communauté internationale par les talibans, la mise en retrait de Didier Raoult, l’avenir de Kylian Mbappé au PSG et Nicole Kidman qui joue les gourous. Bonne lecture, et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Cécile Mortreuil, cheffe de service adjointe au pôle News
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On en parle | | | ● Le massif des Maures toujours en proie aux flammes. Malgré une accalmie la nuit dernière, et l’espoir d’enfin fixer cet incendie ravageur qui a fait deux morts, les pompiers se sont rendus à l’évidence hier : le feu est toujours aussi instable. Tandis que l’enquête avance et privilégie la thèse d’un mégot jeté sur une aire d’autoroute, le Var tente de panser ses plaies. Sur place, entre colère et désespoir, c’est une ambiance de désolation qui règne. ● Situation toujours dramatique aux Antilles. Un peu plus de 120 soignants venus de métropole sont arrivés hier en Guadeloupe et en Martinique, où l’épidémie de Covid-19 continue de flamber. Tandis que d’autres renforts doivent encore atterrir aujourd'hui, les évacuations de patients vont se poursuivre dans les prochains jours. On fait le point, en chiffres, sur la situation sanitaire sur place. ● Nouveau règlement de comptes à Marseille. Un adolescent de 14 ans a été tué par deux hommes armés et deux mineurs de 8 et 14 ans ont été blessés mercredi soir dans la cité des Marronniers (XIVe arrondissement). «C’est peut-être un coup de pression sur ce point de deal, une vengeance ou carrément la volonté de s’approprier ce plan stup», estime un policier. Depuis le début de l'année, déjà 11 personnes sont mortes au cours de règlements de comptes dans les Bouches-du-Rhône. ● Les talibans, un casse-tête diplomatique. Tandis que les exfiltrations d’Afghanistan se poursuivent - un troisième vol français est arrivé hier soir à Roissy - la communauté internationale paraît divisée sur la question de reconnaître ou non le nouveau pouvoir en place à Kaboul. En France, c’est aussi l’accueil des réfugiés afghans qui agite la classe politique, alors que certaines communes, même de petite taille comme Magny-les-Hameaux (Yvelines), se portent déjà volontaires. ● Prêtre tué en Vendée. Une information judiciaire pour «assassinat» a été ouverte hier à la suite de la mort du prêtre Olivier Maire, tué par de «coups violents» portés à la tête dans la nuit du 8 au 9 août, à Saint-Laurent-sur-Sèvre. Comme nous vous le révélions, la justice va notamment se pencher sur le profil psychologique d'Emmanuel Abayisenga, l'auteur présumé des faits. ● Alerte à la bombe à Washington. Un homme à bord d’un véhicule a menacé hier de faire exploser une bombe près du Capitole, provoquant le déploiement d’un important dispositif de sécurité autour du siège du Congrès américain. Dans une vidéo postée sur Facebook, Floyd Ray Roseberry, identifié comme un pro-Trump, affirmait notamment être «prêt à mourir pour la cause». Après plusieurs heures de négociations, il s'est finalement rendu à la police. Les enquêteurs cherchent désormais à mesurer la réalité de la menace. Aucune bombe n'a été retrouvée dans sa voiture, mais du matériel permettant d'en réaliser était bien présent.
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1 minute pour comprendre | | La mise à l'écart de Dider Raoult à l'IHU de Marseille | L’info. A 69 ans, le professeur et microbiologiste Didier Raoult, figure controversée de l’épidémie de Covid-19, doit partir à la retraite cet automne, selon les règles du ministère de l’Enseignement supérieur. En conséquence, sa place à la tête de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) de Marseille, en tant que non-praticien, pose question : deux membres du conseil d’administration de l’institut comptent lancer un appel d’offres pour lui trouver un remplaçant, qui pourrait officier dès 2022. Qu’en dit Didier Raoult ? Pour l’instant, le professeur ne s’est pas publiquement exprimé sur le sujet. Le scientifique, qui connaît la procédure, avait bien demandé à être prolongé de trois ans à l’aide d’un contrat de cumul emploi retraite. Mais sa demande a été refusée par l’Assistance Publique-Hôpitaux de Marseille (AP-HM). Il pourrait essayer de rester au sein de l’IHU, tenu par une fondation privée, en tant que salarié, sous réserve de validation des membres de son conseil d’administration. Pourquoi cette décision fait-elle réagir ? Parce qu’elle prend une dimension politique, Didier Raoult étant devenu une figure des milieux contestataires de l’épidémie. Les partisans de son départ, comme François Crémieux, directeur de l’AP-HM, fustigent ses prises de position servant de «caution scientifique» au discours «anti-vaccin, anti-pass», qui «nourrit la sphère complotiste». Les soutiens de Didier Raoult, comme l’eurodéputé RN Gilbert Collard, dénoncent «une volonté bureaucratique de l’éliminer». | |
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| «Les talibans n'ont pas les moyens de subvenir aux besoins du peuple afghan» | Jean-Charles Brisard, président du Centre d’analyse du terrorisme, au sujet des ressources financières des nouveaux maîtres de l'Afghanistan | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. On se retrouve demain, à 8h30. D'ici là, n'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Bernard qui vous entourent et passez une agréable journée. |
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