| Paris, mercredi 11 décembre 2019 • Bruno Bertez : Inflation : le miracle n'a pas eu lieu La planche à billets n'a pas produit les hausses de prix espérées ; l'argent reste dans la sphère financière sans irriguer l'économie réelle. Cela signe le retour des politiques accommodantes... et des déficits. • Bill Bonner : L'emploi US, une vigueur en trompe-l'oeil Les chiffres de l'emploi américain ont provoqué une vague d'euphorie sur les marchés... mais ils dissimulent une réalité moins reluisante. • E.B. Tucker : Le meilleur moyen de parier sur la hausse de l'or... L'or reprend du poil de la bête – et la tendance pourrait se confirmer en 2020. Il existe un moyen efficace de profiter de la hausse... | LES NOTES DE BRUNO BERTEZ
| Inflation : le miracle n'a pas eu lieu
| Je commence à changer d'avis sur la question de l'inflation. Je dis bien "je commence". Je crois donc utile de vous en parler, approfondissant mon article de lundi. Il ne s'agit que d'une ébauche ; rien n'est sûr à ce stade, mais les indices méritent que l'on s'y attarde. Le miracle monétaire façon Bernanke ne s'est pas produit. La planche à billets, tout en multipliant les signes monétaires, n'a pas produit les hausses de prix souhaitées. Il n'y a pas eu "transmission", ce qui veut dire que l'argent est resté cantonné dans la sphère financière : il est resté mort, zombie, il n'a habité que le monde des ombres financières.
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Par ailleurs, même s'il y avait eu un début de transmission, je ne suis pas sûr que la hausse des prix aurait pu se développer car la Fed continue de gérer selon les principes mis en place dans le milieu des années 60 ; elle gère de façon proactive ou préemptive. Elle a pour doctrine de monter les taux dès qu'il y a un début de hausse des prix et des salaires – ce qu'elle a d'ailleurs fait ces dernières années quand elle s'est trompée et qu'elle a cru, à tort, que la reprise mondiale synchronisée en 2017 était là. Erreurs et rechutes Cette doctrine repose sur l'idée que les hausses de prix mettent 12 à 18 mois pour se développer et qu'il ne faut pas commettre l'erreur de laisser les anticipations inflationnistes s'enraciner. C'est en raison de cette doctrine que la Fed s'est trompée en décidant de remonter ses taux et de réduire la taille de son bilan, ce qui a provoqué la rechute déflationniste en 2018. Je pressens que la Fed a tiré les conclusions de son erreur de 2017 et qu'elle veut éviter de la reproduire à l'avenir. C'est ainsi que nous interprétons les récentes déclarations concordantes des responsables de la conduite monétaire. Ces déclarations veulent persuader les marchés que la Fed sera plus tolérante sur l'inflation et qu'elle raisonnera sur des moyennes longues – sous-entendu "nous ne monterons plus les taux aussi vite". Ce changement est en discussion. Il se complète par l'idée de porter l'inflation cible à un niveau plus élevé, comme 2,5% à 3%. Ceci est le premier point de notre argumentation ; il y en a un deuxième. Pas de ruissellement Notre doctrine personnelle est que la création monétaire en période d'humeur déflationniste/frileuse ne produit aucune hausse des prix des biens et services, parce que dans ces périodes, les gens ont peur. Or quand on a peur, on préfère le cash ou le quasi-cash aux biens et services. La préférence pour la liquidité et la quasi-liquidité est forte. Donc l'argent ne ruisselle pas. Pour qu'il ruisselle, il y a deux solutions. La première est d'augmenter les dépenses du gouvernement et de gonfler le déficit ; la seconde est le fameux "helicopter money" – c'est-à-dire donner directement l'argent aux gens. Les élites ne sont pas encore prêtes à donner l'argent directement aux populations mais elles discutent en ce moment d'un revirement dans la gestion des finances publiques. Elles veulent abandonner l'austérité : le FMI, l'OCDE, la BCE de Lagarde, le Financial Times (FT), les gens de Davos – tous plaident en ce sens. L'idée fait son chemin. Incitation à la vigilance Lisez notre article sur la campagne du FT en faveur de l'augmentation des déficits, publié il y a quelques jours. Je crois qu'il est probable qu'elle sera mise application. Si elle l'est, si on réaugmente les déficits, il se passera ce qui s'est passé aux Etats-Unis avec la politique dépensière de Trump : il y aura un effet sur la demande et un effet reflationniste quasi-certain. Politiques monétaires très accommodantes + déficits accrus = un peu plus d'inflation. Dans cette hypothèse, les taux longs auraient tendance à remonter – puisque les anticipations d'inflation augmenteraient. Ce serait mauvais pour les fonds d'Etat à long terme mais ce serait bon pour le secteur bancaire. Déjà, les indices boursiers du secteur bancaire ont meilleure allure. C'est peut-être une coïncidence, mais il convient de ne pas négliger ce signal. Par ailleurs il convient de surveiller les rotations à l'intérieur du marché des actions et les changements de leadership. Ceci est plutôt positif pour l'or. Prenez ce texte non comme une prévision mais comme une alerte qui incite à la vigilance. [NDLR : Retrouvez toutes les analyses de Bruno Bertez sur son blog en cliquant ici.] | LES NOTES DE BILL BONNER
| L'emploi US, une vigueur en trompe-l'oeil
| Triste nouvelle : le dernier banquier central honnête d'Amérique s'est éteint cette semaine. Nous en reparlerons. En attendant, les marchés américains ont profité d'une "victoire écrasante sur le front de l'emploi", montrant que l'économie US est "encore vigoureuse". Donald J. Trump en a rajouté une couche : "On a tout écrasé. Regardez ces chiffres industriels ; tout écrasé." Personne n'a mentionné que la majeure partie des emplois ne concernait pas l'industrie... et que la hausse de novembre provenait de la fin de la grève chez General Motors, non d'une croissance robuste du secteur manufacturier. Au lieu de cela, les tendances principales se poursuivent : raréfaction des emplois bien payés dans l'industrie ; augmentation des jobs à bas salaire dans le secteur des services. Par ailleurs, personne n'a voulu gâcher la fête en rappelant que le chômage n'est pas un indicateur avancé. Les entreprises prennent leurs décisions d'embauche des mois avant que les nouveaux employés soient comptabilisés dans la main-d'oeuvre. L'emploi est toujours élevé... juste avant une récession. Ensuite, quand les ventes faiblissent et que les profits disparaissent, les entreprises ne se débarrassent pas immédiatement de leurs employés ; elles réduisent le nombre d'heures travaillées... attendant de voir jusqu'où la situation s'aggrave avant de prendre des mesures plus radicales. C'est exactement ce qu'elles semblent être en train de faire en ce moment. Si on regarde les "heures travaillées" au lieu du nombre d'employés, on constate la même tendance à l'affaissement qu'un peu partout ailleurs. Un boom en fin de vie Nous avons rapporté il y a quelques jours que le déficit commercial US se réduit... pour de mauvaises raisons. Les Américains n'achètent tout simplement plus autant à l'étranger. Ce qu'ils n'achètent pas ne n'est donc pas chargé dans des camions et des trains... si bien que les dockers, les débardeurs et les camionneurs se retrouvent sans rien à faire. On peut le constater en regardant le temps que passent les salariés américains au travail chaque semaine. Les chiffres sont désormais négatifs – avec une chute des heures de travail dans le commerce, les transports, les services publics et les entrepôts – tout comme ils l'étaient à l'approche de la dernière grande crise, en 2007. En d'autres termes, les chiffres de l'emploi "écrasants" reflètent plus le passé que l'avenir. Ils sont typiques d'un boom en fin de vie. Mais plus le boom met de temps à se terminer... plus les gens commencent à se dire qu'il est éternel. Ils tentent alors de l'expliquer, examinent les verrues et les cicatrices... et les confondent avec des grains de beauté. Plus on est de fous (endettés), plus on rit Maintenant que le monde est profondément enlisé dans les taux négatifs, par exemple, les penseurs planétaires réfléchissent intensément aux raisons pour lesquelles les taux négatifs ne sont pas grotesques... mais attirants. Quant à la dette, plus on est de fous plus on rit : elle peut aider à guérir les malades, nourrir les pauvres... et acheter un nouveau porte-avion ! On attendrait ce genre de sottises de la part de Kudlow, Krugman, Piketty, Lagarde, Summers et al. Mais et tu, George ? George Gilder, Gale Pooley et Marian Tupy sont normalement des personnes sensées. Gilder a écrit l'un des meilleurs livres sur l'argent jamais publiés, The Scandal of Money ["Le scandale de la monnaie", NDLR]. Pooley et Tupy ont quant à eux élaboré l'analyse "temps/prix" qui nous aide à comprendre ce qu'il se passe vraiment. Comme le formule Gilder : "Le temps/prix explique la réalité économique bien mieux que les analyses déformées des économistes conventionnels du gouvernement, avec leurs indices de prix à la consommation, subjectifs, leurs déflateurs de PIB et leurs suppositions sur la parité du pouvoir d'achat." Et voilà qu'ils sont passés de l'autre côté du couloir – or c'est un couloir important... Le Meilleur des Mondes ? D'un côté, on trouve ceux qui pensent que nous sommes dans le Meilleur des Mondes, magnifié par les progrès de la technologie et de l'expertise. De l'autre – où se situe votre correspondant... solitaire comme un nuage – se trouvent ceux qui pensent qu'on est en réalité toujours dans le même monde ordinaire, où nous les humains commettons des erreurs et des péchés de manière plus ou moins régulière... et sommes sujets à des accès de folie collective de temps à autre. Cela met votre correspondant en porte-à-faux avec quasiment tous les économistes universitaires, banquiers centraux, décideurs politiques... et les autres. Ils pensent tous que le gouvernement doit dépenser plus d'argent pour "stimuler" l'économie... pour revigorer la "demande"... ou simplement pour créer plus d'inflation des prix à la consommation. "Oubliez la dette", disent-ils... "C'est votre grand'père qui s'en soucie, pas nous". Ils pensent tous que nous sommes réellement entrés dans une grande et glorieuse nouvelle ère. Est-ce le cas ? Nos banquiers centraux sont-ils plus sages que jamais ? N'avons-nous plus rien à craindre que les revendeurs de crainte eux-mêmes ? La technologie et l'innovation vont-elles nous sauver de nos dettes record... et aider notre économie à croître si rapidement que même des taux négatifs sembleront généreux ? Nous verrons... [NDLR : Si vous avez des doutes sur ce "meilleur des mondes", prenez quelques précautions dès maintenant – en adoptant une stratégie de protection simple et efficace. Tout est là...] | Faut-il investir dans la Française des Jeux ? Tout le monde en parle... mais est-ce vraiment LA bonne chose à faire pour votre argent ? Plus d'informations par ici. |
| LES NOTES DE E.B. TUCKER
| Le meilleur moyen de parier sur la hausse de l'or...
| A la fin de l'année dernière, l'or était toujours bloqué en dessous de 1 300 $ l'once. Le marché était encore dominé par la peur, étant donné que cela ne faisait que quelques mois que le cours de l'or avait réussi à s'extirper de ses niveaux les plus bas atteints depuis 2016. En ce qui me concerne, je n'avais pas peur... En fait, j'ai annoncé à l'époque que d'après mes prévisions, l'or allait atteindre 1 500 $ l'once en 2019. Cet objectif a été dépassé dès le mois d'août. Depuis, le prix de l'or a un peu reculé, mais il reste non loin des 1 500 $ l'once. Voici pourquoi j'écris pour vous cet article aujourd'hui : je suis convaincu que le franchissement de la barre des 1 500 $ ne constitue que le début de la hausse du cours de l'or. Je m'attends à ce que l'or dépasse son précédent plus haut à 1 900 $. Cela représente un gain de 30% par rapport au niveau actuel. Et je m'attends à ce que cela se produise en 2020. En fait, comme je l'ai indiqué récemment à Kitco News, je prévois que l'or atteindra 2 200 $ – soit une hausse de près de 50% par rapport à son niveau actuel, un peu au-dessous des 1 470 $ l'once. Aujourd'hui, je vais vous expliquer pourquoi... et comment vous pourriez en tirer profit. Un mouvement haussier majeur se prépare sur le cours de l'or Chaque fois que j'ai réalisé des gains importants grâce à mes investissements, je me suis positionné sur une tendance majeure et j'ai attendu patiemment. Le trading est une activité difficile. Réaliser des allers-retours rapides sur le marché peut fonctionner à court terme. Mais pour réaliser des gains importants, vous devez vous positionner en faisant preuve de patience et attendre que le marché haussier aille jusqu'à son terme. Après avoir atteint un plus haut en 2011, le prix de l'or a chuté de 45% jusqu'à toucher un plus bas à 1 052 $ à la fin de l'année 2015. L'administration Obama et la Fed avaient décidé de se lancer dans l'expérimentation de politiques monétaires extrêmes, mais le prix de l'or était resté bloqué. Il n'a pas réussi à repartir durablement à la hausse après avoir atteint un plus bas en 2015. Ce qui est mauvais pour l'or est insupportable pour les sociétés minières. Elles s'étaient engagées dans de nouveaux projets sur la base de l'hypothèse qu'elles seraient capables de vendre l'or extrait pour plus de 1 500 $ l'once. Par la suite, le prix a baissé en dessous de 1 100 $. Cela signifie que leurs projets étaient voués à l'échec avant même que la première once d'or soit sortie du sol. Cette période est aujourd'hui révolue. Pour vous le prouver, je peux vous donner toute une liste d'indices. Plusieurs grandes sociétés minières ont fusionné cette année dans le but de réussir à survivre. Il ne s'agissait pas d'OPA hostiles. Les dirigeants ont simplement décidé de mettre leurs egos de côté et de fusionner afin d'éviter que leurs sociétés ne disparaissent entièrement. Les dysfonctionnements politiques et l'explosion des déficits constituent également des facteurs favorables à l'or aujourd'hui. Les trois plus grandes banques centrales du monde développé ont récemment déclaré qu'elles feraient tout ce qui est en leur pouvoir pour stimuler leurs économies. Dans le jargon des banquiers centraux, cela signifie "créer plus de monnaie". Cependant, pour décider de risquer notre capital sur le secteur aurifère, il nous faut plus que quelques indices. De notre point de vue, c'est la raison pour laquelle l'analyse du graphique du prix de l'or est tellement important. C'est de cette façon que j'ai pu déterminer que la barre des 1 500 $ constituait un objectif important pour l'or cette année. Si ce niveau était atteint, ce qui s'est produit, j'avais la conviction que cela constituerait un signal pour investir de façon plus agressive en prévision d'une hausse des prix. Le graphique du prix de l'or ci-dessous remonte à 2014. Remarquez qu'après avoir atteint un plus bas (entouré en rouge) à la fin de l'année 2015, chaque mouvement de hausse qui a suivi a été marqué par des plus bas de plus en plus hauts. Les mouvements de correction en 2016 et 2018 (que j'ai également entourés en rouge) se terminent chacun à un niveau plus élevé que le précédent. Pour nous, c'était le signal que ce n'était qu'une question de temps avant que l'or explose à la hausse. Casser la barre des 1 500 $ était un premier test. Le prochain mouvement sur l'or prendra par surprise les gestionnaires d'actifs traditionnels. Comme je l'ai écrit plus haut, je m'attends à ce que le prix de l'or finisse par dépasser son plus haut de 2011. C'est la raison pour laquelle la correction sur l'or constitue l'opportunité idéale pour vous positionner en prévision de ce qui va se produire par la suite. Le pouvoir de l'effet de levier L'expression "effet de levier" désigne généralement le recours à l'endettement. Ce n'est pas le cas sur le marché aurifère. Si vous n'êtes pas familier avec le concept d'effet de levier dans le domaine des actions de sociétés aurifères, voici un exemple rapide pour illustrer le pouvoir de ce mécanisme... Disons que le prix de l'or augmente de 1 300 $ à 1 400 $ l'once. Cela représente une hausse d'environ 8%. Si vous possédez de l'or physique, vous avez donc gagné 8%. Maintenant, disons qu'une société minière possède des réserves souterraines estimées à un million d'onces d'or et que l'or s'échange à 1 300 $ l'once. La valeur de cette réserve d'or ne s'élève pas réellement à 1,3 milliard de dollars (un million d'onces multiplié par 1 300 $ l'once). En réalité, la valeur de cet or est beaucoup plus faible en raison des coûts importants nécessaires pour l'extraire du sol. Admettons qu'il en coûte à la compagnie 1 250 $ par once au total pour extraire cet or. Avec un prix de vente de 1 300 $, la compagnie pourrait réaliser un profit potentiel de 50 $ par once. Cependant, si le prix de l'or augmente de 8% pour atteindre 1 400 $, alors le bénéfice par once réalisé par la compagnie aura augmenté de 200% (1 400 $-1 250 $ = 150 $ de marge par once). C'est la raison pour laquelle une légère augmentation du prix de l'or peut entrainer une hausse bien plus importante du cours des actions de sociétés minières, à hauteur de 40%, 50% voire plus. C'est déjà arrivé auparavant... Les sociétés minières ont connu plusieurs périodes de boom au cours de trois cycles distincts qui ont accompagné une hausse importante de l'or : en 1979-1980, au milieu des années 1990, et entre 2001 et 2006. Commençons par le plus impressionnant de tous ces marchés haussiers : 1979-1980... L'or a plus que triplé au cours de cette période. Mais les actions de sociétés aurifères ont plus que quadruplé. Ce n'est pas la seule fois que les actions de sociétés aurifères ont surperformé l'or lui-même... Une autre flambée des cours s'est produite dans les années 1990. En moyenne, les actions des sociétés aurifères ont grimpé de plus de 200%. Cambior a gagné 124%. Kinross Gold s'est apprécié de plus de 190%. Et Manhattan Gold & Silver s'est envolée de plus de 760%. Sur la même période, l'or n'est monté que de 8%. Ensuite, une flambée des cours s'est produite entre 2001 et 2006. L'or a gagné 158%, pendant que les actions des sociétés aurifères gagnaient en moyenne 400%. Newmont a grimpé de 270%. Gold Fields a explosé de plus de 500%. Et Goldcorp s'est appréciée de 800%. Comme vous pouvez le voir, une augmentation du cours de l'or (même minime) peut entrainer des gains faramineux. C'est le moment de saisir cette opportunité Vous n'avez certainement pas envie de rester à l'écart au moment où le plus grand mouvement de hausse de l'histoire du marché de l'or débute... Rappelez-vous qu'avant d'investir dans des actions de sociétés aurifères, il est prudent de posséder de l'or physique. En effet, l'or constitue un actif tangible que vous pouvez littéralement tenir dans votre main. Il s'agit d'une véritable monnaie, une valeur refuge, et une façon de protéger votre épargne. Il a survécu et continuera de survivre à chaque crise financière. Ensuite, vous pouvez spéculer sur une hausse des cours de l'or en investissant dans des actions de sociétés aurifères, ce qui vous donne la possibilité de démultiplier votre capital en cas de marché haussier sur l'or. Vous pouvez par exemple vous intéresser à un fond coté (ETF), tel que VanEck Vectors Gold Miners ETF (GDX), qui investit dans un panier diversifié d'actions de sociétés aurifères. Mais la meilleure façon de tirer profit de cette opportunité est de suivre les recommandations que nous vous donnons dans le service MicroCaps Fortunes, accessible juste ici. Rappelez-vous simplement que les actions de compagnies aurifères sont extrêmement volatiles. Comme dans tout secteur, les actions des sociétés les plus solides s'apprécieront davantage que celles des sociétés les plus faibles. Et comme toujours, ne pariez pas davantage que ce que vous pouvez vous permettre de perdre. Il suffit d'une petite participation dans la bonne société pour gagner une petite fortune grâce à la hausse du prix de l'or.
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