Bonjour Votre nouveau n° de Cerveau & Psycho vient de paraître ! |
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La colère monte. Manifestations qui dégénèrent, usagers qui agressent des guichetiers ou des médecins, parents d’élèves furieux, invectives sur les réseaux sociaux, rixes entre jeunes… Que se passe-t-il dans notre société ? Le cerveau humain « disjoncte » quand il est frustré. Autrement dit, quand il accumule trop de stress et de contrariétés. C’est ainsi que les rythmes de vie, la charge mentale, le stress, les incertitudes sur l’avenir peuvent amener chacun à un point de rupture où il perdra le contrôle de lui-même. Mais un autre facteur nous est inhérent : notre cerveau perd le contrôle quand il n’arrive pas à gérer les contrariétés, qu’il démarre au quart de tour pour trois fois rien. Sur ce plan, chacun peut développer sa tolérance à la frustration, et s’entraîner à la régulation émotionnelle. Ce dossier propose des moyens d’y arriver, notamment en apprenant à réévaluer ses propres ressentis. Car ce ne sont pas les situations qui nous font réagir, mais la façon dont nous les interprétons. C’est pourquoi le regard que nous portons sur les événements peut faire de nous, soit des bombes prêtes à exploser, soit des individus capables d’ex-primer leurs besoins posément. C’est bon signe : parfois, la cognition l’emporte sur l’émotion. Bonne lecture ! Sébastien Bohler - Rédacteur en chef de Cerveau & Psycho.
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Entre la pression au travail, les soucis administratifs et les contrariétés du quotidien, les occasions sont multiples de perdre ses nerfs. Pour ne pas craquer, les psychologues ont heureusement trouvé des stratégies cognitives pour vous aider à faire retomber la pression. ● Par Gérard Delelis, maître de conférences en psychologie sociale à l’université de Lille et membre du Laboratoire de sciences cognitives et affectives de l’université de Lille et du CNRS (SCALab) |
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— ENTRETIEN | 🕒 10 minutes |
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L’affirmation de soi, qui consiste à exprimer ses droits et ses besoins tout en respectant ceux des autres, est une excellente alternative à la colère, nous explique le psychiatre Frédéric Fanget. ● Par Frédéric Fanget, psychiatre et psychothérapeute | |
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— PSYCHOLOGIE | 🕒 6 minutes |
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Et si se mettre en colère apportait l’énergie qui manque pour résoudre des problèmes difficiles ? C’est ce que semblent indiquer des recherches récentes. À condition – détail crucial ! – de savoir canaliser cette émotion dans une direction clairement établie. ● Par Heather Lench, professeuse de psychologie et de neurosciences à l’université A & M du Texas |
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— PSYCHOLOGIE COMPORTEMENTALE | 🕒 11minutes |
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Un mal étrange frappe les lauréats de la prestigieuse distinction : certains se croient infaillibles, disent n’importe quoi et émettent des théories farfelues en sortant de leur champ de compétence. Comment expliquer une telle panne de l’intelligence ? ● Par Hayet Zeghiche, journaliste indépendante et Nicolas Gauvrit, enseignant-chercheur en sciences cognitives à l’université de Lille. Il est l'auteur du blog Raison et psychologie. |
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— L'ENVERS DU DÉVELOPPEMENT PERSONNEL | 🕒 5 minutes |
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C’est un mantra du développement personnel : « On n’apprend bien que de ses erreurs. » Résultat, certains gourous invitent à célébrer les ratés et échecs… En oubliant que le but est tout de même, à l’arrivée, d’arrêter de se tromper ! ● Par Yves-Alexandre Thalmann, professeur de psychologie au Collège Saint-Michel et collaborateur scientifique à l'université de Fribourg, en Suisse |
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Réputé moins violent que des sports comme la boxe ou le rugby, le foot occasionne tout de même de multiples chocs à la tête – dont les conséquences inquiètent les neurologues. ● Par Lauren Young, rédactrice en chef adjointe au magazine Scientific American, chargée de la santé et de la médecine |
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— NEUROSCIENCES | 🕒 6 minutes |
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Les électrochocs sont souvent vus comme un traitement barbare. Mais ils se montrent souvent efficace contre les troubles dépressifs majeurs. Une possible explication vient d’être apportée à leur pouvoir thérapeutique. ● Par Elizabeth Landau, journaliste scientifique |
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— PSYCHIATRIE | 🕒 11 minutes |
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Des maladies aussi différentes que la dépression, la schizophrénie ou les TOC semblent « se concentrer » chez les mêmes individus… De quoi faire naître l’hypothèse d’un facteur général de vulnérabilité, appelé « facteur p », et remettre en cause notre vision des troubles psychiques. ● Par Ingrid Wickelgren, journaliste scientifique pour Scientific American |
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— LA QUESTION DU MOIS | 🕒 4 minutes |
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La composition de la sueur change à l’adolescence, avec notamment des molécules dont l’odeur évoque les sécrétions corporelles des chèvres. Résultat : les parents commencent à prendre leurs distances. Ce phénomène pourrait favoriser l’accès du jeune à plus d’indépendance. ● ParJoanna Thompson, journaliste scientifique à New York | |
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Et bien plus encore à découvrir dans ce nouveau numéro... Bonne lecture et rendez-vous le mois prochain. |
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