Le scandale n'a visiblement plus de limites. Nous pensions avoir tout vu sur les événements qui se sont déroulés au Stade de France lors de la finale de la Ligue des champions.
Et bien non.
Le jeudi 9 juin au Sénat était auditionné le directeur des relations institutionnelles de la FFF, Erwan Le Prévost. Il a indiqué que les images de vidéosurveillance n’avaient pas été conservées. Il n'en fallait pas plus pour que la polémique enfle. La justice n'aurait pas réclamé ces images de violence extrême à temps et elles auraient donc été détruites. Ainsi, ces preuves de violences, vols, agressions sont désormais perdues.
L'information aujourd'hui est cruciale, elle permet de rétablir la vérité peu importe la situation. Aujourd'hui, sur cet événement, la vérité est dissimulée, cachée. Le Ministère de l'Intérieur quant à lui porte de fausses accusations sur les supporters étrangers.
À Valeurs actuelles, nous vous assurons de toujours vous raconter les faits. Nous avons, grâce au travail de nos journalistes, été les premiers à donner la nationalité des personnes en garde à vue prouvant ainsi que les supporters anglais n'étaient pas les responsables des crimes commis en ce terrible événement.
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