Sur quels marchés parier en 2020 |
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Paris, vendredi 6 décembre 2019

•   Bruno Bertez : L'âne, la poignée de foin et les plus-values
Qu'est-ce que la véritable fonction des marchés ? Plus important encore, quel est votre propre rôle là au milieu ?

•   Bill Bonner : Donald Trump a-t-il pété les plombs ?
Chine mais aussi Brésil, Argentine, France... Les fronts se multiplient, dans la guerre commerciale – mais la stratégie du président américain semble bien floue.

•  Bill Wirtz : L'agroécologie : une fantaisie des écologistes... subventionnée par vous
Les besoins des économies développées diffèrent de ceux des pays en voie de développement – et ce n'est nulle part aussi apparent que dans le domaine de l'agriculture.


LES NOTES DE BRUNO BERTEZ

L'âne, la poignée de foin et les plus-values

Ce texte n'est accessible qu'aux vrais curieux, à ceux qui veulent vraiment comprendre. Il faut investir, se creuser le crâne pour l'assimiler.

Si les masses n'étaient pas aussi crédules et aussi paresseuses, les élites ne pourraient pas les exploiter comme elles le font.

Ce texte n'est pas un bien de consommation, c'est un bien d'investissement... mais la récompense quand on a compris est énorme.

La vraie fonction d'un marché

Le marché financier n'est pas un lieu d'enrichissement pour le public : c'est un lieu d'exploitation de lui-même et de son épargne, un lieu de destruction des signes monétaires, quasi-monétaires et simili-monétaires excédentaires.

La véritable fonction d'un marché – de tout marché – au travers des excès, des aberrations, des essais et erreurs, c'est la découverte des vrais prix.

Et sur le long terme, les vrais prix s'imposent toujours, c'est radical.

Faut-il investir dans la Française des Jeux ?

Tout le monde en parle... mais est-ce vraiment LA bonne chose à faire pour votre argent ?

Plus d'informations par ici.

Les prix subventionnés, les prix bloqués, les prix soutenus, les prix trafiqués finissent toujours par s'effondrer ; il n'y a aucune exception dans l'histoire.

La chute de l'Union Soviétique, par exemple, c'est la chute d'un système de prix qui n'avait tenu que par l'artifice du rationnement.

La chute du système chinois, système de prix faussés qui ne traduisent pas les besoins et désirs des gens, sera de même provoquée par un mouvement vers la vérité des prix.

La chute du système occidental actuel – et son remplacement par un autre – se fera au terme d'une opération de vérité des prix des biens patrimoniaux, par une remise à zéro des compteurs de la richesse.

anges
La chute des anges rebelles, Brueghel l'Ancien

Capital = argent + pouvoir

Pour tourner, le système doit d'une part faire ressortir une profitabilité suffisante, au moins pour le très grand capital, et d'autre part émettre beaucoup de papier, beaucoup de promesses de plus-values et de rendement.

Je précise que le très grand capital n'est pas évalué en masse de pognon – non, il est évalué en pouvoir. Il détient le pouvoir. Le capital, c'est argent + pouvoir.

Pour comprendre une fois pour toutes comment tourne le système, imaginez un âne. On fixe un bâton au-dessus de son crâne et à ce bâton horizontal, devant son nez, on fixe une carotte. La carotte se balance, hors de portée devant son nez.

Notre âne va sans cesse avancer pour attraper la carotte – à quoi il n'arrivera jamais –, mais ce faisant il va fournir un travail, produire une plus-value. Le soir, ses propriétaires retirent la carotte et lui donnent une poignée de foin.

Ces mêmes propriétaires vont ensuite déguster non seulement la carotte mais également les mets qu'ils se seront payés avec le produit du travail de l'âne. Ils vont ripailler, se goberger, savourer, après lui avoir donné sa petite poignée de foin.

Il ne faut pas confondre le produit du travail qu'accomplit l'âne avec la petite poignée de foin qui sert à le nourrir.

Merci l'alchimie boursière...

Le marché financier est un lieu d'exploitation. Cela veut dire que, comme en matière de travail, on fait levier sur lui, on rémunère le moins possible l'épargne qu'il draine... et "on" engrange la plus-value et la rentabilité de l'argent que l'"on" fait travailler au maximum.

Il y a d'un côté les épargnants sur lesquels Bernard Arnault fait levier, et de l'autre il y a Bernard Arnault qui s'est construit un capital de 100 milliards avec une petite mise de 10 millions.

Le marché financier, actions et obligations est le lieu où le très grand capital vient exploiter/tondre la petite épargne, les caisses de retraite, les assurances-vie etc.

Le marché financier est l'équivalent du marché du travail : il fixe, par la concurrence, un prix bas du travail et ayant payé le travail un prix bas, il s'octroie la plus-value. Aux uns la portion congrue, c'est-à-dire la poignée de foin ; aux autres, le caviar, les oeuvres de maîtres et le portefeuille de politiciens aux ordres.

Je n'ai pas le temps de vous montrer comment le très grand capital extrait la plus-value mais sachez que c'est grâce à l'alchimie boursière. Intuitivement, vous le savez puisque vous constatez qu'Arnault devient très riche et que vous vous léchez la glace ! Un jour j'y reviendrai.

C'est en tout cas ce que j'ai découvert il y a plus de 55 ans dans un article que j'avais alors intitulé "L'exploitation de ceux qui financent les investissements".

J'y démontrais que le très grand capital, celui qui contrôle les entreprises, se servait du petit capital des épargnants comme d'un marchepied pour bonifier son propre profit ; il s'en servait comme d'un levier. Et il écrème.

Passons à la suite.

Ne faites pas l'âne

Le marché financier est un lieu de destruction, cela veut dire qu'il rend tout biodégradable. Quand on a émis trop de promesses, trop de papier, trop de titres – actions ou obligations –, la chute des marchés vient remettre les choses au niveau correct. Elle remet la masse de papier en proportion des richesses réelles qui servent à l'honorer.

En 1929 on a remis les cours au bon niveau, on a chuté de 89% ; en 2000 on a chuté de 83%. En... à une date indéterminée, on chutera de plus de 50%. C'est le minimum.

Je ne cherche pas à vous convaincre : après tout c'est votre problème si vous avez envie de vous ruiner... Simplement il faut que ce soit dit ! Il faut que vous compreniez une fois pour toutes pourquoi le système veut toujours vous attirer en Bourse, pourquoi il agite les grelots/gros-lots de la loterie, pourquoi il salue la hausse des cours, pourquoi il dirige fiscalement votre épargne vers les placements à risques.

Vous êtes l'âne.

Il fait cela parce que cela fait baisser le coût apparent, je dis bien apparent du capital, parce que cela enrichit les ultra-riches et parce que, quand vient la baisse, cela permet l'accomplissement de ce que l'on peut appeler la fonction d'assainissement/nettoyage/destruction.

La destruction, c'est ce qui permet de purger et de repartir pour un tour.

Tout cela constitue non pas une opinion, mais un savoir ; c'est le résultat de plus de 50 ans d'étude et de réflexion pratique et théorique sur le marché financier. Faites-en ce que vous voulez !

[NDLR : Retrouvez toutes les analyses de Bruno Bertez sur son blog en cliquant ici.]


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Comment faire ? Réponse ici.

 


Bill Bonner
LES NOTES DE BILL BONNER

Donald Trump a-t-il pété les plombs ?

Mais que diable ?...

Aujourd'hui, nous nous grattons l'occiput... comme des millions d'autres partout dans le monde.

Le président des Etats-Unis fait-il l'âne pour avoir du son ? Ou s'agit-il d'autre chose encore ?...

Nous y reviendrons dans une minute.

Petite leçon de russe

D'abord, Спасибо.

Nous ne savons qu'un seul mot en russe – et c'est celui-là. Il semble parfait, puisqu'il signifie "merci".

Chris Mayer – notre vieil ami, qui est aussi spécialiste de l'investissement et désormais gestionnaire du fonds Woodlock House Family Capital – nous aide sur une stratégie d'investissement basée sur le "retour à la moyenne". En d'autres termes, on achète lorsque les prix sont déséquilibrés. On fait des gains lorsqu'ils retrouvent l'équilibre.

La plupart des gens veulent se positionner sur les marchés aux meilleures performances ; nous recherchons les pires. Ce sont ceux-là qui se rééquilibrent et vous rapportent de l'argent.

Les entreprises font faillite et disparaissent. Tout comme les humains passent plus de temps morts que vivants, toutes les entreprises sont condamnées à la ruine. Ainsi, lorsque vous voyez une entreprise dont l'action a plongé, mieux vaut vérifier son pouls avant de vous positionner.

Les pays, eux, mettent beaucoup plus de temps à disparaître. Et, à mesure que le temps passe, un sou gagné par une entreprise finnoise devrait valoir à peu près autant qu'un sou gagné au Sri Lanka.

Ainsi, si vous pouvez acheter aujourd'hui un dollar de revenus d'une entreprise finnoise pour 10 $... et un dollar de revenus d'une entreprise sri-lankaise pour 20 $... il y a fort à parier que l'évolution des cours finira par rapprocher les deux, plutôt que les éloigner.

Spassiba !

Prenez deux entreprises du secteur de l'énergie. Si vous voulez acheter un dollar de revenus annuels d'Exxon, vous paierez environ 20 $. En revanche, un dollar de revenus chez l'équivalent russe, Gazprom, ne coûte que 3,50 $ environ. Quelle est la meilleure affaire ?

Nous n'en savons rien. Vous feriez d'ailleurs probablement mieux d'y regarder de plus près afin de déterminer pourquoi ils se sont autant éloignés.

Ne voulant pas faire ce genre de recherches fastidieuses... et n'ayant guère confiance en notre propre intuition... nous simplifions : nous achetons simplement les marchés les moins chers de la planète.

En janvier dernier, par exemple, Chris a recommandé cinq des marchés affichant les pires performances du monde : Russie, Turquie, Allemagne, Grèce et Afrique du Sud.

Nous n'avons pas la moindre idée de ce qui se passe dans ces pays. Nous n'avons pas non plus d'opinion sur l'état de leurs économies ou leurs marchés boursiers respectifs.

Mais notre ETF russe a grimpé de 27% cette année. Spassiba ! La Grèce a fait mieux encore, avec une augmentation de 34% – mais nous ne savons pas comment dire "merci" en grec. [NDLR : ευχαριστώ, efkharisto !]

En revanche, nous ne remercions pas l'Allemagne et l'Afrique du Sud. La première a gagné 9%. La seconde a annulé ce gain par une perte de 10%.

Et la Turquie a fait un four. Elle a reculé de 21%.

Pas mal, dans l'ensemble. Le mois prochain, Chris recommandera cinq autres affreux marchés. Nous vous les ferons connaître en janvier.

Talent naturel

Revenons-en à notre sujet du jour. Comme tout le monde, nous apprécions la plaisanterie – et nous apprécions plus particulièrement la satire et le ridicule.

Nous sommes notamment un ardent admirateur du talent naturel de M. Trump en la matière. En tant que bateleur, le président américain est dans une classe à part... à moins qu'il ne soit complètement crétin.

A vous de voir. Pour commencer, sa guerre commerciale contre les Chinois se révèle aussi éternelle et inutile que la Guerre contre la terreur. Les dernières nouvelles du front, provenant directement de la source :

"Je n'ai pas de délai, non. D'une certaine manière, je pense, je pense qu'il vaut mieux attendre après l'élection, avec la Chine. D'une certaine manière, j'aime l'idée d'attendre après l'élection pour l'accord avec la Chine. Mais ils veulent passer un accord maintenant, et nous verrons si cet accord est bon ou pas ; il faut qu'il soit bon."

Non content d'avoir facturé au consommateur américain des milliards de dollars de taxes d'importation et de prix plus élevés à cause de sa chamaillerie avec les Chinois, Trump s'est attaqué aux Brésiliens et aux Argentins lundi, au motif que leurs devises ont baissé. Il a tweeté :

"Le Brésil et l'Argentine ont présidé une énorme dévaluation de leurs devises. ce qui n'est pas bon pour nos agriculteurs. Par conséquent, prenant effet immédiatement, je vais restaurer les Taxes douanières sur tout l'Acier et Aluminium expédié aux Etats-Unis depuis ces pays."

A 50% d'inflation, il aurait été strictement impossible, pour les gauchos, d'empêcher le peso de chuter. Quant au real brésilien, il grimpe et baisse. S'il baisse contre le dollar en ce moment, c'est autant de la faute des Etats-Unis que du Brésil.

Camembert et sécurité

Les devises fluctuent sans arrêt... souvent au grand dam des gouvernements qui les émettent. Pourquoi cela devrait-il déclencher des représailles fiscales sur les importateurs américains d'acier et d'aluminium ? Cela tient de la parodie... non de la politique.

Ensuite, comme s'il voulait prolonger la plaisanterie, M. Trump a décidé mardi de pointer son artillerie vers la France, imposant des taxes sur 65 catégories de produits français – dont le vin, le fromage, les sacs à main, les produits de beauté et la vaisselle.

Qu'y a-t-il dans le camembert qui menace la sécurité nationale américaine ? Qu'ont fait les Français pour s'attirer les foudres du président américain ? Ils ont imposé une taxe de 3% sur les ventes en ligne, dont certains gros détaillants américains présents en France – comme Amazon et Expedia – devront s'acquitter.

En d'autres termes, selon Le Donald, la France ne peut pas taxer des entreprises faisant affaire en France – ou du moins pas sans son accord. Il l'a expliqué durant une conférence de presse :

"Ce sont des entreprises américaines, je ne veux pas que la France taxe des entreprises américaines.

Je ne vais pas laisser des gens profiter des entreprises américaines. Si quelqu'un doit profiter des entreprises américaines, c'est nous."

Bazooka commercial

Voyons voir... nous sommes implantés en France depuis 25 ans. Chaque année, nous payons des impôts... comme toutes les entreprises.

Et pas seulement en France. Nous avons des filiales dans 11 pays outre les Etats-Unis. Dans aucun d'entre eux nous ne sommes exemptés de taxes locales simplement parce que nous sommes Américains. Et jamais il ne nous est venu à l'esprit que seul le gouvernement américain devait "profiter" de nous.

Dans ces lignes, nous ne donnons pas de conseils. Mais le cas présent semble être une exception...

Si M. Trump a encore des amis à Washington, ils devraient lui enlever son bazooka commercial avant qu'il ne se fasse mal.

Спасибо.

PS : Un portrait du golden retriever de notre fille, Billy (dont nous vous parlions mardi), de retour à la maison après un week-end à la ferme...

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Bill Wirtz
LES NOTES DE BILL WIRTZ

L'agroécologie : une fantaisie des écologistes... subventionnée par vous

A l'approche de l'hiver, les gens recommencent à se disputer au sujet du thermostat à la maison. Le chauffage est très pratique... mais il a aussi un coût environnemental. La protection de l'environnement et le développement sont, sans aucun doute, à la fois une cause nécessaire et noble.

On peut être en désaccord avec la peur ou le réactionnisme accompagnant l'écologisme politique, mais il est merveilleux de voir les préférences des consommateurs se tourner vers des alternatives plus écologiques.

C'est l'évolution des attitudes des consommateurs qui oblige les innovations à devenir plus sûres, plus durables et, généralement, plus "vertes".

Il en va de même pour les prix : comme les entreprises tentent de réduire leurs prix, leurs incitations les forcent à utiliser moins d'énergie. C'est ce qui est arrivé aux voitures, qui ont vu leur consommation de carburant divisée par deux depuis les années 70, ou aux voyages aériens, qui ont vu leur consommation de carburant diminuer de 45% depuis les années 60.

Propos alarmistes

La beauté de l'innovation axée sur le consommateur, c'est qu'elle vient naturellement du marché. Dans le domaine de l'alimentation, nous avons vu d'immenses efforts pour obtenir des cultures plus sûres, plus abordables et moins consommatrices d'énergie. Avec les innovations agrotechniques actuelles, comme le génie génétique, cela devient une perspective prometteuse.

Cependant, le monde politique semble peu impressionné par l'innovation et plus intéressé à réagir aux propos alarmistes.

Nulle part ailleurs les effets dangereux de ce phénomène ne se font sentir plus que dans les pays en développement. Les pays avancés qui ont de bonnes intentions ignorent les besoins et les capacités des pays pauvres au nom d'une prétendue protection de l'environnement.

Prenons par exemple une récente conférence organisée conjointement au Kenya par l'Organisation des nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (ONUAA) et le World Food Preservation Center. La "Première Conférence internationale sur l'agroécologie transformant les systèmes agricoles et alimentaires en Afrique" visait à mettre en oeuvre les politiques de "l'agroécologie" à travers le continent. Vu le caractère "organisation internationale" de cette conférence, elle est financée par le contribuable.

L'agroécologie dont parle la conférence fait référence à une agriculture plus "biologique", c'est-à-dire une agriculture libre (ou, du moins, indépendante des engrais et pesticides de synthèse). Dans de nombreuses régions d'Afrique, où cette conférence a retenu l'attention, cela aurait pu avoir des effets dévastateurs.

Il n'est pas surprenant que les méthodes agroécologiques soient, en général, beaucoup moins efficaces que l'alternative moderne et mécanisée (conclusion d'une étude réalisée par des défenseurs de l'agroécologie).

Retour en arrière ?

Ces mêmes activistes proposent de retourner à une agriculture paysanne ancienne. Sur un continent qui souffre depuis longtemps d'une faible croissance économique – et, plus sérieux encore, de graves famines et pénuries alimentaires – prendre le risque de passer à des méthodes moins productives au nom de l'environnement serait aveugle aux besoins d'une économie en développement.

En termes simples, on pourrait qualifier cette vision du monde et cette prescription d'arrogantes.

Si les habitants des pays développés (ou n'importe où ailleurs d'ailleurs) souhaitent établir une ferme biologique et agroécologique pour promouvoir un système nostalgique, c'est un luxe inefficace, mais relativement inoffensif. Mais nous ne pouvons tout simplement pas nous attendre à ce que cela s'applique aux pays en développement comme ceux d'Afrique.

L'introduction de pratiques et de technologies durables dans les pays en développement devrait se faire par le biais d'une innovation scientifique accrue, en stimulant la croissance économique et le développement.

Les intentions de ceux qui plaident en faveur de l'agroécologie sont certainement bonnes – mais il faut comprendre que leurs suggestions menacent les chances de croissance et de développement des économies qui en ont le plus besoin.

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