La nouvelle étude de Contribuables Associés vient de paraître. Du nucléaire à l’agriculture, de la voiture électrique aux énergies renouvelables, l’écologie politique ruine l’économie et l’emploi. Et ses effets bénéfiques sur l’environnement ne sont qu’un trompe-l'œil. En déclarant qu’elle « préfère des femmes qui jettent des sorts, plutôt que des hommes qui construisent des EPR (centrales nucléaires) », la députée écologiste Sandrine Rousseau a résumé le combat que l’écologie politique mène contre la science. Quel que soit le problème identifié, l’écologie politique est peu attentive à la réalité et à l’efficacité des mesures qu’elle prône. Quand l’écologie a le pouvoir d’infléchir l’économie, elle ne se soucie pas de la casse humaine que provoque la recherche du « made in nature » à tout prix. La crainte du réchauffement climatique a justifié l’émergence d’une fiscalité environnementale et le sacre des énergies renouvelables. De quoi laminer le portefeuille des particuliers et des entreprises. La transition écologique se caractérise surtout par l’émergence d’une fiscalité qui frappe tous azimuts. Plus d’une cinquantaine de taxes ont permis à l’État de lever 56,4 milliards d’euros en 2019 (dernière année hors Covid) contre 40,3 milliards d’euros en 2005. Chaque année, de nouvelles taxes sortent du chapeau législatif et Bruxelles encourage les États à alourdir le poids que la taxe carbone fait peser sur la facture énergétique des particuliers et des entreprises. Tous ces prélèvements, justifiés par la grande frousse du réchauffement climatique, ont pour effet d’asphyxier les ménages, de brider l’économie, et de faire la part belle aux énergies renouvelables, quitte à faire une croix sur la seule énergie décarbonée réellement disponible : le nucléaire. Vous pouvez commander cette étude choc en cliquant ici ou sur l’image ci-dessous. |