|
Pour voir la version en ligne de cet e–mail, CLIQUEZ ICI.
La Chronique Agora
Paris, lundi 1er juillet 2024
 
•  Philippe Béchade : Elections législatives : quelles perspectives ?
Le sommet de l'incertitude se transformerait-il en sommet de la manipulation des cours ?

•  Bill Bonner : Trump/Biden : un débat préoccupant
Des billions de dollars de dettes seront dévalués ou radiés. La fausse richesse disparaîtra. Les électeurs, déjà agités, aiguiseront la guillotine.

•  Per Bylund : Economie : la transmission du mensonge
L'enseignement de l'économie n'est plus que de la désinformation.

 

img

auteur 1
 

Elections législatives : quelles perspectives ?

Il ne faut pas se le cacher, les presque 3% de hausse (à 7 688 points) du CAC 40 à l'ouverture – et +2,5% après une heure de cotation – sont une surprise totale, même si les commentateurs vont tenter de vous faire croire que les marchés manifestent un "soulagement", que chacun jugera légitime ou pas à l'aune de son positionnement politique et de sa vision du "souhaitable" pour notre pays.

Il faut avoir suivi le déroulé des échanges minute par minute à partir de 00h01, la nuit dernière, pour comprendre qu'il s'est passé des choses "bizarres". Une envolée de 50 points en quelques secondes à 2h30 du matin (rien à voir avec l'évolution des marchés asiatiques, Tokyo a d'ailleurs terminé à +0,1%), puis un spectaculaire +100 points à 8h00 précises.

Ne cherchez pas la "news", il n'y en avait pas ! Et ne cherchez pas la clé magique du côté de l'obligataire : nos OAT ont rouvert, inchangées à 3,2900%, avant de se dégrader de 2 points vers 2,3100%.

En revanche, ceux qui ont acheté avec cette brutalité totalement inattendue savent quelque chose qui relève d'un domaine qui reste à élucider.

Cliquez ici pour lire la suite.

 

Pour d'autres articles sur la même thématique,
cliquez sur leur titre ci-dessous

 
L’Elysée manipule les Français et diabolise les extrêmes
Législatives : qu’est-ce qui attend les épargnants ? (1/3)
Les Français face au désastre des extrêmes ?


auteur 2
 

Trump/Biden : un débat préoccupant

"C'est ainsi que notre république prend fin. Non pas par un débat, mais par une jérémiade entre deux candidats qui rivalisent pour démontrer à quel point l'un ou l'autre n'est pas qualifié pour nous diriger." – Commentaire trouvé sur Internet.

Nous faisons le lien entre les points. Nous cherchons des modèles.

Parfois, nous avons raison. Parfois tort. Mais nous sommes toujours dans le questionnement.

Et toujours avec une attitude joviale. Ce qui est probablement plus facile à faire à l'étranger qu'à la maison. "Rire et savoir", disait le philosophe romain Martial. On ne sait pas toujours, mais on peut toujours rire.

Les mots ne suffisent pas à décrire la farce du débat présidentiel américain qui a eu lieu la semaine dernière. C'est pourquoi Dieu nous a donné le rire. Nous avons ri de Trump. Nous avons ri de Biden. Les deux vieux briscards se sont échangés leurs mensonges longuement répétés, comme des joueurs de tennis aveugles qui ne frappent la balle qu'occasionnellement et seulement par accident.

Cliquez ici pour lire la suite.

 

2109_INO_Crypto_homme

auteur 3
 

Economie : la transmission du mensonge
- Per Bylund -

L'état de la science économique moderne est catastrophique. Mais le niveau de l'enseignement en économie est encore plus préoccupant. Cela apparaît évident lorsqu'on essaie de discuter de sujets économiques, même les plus simples, avec des étudiants dans cette matière. Au lieu de combattre l'ignorance, les idées absurdes et de diffuser le savoir, l'enseignement de l'économie semble de nos jours fournir aux étudiants des justifications pseudo-scientifiques à leurs croyances illusoires.

Je pense notamment à deux idées fausses particulièrement répandues. La première est l'idée selon laquelle les marchés ne peuvent fonctionner que dans des conditions parfaites. La seconde est l'idée que la croissance économique nécessite que les profits des entreprises tendent vers zéro.

Cliquez ici pour lire la suite.

promo

Vous aimerez aussi :

BAQ       


Rejoignez-nous sur les réseaux sociaux
facebook twitter
independance
Vous recevez ce mail car vous êtes inscrit à La Chronique Agora,
publié par Publications Agora France.
© Tous droits réservés 2024.
Pour recevoir chaque jour notre lettre d'informations,
n'oubliez pas d'ajouter lca@mb.la-chronique-agora.com à votre carnet d'adresses.
logo PAF corpo
La Chronique Agora est une publication des PUBLICATIONS AGORA FRANCE, société à responsabilité limitée de presse au capital de 42 944,88 euros, inscrite au Registre du Commerce et des Sociétés de Paris sous le numéro 399 671 809, dont le siège social est 136 rue Saint-Denis - 75002 PARIS. Numéro de TVA intracommunautaire FR 88399671809.

La reproduction partielle ou totale de la présente Chronique Agora est strictement interdite sans accord écrit de la société éditrice.
Les informations contenues dans La Chronique Agora sont uniquement données à titre informatif. Toute utilisation des informations données est soumise aux conditions générales d'utilisation.
Les informations vous concernant font l'objet d'un traitement informatique destiné à l'envoi de cette newsletter gratuite. Conformément à la loi "Informatique et Libertés" du 6 janvier 1978 modifiée et au Règlement européen n°2016/679/UE du 27 avril 2016, vous bénéficiez d'un droit d'accès, de rectification, de portabilité et d'effacement de vos données ou encore de limitation de traitement, en écrivant aux Publications Agora : service-clients@publications-agora.fr.
Pour plus d'informations sur vos droits et l'utilisation que nous faisons de vos données personnelles, cliquez ici.
Comme La Chronique Agora est financée grâce à nos publicités, vous avez reconnu avoir accepté de recevoir quotidiennement nos meilleures offres d'investissements.
Retrouvez toutes nos publications quotidiennes sur https://la-chronique-agora.com et tous nos services sur notre site https://www.publications-agora.fr

Une question, une remarque sur le contenu de nos publications ? Il suffit de nous écrire à la-redaction@publications-agora.fr.

Vous souhaitez vous désabonner de La Chronique Agora ? Cliquez ici.