« La science et de la technologie du XXIe siècle » de Pfizer pour les femmes enceintes, les fÅtus et les nourrissonsâ¦
  Ce nouveau produit de Pfizer, lâ« Abrysvo ® », a été présenté par le Dr David Kaslow (FDA) comme le fruit « de la science et de la technologie du XXIe siècle conçues pour surmonter les lacunes des efforts précédents il y a six décennies ».
  Ce nouveau « va x in » tueur de Pfizer & Co. serait prochainement administré aux femmes enceintes, en une seule dose, au cours de leur deuxième ou troisième trimestre de grossesse (entre la 24e et 36e semaine) et les anticorps seraient transmis au fÅtus par le placentaâ¦
  Une histoire qui se répète : fausses couches, naissances de bébés mort-nés, morts des futures mamansâ¦
  Comme lors des essais cliniques sur les femmes enceintes des « va x ins » à ARNm contre le « C19 », lors des essais concernant lâ« Abrysvo ® », et selon Pfizer, il y aurait eu :   - Plus de naissances prématurées dans le groupe de femmes enceintes ayant reçu le « va x in » (5,7 % contre 4,7% pour le groupe « placebo » dont on ne connait pas la composition du placebo).   - 18 morts fÅtales « in utero » (dans lâutérus) dans le groupe de femmes enceintes ayant reçu le « va x in ».   - 5 morts de bébés après la naissance dans le groupe de femmes enceintes ayant reçu le « va x in ».   - 14 % des femmes enceintes du groupe ayant reçu le « va x in » auraient subi un effet indésirable, dont 4,2 % un effet indésirable « grave », 1,7 % un effet indésirable « sévère » et 0,5 % un effet indésirable « mettant la vie en danger ».   - 37,1 % des nourrissons, dont les mères auraient reçu le « va x in » testé auraient été victimes dâeffets indésirables dans le mois suivant la naissance, dont 15,5 % auraient été classés comme « graves », 4,5 % comme « sévères » et 1 % comme « menaçant le pronostic vital ».
  Ajoutons que selon le NVIC (« National Vaccine Information Center ») 1 femme enceinte qui aurait reçu le « va x in » testé en serait décédée et que selon une autre source, ce ne serait pas 5,7 % de naissances prématurées quâil y aurait eu, mais 20 % en comptant les bébés nés avec un faible poids (toujours dans le groupe des femmes enceintes ayant reçu le « va x in »).
  Sâattaquer aux nourrissons, aux bébés et aux enfants ne leur suffit pas : ils veulent également les fÅtus !
  Si finalement, le FDA approuve ce nouveau « va x in » tueur de Pfizer (le comité consultatif lâa approuvé par 10 voix contre 4), et alors même que GSK a interrompu ses essais cliniques dâun vaccin similaire pour les nourrissons, ce sera le premier « va x in » autorisé pour les fÅtus via les femmes enceintes.
  Par ailleurs, les désordres causés par le VRS (virus respiratoire syncytial) se traitent facilement avec des nébuliseurs et, au cours des essais du « va x in » de Pfizer, moins de 2 % des nourrissons ont contracté le VRS.
  Cela confirmerait que le VRS serait associé à des infections rares, bénignes et faciles à traiter (chez lâadulte, le VRS est associé aux rhinites et au syndrome pseudogrippal et chez le nourrisson, il serait lâune des principales causes des bronchiolites dont le principal traitement efficace consiste au lavage régulier du nez, alors que la moxibustion serait très efficace avec les enfants à partir de 3 ans).
  Un massacre de masse de population civile en temps de paix ?
  Sans même évoquer les naissances prématurées, les effets indésirables « graves », « sévères », « menaçant le pronostic vital », ni même les morts fÅtales « in utero » (dans lâutérus) ou encore les morts de bébés après la naissance :   - lâensemble dû aux injections des nouveaux « vaccins » de Pfizer, le VRS est associé à des infections tellement rares, bénignes et faciles à traiter, quâun simple cas dâinterruption de grossesse dû à ce vaccin parmi toutes les femmes enceintes de la planète, justifierait quâaucune dâelles ne subissent, jamais, la moindre injection de ce nouveau « va x in » tueur.
  Au fait, la promotion dâun médicament dangereux, et les vaccins sont des médicaments, dont lâefficacité est nulle, sâappelle de lâescroquerie commerciale et du charlatanisme médical, et tous ceux qui promeuvent ces médicaments et ces vaccins sont des escrocs et des charlatans.
  Et comment pourrions-nous appeler la délivrance dâune autorisation de mise sur le marché dâun médicament dangereux dont lâefficacité est nulle ?   Un massacre de masse de population civile en temps de paix ?   Cela ne devrait-il pas être passible de la peine de mort ?
  Luttons, informons, résistons, vivons !
  Pierre Lefevre |