Loué soit Jésus-Christ, mort pour expier nos péchés, et ressuscité pour nous ouvrir les portes de la vie éternelle !
Chers amis,
Le ramdan provoqué par lâinterdiction de lâabaya à lâécole nous fait penser à la réplique de Tartuffe : « Cachez ce sein que je ne saurais voir ! » Supprimer le port de ce vêtement prisé par les islamistes (qui peut être vendu même par Gucci ! ), ne les supprimera pas. On ne peut supprimer l'islamisme et continuer à accueillir lâislam, qui lui donne naissance, comme la racine son fruit. Bien sûr, alors quâon ne les entend jamais défendre lâÃglise, la gauche se fait un devoir de crier à lâislamophobie, et les écologistes, à la stigmatisation. Câest quâils ont même raison dâêtre avec lâislam : la haine du Christ, de Son Ãglise, et de lâOccident, qui en a tiré son incomparable civilisation, qu'au lieu d'accueillir et faire grandir, ils ne veulent que détruire. Aussi, quelle importance dâeffacer ce signe dâemprise islamique de lâespace public, si rien nâest fait pour éradiquer les causes qui lây ont conduit ? Qui peut venir APRÃS le Christ, sinon l'Antichrist ?
Certes, dénoncer lâislam comme ennemi de la société amènerait à renier le dogme de la laïcité à la française pour laquelle toutes les religions ne sont que des opinions, dogme conçu par la franc-maçonnerie pour laquelle il n'y a pas de vérité en soi, rejetant ainsi, sous couvert dâégalité, la vérité du Christ, seul Dieu fait homme, seul Sauveur, seul vrai Roy de France. Aussi, pas dâautre moyen pour le gouvernement de repousser le mal que cache lâabaya que de travailler de concert avec lâÃglise pour que le Christ règne dans les intelligences, les cÅurs et les lois. Vous trouverez dans cette livraison de islam-et-verite.com une ébauche de résistance à lâislamisation.
Mais pourquoi les responsables de la société devraient-ils reconnaître l'unicité et l'universalité du salut du Christ et de l'Ãglise si les responsables de celle-ci prétendent eux-mêmes que « Dieu veut la pluralité des religions », que « nous sommes tous enfants dâAbraham », ou que « la juste interprétation du Coran et le véritable islam sâopposent à toute violence » ? Car, « Si toutes les religions peuvent être mises sur un même rang, c'est qu'elles se valent toutes ; si toutes sont vraies, c'est que toutes sont fausses ; si tous les dieux se tolèrent, c'est qu'il n'y a pas de Dieu. Et quand on a pu en arriver là , il ne reste plus de morale bien gênante. Que de consciences seraient tranquilles, le jour où lâEglise catholique donnerait le baiser fraternel à toutes les sectes ses rivales ! (Cardinal Louis-Edouard Pie, Åuvres sacerdotales, Sur l'intolérance doctrinale, 1841 et 1847) » Ce jour nâest-il pas déjà arrivé ?
Nous avons lu dans le n°1958 de Paris Notre Dame, p. VI, quâil faudrait cesser de « se gargariser du baptême dâun musulman », qui ne doit pas être « comme un trophée à brandir », une personne ne devant pas être « instrumentalisée ». Or, comment ne pas voir dans cette apparente revendication de vertu, une tentative de stériliser lâévangélisation des musulmans, en culpabilisant les ouvriers de lâEvangile, que Notre Seigneur instrumentalise bel et bien sans honte (Mt 9.37 ; 20.1 ; 1 Co 3.9 ; Ac 9.15 ; Rm 6.13 ; 2 Tm 2.3), donnant lâexemple, qui plus est, de porter Lui-même en trophée la brebis retrouvée (Lc 15.1-7) ? Cette pastorale des catacombes, dans lesquelles se terrent les convertis de lâislam en pays musulmans, ne sent-elle pas déjà la reddition à lâislam, la soumission à la charia, qui interdit l'évangélisation ?
Allah punit de mort le rejet de lâislam (Coran 4.89 ; 8.12-17 ; 9.74 ; 16.106). Est-ce pour cela que le père Guggenheim, "délégué pour les relations avec lâislam et les musulmans" de l'archidiocèse de Paris, considère comme une « tentation » le « rejet radical, après le baptême, de lâislam » ? Après le baptême ! Mais le rejet de lâislam, nâest-il pas une condition sine qua non de lâaccès au baptême ? Si la préparation au baptême ne demande plus le rejet radical de lâislam pour un musulman, comment sâétonner de la désaffection des néophytes issus de lâislam, déplorée par cet article ? Pourquoi quitteraient-ils lâislam pour devenir chrétien si lâEglise dénonce le rejet de lâislam ? Faut-il être schizophrène pour devenir chrétien ?
Le père Guggenheim justifie son refus du rejet radical de lâislam au motif que « le dialogue avec les autres religions fait partie du Magistère de lâÃglise catholique. » Or, outre que le dialogue ne relève pas de lâenseignement dogmatique propre au Magistère de lâÃglise, mais de sa pastorale, par nature circonstancielle, on ne dialogue pas avec les religions, et en particulier avec lâislam, qui nâa pas et ne peut avoir dâautorité indubitablement représentative, mais seulement avec des personnes.
Le père Guggenheim refuse lâislamophobie, et se fait ainsi le scandaleux vecteur de lâamalgame, aussi banal que funeste, entre musulman et islam, procédé utilisé pour culpabiliser et faire taire tout discours critique de lâislam, au motif de la bonté naturelle de certains musulmans attribuée à lâislam. Il nous faut donc répéter contre les aveugles volontaires et vrais complices de lâislamisation, que lorsquâun musulman fait le bien, ce nâest jamais en vertu de lâislam, mais en vertu de la nature humaine, créée bonne. Dieu, en effet, aime tous les hommes et fait lever son soleil sur les bons et sur les méchants, et tomber la pluie sur les justes et sur les injustes (Cf. Mt 5.45), et ainsi donne-t-Il aux musulmans, comme aux autres hommes, avec la liberté, des vertus et des qualités humaines, indépendamment de leur appartenance à lâislam. De ce fait, certains musulmans, plutôt quâà Allah, préfèrent obéir à leur conscience, par laquelle Dieu les invite, comme tout homme, à aimer la vérité, fuir le mal, et faire le bien. Câest alors quâils sont parfois tués comme mécréants pour avoir préféré obéir à leur conscience plutôt qu'à Allah ⦠et ses dévoués serviteurs. Il ne faut donc pas plus porter au crédit de lâislam le bien fait par certains musulmans, quâil ne faut accuser a priori un musulman du mal commandé par Allah, quâil ignore peut-être. Câest pourquoi il nous faut aimer les musulmans comme nous-mêmes pour lâamour de Dieu, mais être islamophobe du fait que lâislam les détourne de Dieu et de leur salut. Serait-il possible que les baptisés issus de lâislam quittent lâÃglise parce quâils comprennent que lâon ne peut aimer le Seigneur sans haïr lâislam ?
Enfin, comme nous vous lâavions annoncé au mois de juillet, lâAbbé Guy Pagès est à nouveau mis en examen par des associations LGBT, pour cet article, et le valeureux Guillaume de Theuilloy lâest aussi pour l'avoir publié dans le salutaire Salon Beige. Ce qui se joue dans leur procès nâest rien moins que la liberté pour les catholiques et toute personne attachée à la défense de la loi naturelle, de continuer à dénoncer lâhomosexualité comme une abomination. Alors que sâapproche lâouverture du « synode sur la synodalité ( !) » et lâaccueil demandé au sein de lâÃglise des personnes revendiquant leur homosexualité comme normalité, ce qui est ici en jeu est le droit pour les prédicateurs de continuer à appeler librement les pécheurs à la conversion et au salut ⦠Câest dire lâimportance de ce procès. Nous vous remercions du soutien de votre prière pour eux, et si vous voulez contribuer au financement de frais de justice pris en charge par la valeureuse association AGRIF, câest à elle que vous pourrez adresser vos dons.
Nous vous remercions de votre fidèlité à nos côtés, en vous assurant de notre fidèle dévouement,
LâÃquipe dâislam-et-verite.com
JE SIGNE LE MANIFESTE POUR LA LIBERTÃ D'EXPRESSION ( https://mobilisations.boulevard-voltaire.fr/manifeste-pour-la-liberte-dexpression/ ) |