Découvrez le nouveau visage du co-président, et nos actions en France et en Europe 

LE BOARD 2018 A ÉLU SA NOUVELLE CO-PRÉSIDENTE AUX CÔTÉS DE JEAN-DAVID CHAMBOREDON !

Rachel DELACOUR, Zendesk 

Co-Présidente France Digitale

FÉLICITER Rachel

Jean-David CHAMBOREDON, ISAI 

Co-président France Digitale 

VICE-PRÉSIDENT(E)S ENTREPRENEUR(E)S

FM / RD, Claire Houry et Olivier Mathiot rejoignent le bureau en tant que vice-président(e)s, Thierry PETIT conserve son siège à leurs côtés ! 🚀

Frédéric MAZZELLA, BlablaCar 

Ambassadeur FD en Europe

FÉLICITER Fred

Thierry PETIT, ShowroomPrivé 

VICE-PRÉSIDENT(E)S INVESTISSEUR(E)S

Claire HOURY, Ventech

FÉLICITER Claire

Olivier MATHIOT, Business Angel

FÉLICITER Olivier

Delphine VILLUENDAS, Korelya Capital 

Secrétaire Générale  

Nicolas REBOUD, Shine 

Trésorier 

BSCPE

Vers une simplification du régime des BSPCE : 

  • Le gain de cession serait imposé selon le nouveau régime des plus-values mobilières (prélèvement forfaitaire unique au taux de 12,8 %).

  • Retour à une imposition forfaitaire de 30 % de l’ensemble des gains réalisés lors de la cession des titres souscrits en exercice de BSPCE cédés par le contribuable présent dans l’entreprise depuis moins de trois ans.

Le reste du chemin est à parcourir : 

  • La "rétroactivité" n'est pas prise en compte ce qui engendre une iniquité à l'intérieur d'une entreprise et une complexification du régime. 

Teddy PELLERIN, CEO Heetch & Boardmember de France Digitale

LA FRANCE CHAMPIONNE DE L'ÉCONOMIE COLLABORATIVE, C'EST POSSIBLE ! 📢

Nos 4 propositions pour un cadre porteur et sécurisant 

#MakeICOsGreatAgain  🙌

La Corée du Sud et la Chine les ont interdites. Qu'allons nous faire en France et en Europe ? À France Digitale, avec La ChainTech, on travaille avec l'Autorité des marchés financiers (AMF) pour faire de la France une place internationale des ICOs.  

DONNEZ-NOUS VOTRE AVIS

EUROPE

DIRECTIVE COPYRIGHT : VOUS NE PASSEREZ PAS ?

​Nombre de startups françaises développent des plateformes accessibles aux amateurs-créateurs qui innovent par leurs contenus. Cette Directive de l’Union Européenne requiert que tous les contenus téléchargés sur la toile soient filtrés par un robot. Tout contenu pourra automatiquement être effacé sans autorisation préalable, obligeant les créateurs à demander leur re-publication. Ce processus laisserait place à une grande marge d’erreur et du contenu original, sans infraction sur le copyright, pourrait être accidentellement effacé.

Du point de vue des startups, les enjeux sont colossaux : 

  • Le coût des technologies de filtrage : Youtube a développé une technologie à hauteur de 60 millions de dollars. Les startups françaises sont-elles en mesure d'assurer ces coûts ? 
  • Pourquoi ré-interpréter le terme d'"hébergeur", en contradiction avec l'Histoire d'Internet ? 
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