Nombre de startups françaises développent des plateformes accessibles aux amateurs-créateurs qui innovent par leurs contenus. Cette Directive de l’Union Européenne requiert que tous les contenus téléchargés sur la toile soient filtrés par un robot. Tout contenu pourra automatiquement être effacé sans autorisation préalable, obligeant les créateurs à demander leur re-publication. Ce processus laisserait place à une grande marge d’erreur et du contenu original, sans infraction sur le copyright, pourrait être accidentellement effacé.
Du point de vue des startups, les enjeux sont colossaux :
- Le coût des technologies de filtrage : Youtube a développé une technologie à hauteur de 60 millions de dollars. Les startups françaises sont-elles en mesure d'assurer ces coûts ?
- Pourquoi ré-interpréter le terme d'"hébergeur", en contradiction avec l'Histoire d'Internet ?