| | | L'essentiel du matin | Un tour de l'actualité pour commencer la journée
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| Bonjour à tous. À la Une de votre newsletter ce lundi, un conseil de défense sanitaire qui pourrait décider de nouvelles restrictions face à la flambée des contaminations. Report de la rentrée, couvre-feu... On fait le point sur les différente pistes. Au programme également, l'arrestation du fugitif du Val-d'Oise en Allemagne, ces Français qui renoncent à fêter le Nouvel An par crainte du Covid, les hommages à Desmond Tutu, le rugby rattrapé par Omicron et Marlène Schiappa qui enfile son tablier sur M6. Bonne lecture et bonne journée ! |
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Cette édition a été préparée par Claire Hache, journaliste au Parisien |
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On en parle | | | ● La semaine de tous les dangers à l’hôpital. Déprogrammations, appel au volontariat, transferts... Les services de réanimation cherchent des solutions pour continuer à accueillir des malades graves du Covid durant les fêtes de fin d'année et s’apprêtent à faire face à une semaine noire. Notre reportage entre Paris et Marseille.
● Vers un report de la rentrée scolaire ? Dans une tribune publiée par le JDD, une cinquantaine de soignants appellent à reporter la rentrée. Si le ministère de la Santé «n'écarte pas cette hypothèse», qui divise parents et enseignants, il veut en «mesurer toutes les implications (...) à l’heure où le variant Omicron déstabilise l’activité de beaucoup de secteurs». ● Évasion aux urgences de Pontoise. Le fugitif et sa complice ont été interpellés en Allemagne, à Düsseldorf. Détenu à Osny (Val-d’Oise), Louis F. s’était évadé mardi soir, profitant d’une hospitalisation, grâce à l’aide d’une femme qui avait tiré à plusieurs reprises au fusil à pompe. ● Des avions cloués au sol. Equipages infectés par le Covid, nombre de vols revus à la baisse, restrictions aux frontières... Omicron a perturbé le week-end de Noël dans les airs. On vous explique pourquoi, face au nouveau variant, les compagnies adaptent leur programme pour limiter leurs pertes.
● Mort de la youtubeuse Mava Chou. L’influenceuse et son nouveau compagnon avaient porté plainte contre l'ex-mari de la jeune femme le jour de son décès, dénonçant des faits de harcèlement moral, de provocation au suicide et d’atteinte à la vie privée. ● Villeneuve-la-Garenne en deuil. La ville des Hauts-de-Seine est sous le choc après l’accident de la route qui a coûté la vie à Adam, Jessy et Clément la nuit de Noël, des jeunes «investis dans la vie sociale de la commune».
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| «Des gens qui n’auraient pas fait cela avant se sentent aujourd’hui autorisés à cracher leur haine» | Philippe Bouyssou, Le maire PCF d’Ivry-sur-Seine, après la dégradation de l'oeuvre du graffeur C215 commémorant le massacre de manifestants algériens du 17 octobre 1961. | |
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1 minute pour comprendre | | Comment le bien-être et la psychologie «s'ubérisent» | L’info. Méditation, journaux d’humeur, consultations à distance... Des milliers d’applications consacrées à la santé mentale sont aujourd’hui disponibles en quelques clics, à des prix parfois plus avantageux que des consultations en cabinet. Pourquoi tant de popularité ? Avec la pandémie de Covid-19, l’anxiété liée à la maladie et aux confinements ont mis en lumière des besoins d’accompagnements psychologiques importants pour de nombreuses personnes. Et les applications permettent, parfois, de compenser certains manques. «On n’aura jamais assez de thérapeutes pour aider les millions de personnes qui souffrent de problèmes de santé mentale», défend ainsi Leon Mueller, le créateur de Bloom, une application fondée sur la thérapie comportementale et cognitive. Mais est-ce la solution idéale ? Dans la plupart des cas, les applications ne peuvent pas faire de mal, estime Dror Ben-Zeev, professeur en psychiatrie et en sciences comportementales à l’Université de Washington : «Je n’ai rien vu qui soit totalement contreproductif, comme une application qui vous dit de boire de l’alcool si vous avez des problèmes de sommeil». Plusieurs utilisateurs de ces applications, interrogés par Le Parisien, disent en être satisfaits, même si leur popularité pose de nombreuses questions sur la protection des données des utilisateurs, et sur les conditions de travail des professionnels mobilisés sur ces plateformes. | |
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| Merci d'avoir lu cette newsletter. N'oubliez pas de souhaiter une bonne fête aux Jean de votre entourage. Nous nous retrouvons demain, à 7h30 ! |
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