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Faut-il utiliser la vitamine C contre le coronavirus ?


Chère amie, cher ami,

Il y a quelques jours, le Dr Labrèze, m’a transmis une interview vidéo d’une heure qui présente dans, les grandes lignes, les différents usages thérapeutiques de la vitamine C (Annexe 1 - en bas de la lettre).

Avec son autorisation et même sa contribution active, je vous restitue, dans la lettre du jour, la partie qui concerne plus particulièrement le coronavirus ou comme les scientifiques l’appellent, le SARS-Cov-2. La maladie qu’il provoque est le Covid-19.

Le Dr Labrèze m’a également envoyé le courrier qu’il a adressé à Olivier Véran, Ministre de la santé et médecin lui-même, le 11 mars dernier (Annexe 2). 

Il rappelle dans ce pli, l’existence des traitements à haute dose de vitamine C, dont on sait depuis plus de 50 ans qu’ils sont très efficaces contre les virus. 

Le Ministre ne pourra pas dire qu’il ne savait pas.

La vitamine C tue les virus

D’après le Dr Labrèze, il existe de nombreuses études montrant que la vitamine C, est le meilleur virucide qui soit.   

In vivo, c’est à dire dans l’organisme, la vitamine C exerce très vraisemblablement une action virucide directe, mais l’on considère que c’est essentiellement par sa puissante action sur le système immunitaire qu’elle agit. 

Le Docteur Thomas LEVY, l’un des experts mondiaux sur la vitamine C, a écrit un livre très documenté dont le titre est La vitamine C, la panacée originelle. Cet ouvrage de référence a été traduit en français par le naturopathe Michel Dumestre. 

Une partie du livre est consacrée aux virus. 

L’auteur montre que la vitamine C peut éviter, mettre en rémission, voire guérir des infections virales suivantes :

  • SIDA / HIV

  • Ebola

  • Encéphalite

  • Hépatite

  • Herpès

  • Pneumonie

  • Poliomyélite

  • Zona

  • Grippe porcine 

Parmi les grands scientifiques ayant travaillé sur la vitamine C on peut citer notamment :

  • Aux Etats-Unis, le Dr Klenner, le Dr Cathart, Liinus Pauling, prix Nobel de Chimie, les médecins de la clinique Riordan, etc.

  • Pour la France, citons les Dr Crussol et Corson.

Ce sont aussi les travaux de toute l’école de médecine orthomoléculaire, dont les chercheurs tentent de trouver des remèdes utilisant la bonne molécule ou association de molécules pour un problème de santé donné. 

Sepsis et choc septique 

En 2016, le Pr Paul Marik publie, dans la revue “CHEST”, une étude (1) déterminante sur le sepsis. 

Cette pathologie est ce que l’on appelait autrefois la septicémie. 

La définition a évolué et le terme anglais “sepsis” s’est imposé dans le langage médical international. 

Il s’agit d’une réaction inflammatoire généralisée due à une infection bactérienne ou virale.

L’infection apparaît souvent dans les poumons, parfois dans le système urinaire, ou un autre organe (2).

Puis, les virus ou les bactéries migrent dans le sang avant de provoquer le dysfonctionnement d’un ou plusieurs organes vitaux (3). 

La tension artérielle baisse alors dramatiquement, c’est le choc septique (4).

L’étude du Pr Marik 

Aux Etats-Unis le sepsis fait 250 000 morts tous les ans. Et pendant des années, les laboratoires pharmaceutiques ont investi des millions de dollars pour trouver une molécule efficace contre cette pathologie (5).

L’étude de Pr Marik portait sur 94 patients. Tous présentaient un sepsis sévère, voire un état de choc septique, ayant nécessité leur prise en charge en service de réanimation.

Il s’agissait d’une étude que l’on appelle "avant/après", dans laquelle il a étudié l’évolution de deux groupes de 47 patients, présentant des symptômes similaires. 

Les deux groupes ont été suivis durant 7 mois.

  • Le premier a reçu le protocole habituel. C’est le traitement que les hôpitaux qui ne connaissent pas les travaux du Pr Marik continuent à utiliser. 

  • Le second a reçu le traitement associant vitamine C, B1 et hydrocortisone.  

Résultat :

  • Dans le groupe 1, 19 patients sont morts, soit un taux de mortalité 40%. 

  • Dans le groupe 2, aucun patient n’est mort durant l’essai. En revanche, 4 patients sont décédés un peu plus tard en raison de la maladie qui avait conduit initialement à la dégradation de leur état de santé et les avait prédisposés à présenter une infection. 

Le taux de mortalité du deuxième groupe est donc soit de 0 si on s’arrête au temps de l’étude, ou moins de 10% si l’on prend en compte les semaines ayant suivi l’étude. 

Qui est Paul Marik ?

Cette étude a eu un retentissement considérable chez les patients et les médecins, aux Etats-Unis et sur un plan international. De nombreuses équipes à travers le monde ont adopté ce protocole. 

En effet, Paul Marik est une grande figure du monde médical américain. En 2017, il a été distingué par ses pairs comme scientifique de l’année. Lorsqu’il publie son étude, la communauté scientifique sait que les données sont solides. 

Car Paul Marik, professeur de médecine interne, pneumologue et chef d’un service de réanimation en Virginie, est reconnu comme étant un scientifique intègre et compétent.  

Seule l’industrie pharmaceutique n’a pas applaudi lorsque son étude a été publiée. Un marché juteux lui échappait soudainement. 

Le protocole Marik 

Car dans l’Amérique entière, le protocole Marik est appliqué. Et c’est un traitement assez simple et peu coûteux.

Il s’administre par voie veineuse. 

En 24 heures, on injecte au patient (5) :

  • 1,5 gramme de vitamine C en intraveineuse toutes les 6 heures pendant 4 jours ;

  • 50 mg d’hydrocortisone toutes les 6 heures pendant 7 jours ;

  • 200 mg de thiamine ou vitamine B1 en intraveineuse toutes les 12 heures durant 4 jours. 

C’est d’une extraordinaire simplicité. 

Il n’y a guère besoin de machines sophistiquées, ni de traitements ultra-coûteux, ou d’une équipe pléthorique de spécialistes surdiplômés…

Il suffit d’avoir de la vitamine C, de la vitamine B1, de l'hydrocortisone, un médecin prescripteur qui suit l’évolution du patient, un infirmier. 

Partout où il est appliqué, ce protocole sauve des vies.

Son faible coût permettra également de l’utiliser dans tous les pays du monde, indépendamment de leur niveau socio-économique. 

Ce sont donc non seulement des considérations d'ordre médical qui devraient conduire immédiatement à sa large diffusion et utilisation, mais également des considérations d'ordre éthique et humanitaire !

Naturellement vôtre, 

Augustin de Livois

PS 1 : Je vous donnerai davantage de précisions sur comment obtenir ce traitement en France, si vous êtes concerné, dans ma lettre de demain. 

PS 2 : Ci-dessous la vidéo et le courrier au Ministre de la Santé du Dr Labrèze.


Annexe 1 

Interview du Dr Labrèze : https://www.youtube.com/watch?v=L6UrnYXfeqc

Annexe 2





 
 

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Références :

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27940189

https://www.pasteur.fr/fr/centre-medical/fiches-maladies/sepsis-septicemie

https://www.evms.edu/about_evms/administrative_offices/marketing_communications/publications/issue_9_4/has-sepsis-met-its-match.php

https://www.passeportsante.net/fr/Actualites/Dossiers/DossierComplexe.aspx?doc=maladies-mortelles-le-choc-septique

https://rebelem.com/the-marik-protocol-have-we-found-a-cure-for-severe-sepsis-and-septic-shock/


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