Les films retrouvent le chemin des salles. Attention les yeux, réservez vos temps libres ! Après une année d’endiguement du cinéma, l’offre s’annonce exceptionnelle. On peut se féliciter d’y compter JOSEP ou PETIT VAMPIRE.
L’occasion de se rappeler que nos vies ne se résument pas à nos chambres – salons – salles à manger. Les rêves ne sont jamais aussi exaltants que sur grand écran.
Et les auteurs et producteurs ne se découragent pas. Des projets prometteurs continuent de voir le jour. La Fondation va réunir ce mois-ci son jury 2021 pour procéder au choix des premiers lauréats de l’année. C’est le scénariste et réalisateur David Oelhoffen, qui en qualité de parrain 2021, présidera ce jury. Il a déjà à cœur de défendre ces regards singuliers, chers à la Fondation, et essentiels pour préserver la richesse et diversité de notre cinéma. A ses côtés, la scénariste Maud Ameline, le distributeur Manuel Chiche, le producteur Marc-Benoît Créancier et le journaliste Samuel Douhaire, nous font l’amitié de se prêter à l’exercice.
Autre bonne nouvelle, la Cinémathèque française, que la Fondation accompagne, rouvre ses portes le 19 mai et nous invite, avec le gendarme de Saint-Tropez, à faire le choix de l’optimisme et de la bonne humeur.
Dominique Hoff, Déléguée générale de la Fondation Gan. |
| | | Retour sur le tournage de UN PETIT FRÈRE La Fondation s’est rendue sur le tournage du second long métrage de Léonor Serraille, lauréate 2020. C’est l’histoire d’une mère africaine venue s’installer en France avec ses deux fils, entre construction et déconstruction de la cellule familiale sur deux générations. |
| Regard sur les Événements | |
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