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Homéopathie : les 5 remèdes à avoir chez soi impérativement

Chère amie, cher ami,

Depuis quelques temps, l’homéopathie subit des attaques répétées du gouvernement français. La Ministre de la santé, Agnès Buzyn, est particulièrement remontée sur le sujet. Elle a affirmé en avoir fait une affaire “existentielle”. En clair, si l’homéopathie devait continuer à être remboursée, la ministre en serait gravement malade…

C’est bien la première fois qu’un potentiel effet secondaire puissant est associé à l’homéopathie !

Car la vérité est que cette médecine est particulièrement sûre. Et en plus, elle est efficace, pour qui sait s’en servir. Elle connaît par ailleurs un succès grandissant dans bien des pays, qui la voient comme un bon complément à la médecine allopathique ou comme une médecine de première intention. C’est une médecine active, utile, économique, sans effets secondaires et écologique.

Pour toutes ces raisons, j’ai tenu à faire le point avec le Dr Martine Gardénal, qui est l’une des grandes références de l’homéopathie en France.

Médecin homéopathe et médecin du sport, elle a suivi avec succès les équipes de France de tir pendant 8 ans, et elle a été médecin aux Jeux Olympiques de Los Angeles en 1984. C’est elle qui a introduit l’usage de l’Arnica dans le sport français de haut niveau.

Elle vient de sortir, par ailleurs, un ouvrage très complet sur l’homéopathie intitulé Homéopathie, le livre référence pour se soigner au naturel publié chez Trédaniel.

Lettre Alerte Santé : L’homéopathie est très attaquée en France par les autorités, alors que les Français semblent la plébisciter (78% au dernier sondage). Ailleurs, elle se développe. Quel regard portez-vous sur cette situation ?

Martine Gardénal : C'est très dommageable pour les Français et la France qui perdent là l'occasion de briller, devenir le leader mondial d'une recherche avant-gardiste. Je ne comprends pas qu'une Ministre peut être non-scientifique à ce point !

Il est vrai qu’avec l'homéopathie, nous sommes en avance sur notre temps.

Et, on le sait, de nombreux savants précurseurs, en avance sur leur temps, ont été attaqués voire rejetés parce qu'ils ont dit des choses qui ne correspondaient pas aux dogmes officiels en cours et aux « vérités scientifiquement avérées ».

Mais, dans la critique actuelle, il y a autre chose. Il y a l’opposition entre une vision très matérialiste, incarnée par la Ministre et une médecine qui est beaucoup plus large et qui va beaucoup plus loin.

L’homéopathie est une médecine de l’information. Les scientifiques d’aujourd’hui, en particulier les physiciens et les mathématiciens, nous en donnent un début d’explication. C’est la théorie de la mémoire de l’eau proposée par le biologiste Jacques Benveniste et confirmée par les travaux du Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine en 2008. On leur oppose bêtement Descartes, Pasteur et la molécule triomphante, comme si les choses étaient figées, oubliant qu’une particule est toujours accompagnée d’une onde.

Ce n’est pas la bonne approche. On pourrait investiguer, comprendre ce qu’il y a derrière l’homéopathie en acceptant qu’il y a encore des choses à découvrir. Mais en France on reste attaché aux vieux dogmes et l’homéopathie est condamnée aveuglément.

La France perd ainsi l’occasion de devenir le fer de lance d’une recherche prometteuse. La place est laissée aux Etats-Unis, la Russie, la Chine, l’Inde, le Mexique ou l’Amérique Latine. Dans tous ces pays, l’homéopathie est pratiquée largement, appréciée et perfectionnée. En France, on préfère jouer petit, on ratatouille sur le passé et on oublie de regarder devant !

La science doit être ouverte, innovante, intuitive, aventurière, critique, mais jamais dogmatique !

C’est très regrettable car il y a dans ce pays une vieille tradition de l’homéopathie qui date de Hahnmann, lui-même. Le père fondateur de la discipline a fini sa carrière à Paris. Il est même enterré au cimetière du Père Lachaise.

Mais ni les médecins d’Etat, ni les hauts fonctionnaires ne prennent le temps de lire les études sur l’homéopathie. Ils ont tort ! Car le cas de l’homéopathie est fort bien documenté. J’y reviendrai.

L.A.S : Peut-on obtenir des effets immédiats avec l’homéopathie ?

MG : Oui bien sûr. C’est ce que j’ai fait durant toute ma carrière et je continue à le faire pour tous mes amis. Du reste, dans mon livre, je ne parle essentiellement que des problèmes aigus pour lesquels on recherche des solutions rapides. J’aurais pu m’intéresser aux problèmes chroniques, mais il aurait fallu un tome par pathologie ! Je ne les oublie pourtant pas et donne toujours quelques pistes et conseils pour les traiter au mieux conjointement à l’allopathie.

Je vais vous donner un exemple. Utilisez ARNICA sur des hématomes. Vous les verrez disparaître rapidement.

Je l’ai vu chez mes patients et sur moi-même. Je me suis cassé les poignets. Il s’agissait de fractures graves. Il me fallait subir deux opérations pour que soit posées des broches. Lorsque je suis arrivée au bloc opératoire et que le chirurgien m’a vue, il était stupéfait. Les hématomes avaient disparu. Il m’a dit « comment as-tu fait »? Je lui ai expliqué que j’avais pris de l’ARNICA depuis ma chute jusqu’à l’entrée au bloc.

Attention ! En basse dilutions (4-5 CH), ARNICA est un fluidifiant sanguin. En haute dilution (12-15 CH), c’est plutôt un coagulant. Donc pour les bosses et les hématomes il vaut mieux utiliser les hautes dilutions (15CH).

Voici un deuxième exemple : CUPRUM METALLICUM. C’est le cuivre. C’est un remède de spasmes, de crampes, qui est efficace très rapidement.

Lorsque je soigne quelqu’un pour des problèmes aigus, je n’utilise, le plus souvent, que l'homéopathie. J'ajoute de l'allopathie si cela est nécessaire. Je fais faire des examens complémentaires pour le diagnostic si besoin et pour m'assurer que tout est rentré dans l'ordre. Et généralement, c'est le cas même lorsque je n'utilise que de l'homéopathie. Il est indispensable de connaître ses limites.

C’est une médecine qui apporte des solutions en plus. Elle ne prive pas des autres approches existantes. Alors, pourquoi vouloir s’en passer, vouloir la détruire ? On voit bien d’où part le coup.
(la suite ci-dessous) 

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Suite de la lettre de ce jour :

L.A.S. : Vous avez eu l’occasion de mener une étude scientifique sur l’Arnica. Pourriez-vous nous décrire cette expérience ?

MG : J’ai travaillé en tant que médecin homéopathe et sportif à l’INSEP (Institut National des Sports, Paris 12è), pratiquement tout au long de ma carrière. Nous suivions les sportifs de haut niveau, olympiques et des équipes de France.

Chez les sportifs, il y a une certaine unanimité autour d’ARNICA, parce que c’est efficace. Et nous avons eu l’occasion de le démontrer. Il faut savoir que pour les sportifs, ce qui compte c’est le résultat. Lorsqu’ils se blessent, ils veulent pouvoir retrouver leur niveau de performance le plus rapidement possible. En effet, plus le sportif de haut niveau s’arrête longtemps, plus il lui faudra de temps pour retrouver son état de santé antérieur. S'il s'arrête 8 jours, il lui faut 8 jours pour récupérer. S'il s'arrête 15 jours, il lui faut un mois, s’il s'arrête un mois, il lui faut 3 mois.

Vous pouvez donc imaginer la pression qu’il y a sur les médecins et soigneurs pour que leurs poulains retrouvent rapidement la forme !

Notre étude a été publiée par la Société Française de Mésothérapie.[1] 

Qu’avons nous fait ?

En cas d’hématomes superficiels en nappe, d’entorses non plâtrées, de blessures légères, d’œdèmes, les sportifs recevaient un protocole de mésothérapie allopathique.

Nous avons rajouté dans ce mélange injectable, ARNICA en 15 CH.

Les kinésithérapeutes n’étaient pas au courant. Seuls, le médecin responsable de l’INSEP, le mésothérapeute et moi-même, étions au courant. Nous souhaitions savoir s’il y aurait une différence.

Au bout de 8 jours, les kinésithérapeutes nous ont demandé ce que nous avions changé dans le protocole. Les hématomes disparaissaient plus vite, les œdèmes et les douleurs disparaissaient… La reprise de la rééducation et de l’activité physique pouvait se faire plus rapidement.

Nous leur avons expliqué que nous avions ajouté ARNICA en 15 CH injectable au protocole antérieur.

Cette expérience a révolutionné l’art de soigner les traumatismes physiques en France !

Car, depuis, la pratique s’est diffusée sur tous les terrains de sport.

À l’époque, il y avait encore une ouverture possible lorsque nous proposions ce type d’études. Aujourd’hui, elles sont, le plus souvent, rejetées. Dans ces conditions, comment la recherche pourrait-elle progresser ? C’est de l’hypocrisie ! Et on nous accuse de refuser la recherche !

La Suisse a publié une étude le 1er mai 2012 portant sur 17 000 personnes. Les résultats publiés sont largement positifs en faveur de l’homéopathie. Les Suisses étant des gens pragmatiques, ils ont décidé de rembourser l’homéopathie sur le fondement de cette publication.

Au Mexique, l’homéopathie est proposée de manière systématique en première intention. Il faut dire que ce pays dispose d’un ministère des médecines naturelles ! Nous ne sommes pas près de voir cela en France en l’état actuel des choses !

En France, lorsque vous pratiquez de l’homéopathie sur un patient atteint d’une pathologie lourde, l’hôpital ne veut, le plus souvent, pas le savoir. On dit au patient « continuez ce que vous faites, mais ne nous en parlez pas » ! Comment progresser dans ces conditions ?

Heureusement, les choses commencent à changer, grâce aux malades qui osent enfin parler.

Les médecins, de toutes orientations thérapeutiques, devraient travailler main dans la main pour le bien-être du patient, l’avancée des connaissances et l’efficacité des traitements. L’homéopathie est une ressource précieuse en tant que médecine complémentaire pour les pathologies lourdes de tous types.

L.A.S. : Vous vous êtes aussi intéressée à l’agriculture. Peu de personnes en France savent que l’homéopathie s’utilise aussi sur les plantes et les animaux.

Je vais vous donner un exemple d’usage de l’homéopathie chez les animaux. Ma chatte faisait des crises d’épilepsie. On lui donne de l'homéopathie, une goutte matin et soir pour la soigner. Et cela fonctionne ! Les crises ont disparu. Or cet été nous avons oublié de lui en donner, les crises sont revenues. On a repris le traitement. Les crises ont cessé. CQFD.

En agriculture, l’usage de l’homéopathie est répandu surtout chez les anthroposophes et commence à se développer en homéopathie traditionnelle. En France, ce mouvement est mal connu. Il n’est guère répandu. Mais il existe aux Etats-Unis, au Canada et en Allemagne des mouvements anthroposophes très bien implantés.

Ils tiennent compte des saisons, des lunaisons, des astres, etc. Ils ont une vision globale du vivant. Cela leur permet de proposer une agriculture vivante et sans pesticides. Cela vaut le coup, non ?

J’en ai fait l’expérience à titre personnel dans mon jardin. J’ai notamment utilisé des isothérapiques pour lutter contre les pucerons.

Un isothérapique est un remède homéopathique que l’on créé à partir de ce contre quoi l’on veut lutter.

Là je voulais protéger mes rosiers des pucerons.

J’ai recueilli des pucerons que j’ai dilués dans de l’alcool. J’ai fait une, puis deux et jusqu’à cinq dilutions. Je ne pouvais rien faire en homéopathie la première année. Les pucerons étaient trop nombreux. Mes rosiers étaient noirs et commençaient à dépérir. J’ai utilisé du pyrèthre, un produit végétal naturel.

L’année suivante, j’ai aspergé mes rosiers dès l’apparition des premiers pucerons avec la préparation homéopathique faite l’année précédente, Chez moi, j’ai eu ce qu’il fallait pour nourrir les fourmis et les oiseaux. J’ai sauvé tous mes rosiers. Le voisin a eu des pucerons et a dû utiliser force produits chimiques tous les ans.

Utile, non ?

Il est bien dommage que les vertus de l’homéopathie ne soient pas mieux connues en agriculture.

Aujourd’hui, on contamine les sols, les fruits, les plantes, les animaux et donc les humains, l’atmosphère, l’air, les mers… Alors qu’avec de basses dilutions on pourrait largement diminuer le recours au produits chimiques toxiques...                                                                                

L.A.S : Quels conseils pourriez-vous donner avant l’arrivée de l’hiver ?

MG : tout ou presque est écrit dans mon livre. Je vous conseille de le consulter !

Sinon, je peux vous recommander un cocktail que j’ai souvent prescrit par le passé :

-        INFLUENZINUM 15CH

-        SERUM DE YERSIN 15CH

-        STAPHYLOCOCCINUM 15CH

-        STREPTOCOCCINUM 15CH

-        ISOTHÉRAPIE DU VACCIN PNEUMOCOQUE 15CH

en alternant tous les 8 jours d’octobre à mai.

Le dernier ingrédient est important car Il y a beaucoup de pneumocoques dans l’air. Ce sont des virus atténués provenant des vaccins. Les personnes vaccinées deviennent porteuses de ces virus. Elles sont contagieuses. Si vous passez trop de temps avec elles, que vous soyez fragile ou fatigué, vous risquez de tomber malade.

Rien de tel que ce cocktail homéopathique pour passer un hiver tout à fait tranquille !

L.A.S. : Quels sont les 5 remèdes homéopathiques qu’il faut absolument avoir dans sa pharmacie ?

MG :

-        ARNICA, c’est le remède des traumatismes physiques et psychologiques (15 CH) et des courbatures (9CH).

-        PYROGENIUM est un anti-infectieux puissant et efficace ;

-     CUPRUM METALLICUM dont je vous a déjà parlé sert pour les spasmes et les crampes, les contractures ;

-        BELLADONNA peut être utile en cas de fièvre avec soif  et d’inflammation ;

-        NUX VOMICA est utile pour l’estomac, la digestion.

L.A.S : Peut-il y avoir des effets secondaires en homéopathie ?

MG : Oui. C’est un point que l’on ne souligne jamais assez. On parle de médecine. Et cela suppose toujours compétence et prudence. Mais ce ne sont jamais que des effets transitoires, ils ne provoquent jamais d’effets secondaires graves. Nous n’avons jamais de patients morts d’effets iatrogènes à cause de l’homéopathie.

Si par exemple, vous utilisez en homéopathie un venin de serpent, en basse dilution, c’est un anticoagulant. Attention surtout si vous êtes sous anticoagulant.

Cela dit, l’homéopathie n’a jamais tué personne. Et les professionnels qui la pratiquent sont dûment formés.

L.A.S. : Un mot sur votre livre ?

MG : J'ai mis dans ce livre toute mon expérience : il fait d’ailleurs 700 pages ! Vous n’y trouverez pas que de l’homéopathie. Je parle aussi de phytothérapie, des huiles essentielles, des oligo-éléments, de psychogénéalogie, de mémoire cellulaire…, et je donne beaucoup de conseils pratiques, d’hygiène de vie, de nutrition, sur l’activité physique…la pensée positive, des exemples, etc.

Mais je me suis appuyée aussi sur les dernières données scientifiques, par exemple sur la rétinite pigmentaire.

J’ai voulu que cet ouvrage soit une référence en la matière et qu’il soit accessible à tout le monde.

J’ai mis deux ans à l’écrire. Et je suis heureuse de voir que c’est déjà un beau succès en librairie.

Publié il y a 18 mois, la 2e édition est sortie en septembre et elle est déjà presque épuisée. Il y en aura une 3e.

Savoir que ce livre aide des familles entières de tous âges, des animaux, des plantes et la planète à rester en bonne santé, est pour moi la plus belle des récompenses !


 
 

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[1] Société Française de Mésothérapie, Juin 1988, n° 71, p3 à 5.


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