« Je ressens une obligation morale d’utiliser cette opportunité [rejoindre Trump et ses équipes] pour sauver des millions d’enfants américains… »
Robert Kennedy Jr justifie son ralliement à Trump au nom de l’obligation morale qu’il a de sauver des millions d’enfants américains. Il faut savoir que cette « obligation morale » n’est pas un slogan dans la bouche de Kennedy, il semblerait que ce soit une conviction profondément ancrée en lui, il est d’ailleurs le fondateur et dirigeant de « Children's Health Defense » (« Défense de la Santé des Enfants »).
Les invraisemblables données sur la santé de la population aux États-Unis, pays où les enfants et les adultes sont les plus vaccinés au monde
Le fait que la santé de la population des États-Unis soit en danger, repose sur d’invraisemblables données, et Robert Kennedy Jr recommande à ce sujet de visionner l’interview de Calley Means (qui conseille également Trump) et de sa sœur, Casey Means, faite par Tucker Carlson (liens en « Sources »).
Avant d’énumérer ces invraisemblables données citées par Robert Kennedy Jr lors de son discours à Glendale, rappelons que les États-Unis sont le pays où les enfants et les adultes sont les plus vaccinés au Monde, ce qui devrait en faire, en toute logique, les individus ayant la meilleure santé sur toute la Planète...
Les invraisemblables données citées par Kennedy : - en 2024 les 2/3 de la population des États-Unis dépensent plus en soin de santé que n’importe quelle autre population sur la Planète, soit le double des dépenses antérieures ; - les États-Unis ont les pires résultats au monde en matière de santé, ils sont classé 79e en matière de santé, derrière le Costa Rica, le Nicaragua, la Mongolie, etc. - aucune population au Monde n’a autant de problèmes de santé chroniques que la population des États-Unis ; - lors de la fausse pandémie de « C19 », ce sont les États-Unis qui ont enregistré le plus grand nombre de morts au monde (16 % des décès officiellement dus au « C19 » aux États-Unis alors que la population de ce pays ne représente que 4,2 % de la population mondiale) ; - les États-Unis ont le taux de maladies chroniques le plus élevé de la Planète et, en moyenne, l’Américain qui est décédé du « C19 » souffrait de 3,8 maladies chroniques ; - aux États-Unis, les personnes décédées officiellement du « C19 » étaient victimes d’un effondrement de leur système immunitaire et d’un dysfonctionnement mitochondrial (les mitochondries sont les structures cellulaires responsables de la production d'énergie corporelle) et Kennedy précise à ce sujet qu’aucun pays au monde n’a « quelque chose de similaire » ; - en 2024, 2/3 des adultes et des enfants souffrent de maladies chroniques aux États-Unis, soit plus de 222 millions de personnes sur un total de 334 millions d’habitants en 2024, alors qu’il y a 50 ans (années 1974) ce chiffre était inférieur à 1 % (soit moins de 2,1 millions de personnes sur une population de 213 millions d’habitants en 1974) ; - entre 1974 et 2024, on est passé de 1 % de la population des États-Unis qui souffrait de maladies chroniques à 66 % ; - 74 % des adultes et 50 % des enfants souffrent d’obésité aux États-Unis ; - Kennedy précise à ce sujet qu’il y a 120 ans, lorsque quelqu’un était obèse, il était exhibé dans des cirques et qu’au Japon, le taux d’obésité infantile est de 3 % contre 50 % aux États-Unis ; - la moitié des Américains (soit 167 millions de personnes) souffrent de diabète ou de prédiabète de type II ; - Kennedy précise que le diabète juvénile n’existait pratiquement pas sous la présidence de son oncle (JFK, Président des États-Unis entre le 20 janvier 1961 et le 23 novembre 1963) et alors qu’il était jeune garçon ; - Kennedy ajoute à ce sujet qu’à l’époque un pédiatre devait voir 1 cas de diabète tout au cours de sa carrière qui durait entre 40 et 50 ans, alors que maintenant un enfant sur trois qui franchit la porte du cabinet d’un pédiatre souffre de diabète ou de prédiabète ; - Kennedy précise que le dysfonctionnement mitochondrial qui est à l’origine du diabète de type II est également à l’origine de la maladie d’Alzheimer, aujourd’hui classée comme diabète (à ce sujet, la maladie d'Alzheimer n'est pas encore classée comme une forme de diabète dans la littérature médicale conventionnelle, mais certains médecins proposent de parler de « diabète de type III » pour décrire la résistance à l'insuline qui se produit spécifiquement dans le cerveau, ce qui pourrait être lié au développement de la maladie d'Alzheimer) ; - le traitement du diabète de type II aux États-Unis rapporte chaque année à Big Pharma plus que le budget militaire de ce pays (Kennedy dit : « cela coûte à ce pays plus que notre budget militaire chaque année) ; - il y a une explosion de maladies neurologiques que Kennedy n’avait jamais vue lorsqu’il était enfant, il cite : TDA (Trouble Déficit de l’Attention), TDAH (Trouble Déficit de l'Attention avec Hyperactivité), retard du langage, syndrome de Gilles de la Tourette (tics moteurs et vocaux involontaires et répétitifs), narcolepsie (trouble du sommeil et de l’éveil), TSA (Trouble du Spectre de l'Autisme), Asperger (difficultés dans les interactions sociales et la communication non verbale), autisme ; - Kennedy rappelle qu’en l’an 2000, le taux d’autisme était de 1 sur 1500 enfants aux États-Unis et qu’il est aujourd’hui, selon les CDC, de 1 sur 36, alors qu’en Californie 1 enfant sur 22 est autiste ; - 77 % des jeunes Américains sont trop handicapés pour servir dans l’armée des États-Unis.
Les maladies chroniques, les puissants alliés des psychopathes des Davos
Cette énumération doit simplement nous rappeler que le programme de dépopulation de la Planète des milliardaires mondialonazis est une réalité. Une réalité qui a pour nom « Agenda 2030 » dont les objectifs seront bien plus facilement atteints avec des populations occidentales souffrant de maladies chroniques graves, qu’avec des Occidentaux en pleine forme et en pleine santé.
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Rappel : le ralliement de Robert Kennedy Jr à Donald J. Trump génère un immense espoir chez les défenseurs de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales, mais ne l’oublions pas, les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète ne peuvent pas se permettre de perdre la partie avec l’élection du Donald J Trump.
Ne l’oublions pas également, si les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète ne peuvent pas se permettre de perdre la partie, nous non plus… |