85 % de rémission pour les scléroses en plaques ?
  Le neurologue brésilien Cicero Coimbra aurait traité près de 15 000 patients atteints de maladies auto-immunes, et 85 % de ceux qui souffraient de sclérose en plaques auraient bénéficié dâune rémission importante de leur maladie, sinon dâune guérison, grâce à lâapport à haute dose de vitamine D.
  Les résultats seraient également spectaculaires, et authentifiés par les patients eux-mêmes, dans le traitement de la polyarthrite rhumatoïde, du lupus, de la maladie inflammatoire de lâintestin (maladie de Crohn) et du psoriasis.
  Le stress : une barrière à lâefficacité thérapeutique de la vitamine D ?
  Une autre information importante nous est délivrée dans lâarticle de Marina Zhang : le docteur Cicero Coimbra aurait remarqué que les patients qui nâétaient pas réceptifs à lâapport de vitamine D, ou très peu réceptifs, subissaient un stress élevé et que ceux qui arrivaient à apaiser ce stress bénéficiaient dâaméliorations de leur état médical.
  Là encore, les adeptes de la médecine chinoise ne seront pas surpris, car en médecine chinoise il nây a pas de séparation du corps et de lâEsprit (Shen) et toute perturbation psychique se répercute sur le corps, et vice versa.
  Un traitement à hautes doses
  Si les autorités sanitaires recommandent un apport quotidien de 600 UI de vitamine D, le protocole du docteur Cicero Coimbra comprendrait un dosage variant de 150 UI à 1 000 UI par kilogramme de poids corporel !
  Pour un adulte de 80 kilogrammes, cela représente tout de même un apport quotidien de 12 000 à 80 000 UI de vitamine D.   On est donc vraiment loin, très loin, des recommandations des autorités sanitaires qui sont, rappelons-le, de 600 UI pour un adulte et par jour.   Et que penser des affirmations selon lesquelles au-delà de 4 000 UI/jour il y aurait danger dâhypervitaminose et de graves atteintes des reins et/ou du foie ?
  à lâaune de des dosages du docteur Cicero Coimbra (de 12 000 à 80 000 UI de vitamine D par jour), on peut vraiment se poser des questions sur la qualité des recommandations qui sont faites par les autorités sanitaires en matière de santé.   Et la période dans laquelle nous sommes incite à se demander si cela nâest pas général...
  Précisons quâavec de tels apports à hautes doses de vitamine D, il est effectué un contrôle régulier du taux de parathormone (PTH) dans le sang (le dosage considéré comme normal est de 54 ng/l) et il est conseillé dâadopter un régime alimentaire pauvre en calcium et de boire au minimum 2,5 litres par jour.
  Vitamine D et cancer : 65 % de risques en moins pour les femmes ?
  Il semblerait que la vitamine D ait un effet protecteur de certains cancers, et lâétude menée sous lâégide de lâInserm par E3N sur 1 908 femmes (prélèvements sanguins entre 1994 et 1998) révéla que les femmes avec « un taux sanguin de vitamine D supérieur à 30 nanogrammes par millilitre (ng/ml) avaient un risque de développer un cancer du sein diminué de 27 % par rapport aux femmes dont le taux sanguin de vitamine D était inférieur à 20 ng/ml ».
  Dans son article, Marina Zhang fait référence à dâautres études, dont lâune, publiée en 2016, qui révéla que les femmes ayant un taux sanguin de vitamine D supérieur à 40 ng/ml voyaient un risque dâêtre victimes dâun cancer diminué de 65 %.
  à ce sujet, William B. Grant écrit : « La vitamine D bloque les voies qui favorisent la croissance et les métastases du cancer ». Il précise dans ses écrits à ce sujet que la vitamine D intervient favorablement sur la différenciation, la prolifération et lâapoptose (destruction) des cellules, tout en réduisant la formation de nouveaux vaisseaux sanguins en contact avec les masses cellulaires cancéreuses, ce qui aurait pour effet de réduire la migration de cellules cancéreuse par les vaisseaux sanguins (métastases).
  Une anecdote qui devrait inspirer ceux à qui on annonce un cancer et/ou une fin de vie proche !
  Lâanecdote est celle qui aurait été reportée par un anesthésiste adepte de la vitamine D, le docteur Judson Sommerville.   Il présente le cas de lâépouse dâun de ses patients à qui le très réputé « MD Anderson Cancer Center » de Huston (Texas â Ãtats-Unis) aurait annoncé quâelle nâavait plus que 6 mois à vivre en raison dâun cancer de lâovaire.
  « Ce sont les malades qui choisissent leur traitement qui guérissentâ¦Â »
  La dame, plutôt que de sâeffondrer, décida de prendre des doses élevées de vitamine D3 avec du magnésium.    Non seulement son état sâest amélioré rapidement, mais au bout de quelques mois les médecins qui lâexaminèrent ne trouvèrent aucune trace de ce cancer, et 12 ans après, ce serait toujours le casâ¦
  Bravo madame et cela confirme une règle médicale occidentale non écrite, mais que de nombreux médecins ont consté : ce sont les malades qui choisissent leur traitement qui guérissentâ¦
  Et cela confirme ce que je pense intensément : nous ne devons jamais renoncer à avoir le pouvoir sur notre corps et notre santé, et surtout nous devons ne jamais confier notre santé à des monstres (et il faut lâêtre pour annoncer à quelquâun avec certitude quâil ne lui reste plus que 6 mois à vivre) ou à des représentants de Big Pharma, quels que soient leur notoriété et leur niveau dâétudes médicales.
  Et nous devons encore moins faire confiance à des institutions étatiques (ministère de la Santé, Académie de médecine, etc.) ou à des organisations professionnelles de médecins et de pharmaciens (syndicats, ordre des médecins, ordre des pharmaciens, etc.).
  Les trois années qui viennent de passer démontrent que notre santé et la vérité nâintéressaient pas ces institutions et ces organisations : elles se sont comportées comme des défenseurs des intérêts de Pfizer & Co. et comme de simples relais de la propagande politique gouvernementale.
  Vitamine D et cerveau
  Il semble également y avoir une sorte dâunanimisme chez les adeptes de la vitamine D au sujet de ses effets protecteurs du cerveau : non seulement de faibles taux de vitamine D dans le sang favoriseraient lâapparition dâanxiété et de dépression, mais ils favoriseraient également lâapparition ou le développement des maladies neurodégénératives (Parkinson et Alzheimer).
  Autisme : 80 % dâamélioration ?
  La vitamine D interviendrait favorablement dans toute la chimie du cerveau et Marina Zhang cite à ce sujet les déclarations du psychiatre John J. Cannell : « Mon expérience, ayant traité environ 100 enfants autistes, est que 25 % répondent considérablement à la vitamine D à forte dose, 50 % répondent de manière significative et 25 % ne répondent pas du tout ».
  Vitamine D, vitamine K2 et magnésium, le triplé gagnant ?
  Terminons cette fiche médicale consacrée à la vitamine D en précisant quâil est conseillé, afin de contrecarrer dâéventuels effets toxiques, de prendre de la vitamine D à des doses supérieures à celles recommandées par les autorités sanitaires avec du magnésium et avec de la vitamine K2 présente en particulier dans les foies dâanimaux et les Åufs que lâhumanité consomme depuis ses origines.
  Nâen déplaise aux adeptes des farines dâinsectes et de lait de cafards, nouvelle alimentation humaine que veulent nous imposer, par tous les moyens, les cliques criminelles de George Soros, de Bill Gates et de Klaus Schwabâ¦
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  Vitamine D : Les aliments bio (si possible) et préférés de Patrick Ledrappier
  Poissons : hareng, maquereau, espadon, thon (tartare).   Viandes : foie gras dâoie et de canard, foie de veau, rognons de veau, côte de bÅuf, gigot dâagneau, poulet fermier, poule fermière, pintade.   Végétaux : girolles, chanterelles, champignons de Paris, morilles, avocat.   Autres : Åufs, chocolat noir.
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