« Un dilemme stratégique »
Selon le torchon subventionné par Bill et nos impôts, le journal (« Le Monde » du 1er mars 2024), l’Éborgneur en chef des Gilets Jaunes, la Grande Faucheuse des EHPAD, l’Exterminateur des personnes âgées, Emmanuel Macron, envisage « la possibilité d'autoriser les forces spéciales et autres unités militaires à franchir la frontière ukrainienne afin de poser un « dilemme stratégique » à la Fédération de Russie… ».
On ne voit pas très bien quel « dilemme stratégique » la présence de troupes françaises sur le sol ukrainien poserait, puisque cette présence serait effective depuis le début de « l’opération spéciale » menée par les troupes russes pour, rappelons-le, sauver les populations civiles de l’est de l’Ukraine des bombardements de l'armée ukrainienne et des violations continuelles des accords de Minsk, dont la France était pourtant l’un des garants.
Précipiter un peu plus le chaos au nom de leur Agenda 2030
La France aurait actuellement 200 000 personnels militaires, toutes armes confondues, contre 2 200 000 pour la Russie. De l’avis de plusieurs experts de la chose militaire française, qui tiennent à leur anonymat, sur ses 200 000 personnels militaires, à peine 1/3 pourrait participer directement à des combats, soit, au maximum 60 000 soldats.
Quant à la Russie, elle disposerait de 1 320 000 soldats capables d’être déployés sur des champs de bataille (900 000 en 2021). Cela permet de comprendre que la volonté de l’Éborgneur en chef des Gilets Jaunes n’est absolument pas guidée par un souci d’efficacité militaire en vue de battre les armées russes (qui ne feraient sans doute qu’une bouchée des pauvres malheureux soldats français qui sont sous-équipés et qui n’ont pas à leur bénéfice le centième de l’expérience des soldats russes en matière de combats en Ukraine).
Soyez-en persuadé, quoique décide la Grande Faucheuse des EHPAD, il n’y aura pas de conquêtes militaires françaises victorieuses en Ukraine. En revanche, une participation directe, réduite au minimum (quelques centaines de soldats), avec le franchissement régulier de la frontière ukrainienne par des éléments des « forces spéciales et autres unités militaires », permettra à celui que les Français ont élu deux fois Président de la République de mettre, d’une manière ou d’une autre, la France en état de guerre.
L’article 47 de la loi n° 2023-703 du 1er août 2023
L’avantage, en politique intérieure, de cet « état de guerre », c'est qu'il permettra à Emmanuel Macron de prendre de nouvelles mesures privatives de liberté et de détruire un peu plus ce qui reste de l’économie française afin d’atteindre les objectifs fixés par l’Agenda 2030.
Prenons concrètement l’exemple de ce que pourra faire le pouvoir exécutif en mettant en œuvre l’article 47 de la loi n° 2023-703 du 1er août 2023 (loi de programmation militaire de 2024 à 2030).
Le pouvoir de réquisitionner tout le monde, de 17 à 72 ans, à tout moment…
Avec cette loi votée à l’unanimité par le Parlement en 2023, tous les Français, quelle que soit leur situation, pourront être réquisitionnés, et à n’importe quel moment (si la loi ne fixe pas d’âge limite pour cette réquisition, il faut savoir que dans le cadre de la Réserve opérationnelle dans les armées, il est possible de s’y engager entre 17 et 72 ans…).
La réquisition militaire pourra être ordonnée en cas d’existence : • D’une menace actuelle ou prévisible sur les activités essentielles à la vie de la Nation, la protection de la population, l’intégrité du territoire, la permanence des institutions de la République ou justifiant la mise en œuvre des engagements internationaux de l’État en matière de défense » (art. L. 2212-1, nouv. du Code de la défense). • D’une urgence, lorsque la sauvegarde de la Défense nationale le justifie. Un décret du Premier ministre sera nécessaire pour ouvrir le recours à ce type de réquisition (art. L. 2212-2, nouv. du Code de la défense).
Dans ces deux situations, qui seront décrétées par le pouvoir exécutif, que cela corresponde à une réalité ou non (on peut se référer pour comprendre cela à la déclaration de la fausse pandémie de « C19 »), sont concernées par les réquisitions : • Toute personne, physique ou morale, et tous biens et services nécessaires pour parer à la menace et à l’urgence (art. L. 2212-1, nouv. du Code de la défense). • Toute personne physique présente sur le territoire national ; • Toute personne physique de nationalité française ne résidant pas sur le territoire national ; • Toute personne morale dont le siège est situé en France ; • Tout navire battant pavillon français, que l’armateur soit de nationalité française ou étrangère, y compris en haute mer ou dans des eaux étrangères (art. L. 2212-6, nouv. du Code de la défense pour ces 4 derniers points).
Par ailleurs, « Le fait de ne pas déférer aux mesures de réquisition légalement ordonnées sera puni d’un emprisonnement de 5 ans et d’une amende de 500 000 € » (art. L. 2212-9, nouv. du Code de la défense).
La réquisition pour faire taire les opposants de tout âge ? |