Pourquoi ces jeunes Français manifestaient-ils ?
Donc, 6 jeunes Français ayant manifesté pacifiquement dans les rues d’un quartier d’une petite ville de France, Romans-sur-Isère, pour protester de l’assassinat de Thomas par des petits anges issus de ce quartier, ont été condamnés à des peines de 6 mois à 10 mois de prison ferme, avec mandat de dépôt délivré à l’audience.
Pourtant, ces jeunes Français ont manifesté sans incendier le moindre bâtiment public, sans incendier de voiture et sans agresser qui que ce soit. Qu’importe, ils ont été gazés, matraqués, pourchassés et interpellés par la garde prétorienne de la macronie aux abois, la CRS 8.
Au fait, n’est-ce pas ainsi que cela se passait en Allemagne dans les années 1930, où la moindre manifestation pacifique contre le régime politique au pouvoir était réprimée dans le sang par la garde prétorienne des nazis (les fameuses SA) ?
Pourquoi ces jeunes Français manifestaient-ils ? Pour rendre un dernier hommage à un jeune homme de 16 ans massacré à coups de couteau par ce qu’il faut bien appeler des racailles, que certains appellent des « petits anges », qui seraient issus de l’immigration voulue et organisée en 1974 par Jacques Chirac, alors Premier ministre et donc dirigeant de ce que William Shakespeare aurait sans aucun doute appelé : « la pourriture étatique française ».
Pourquoi ont-ils été gazés, matraqués, pourchassés et interpellés ? Parce qu’ils avaient, d’après le préfet et tous les sbires de l’Éborgneur en chef de Gilets Jaunes, « envahi » sans la moindre autorisation un quartier « sensible » d’une petite ville autrefois française et qui ne pouvait donc pas être envahie par des Français.
Les « petits-anges » kidnappent, torturent et veulent brûler vif un manifestant qui n’aurait pourtant pas manifesté…
Un jeune homme de 20 ans, qui aurait été convaincu par des policiers de ne pas manifester, serait resté à l’écart dans son van, d’où il aurait été « extrait » par la force et kidnappé avant d’être soumis à des actes de torture par les « petits anges » du coin, qui voulaient le brûler vif après l’avoir mis à nu et torturé (il ne devrait son salut qu’à quelques adultes qui auraient réussi, et bravo à eux, à expliquer aux petits anges, que non, il ne fallait pas faire cela et qui auraient prévenu la police et les pompiers).
10 mois de prison ferme pour des manifestants pacifiques, mais remise en liberté de 3 des 9 suspects, mis en examen, qui auraient participé à la fin d’une soirée privée au massacre à coups de couteau du jeune Thomas à Crépol, qui perdit la vie, alors que 8 autres jeunes auraient été gravement blessés par les petits anges, dont deux très gravement.
Des juges aux ordres du cocaïnomane de l’Élysée ?
Des juges rendraient-ils de plus en plus leurs décisions, non pas en appliquant la loi, mais comme cela leur chante, selon leurs idées politiques et leur idéologie ?
D’ailleurs, n’auraient-ils par tort de s’en priver, puisqu’ils sont juridiquement irresponsables ? Personne ne peut leur reprocher quoi que ce soit et les poursuivre lorsque leurs décisions violent la loi, aussi bien dans le texte que dans l’« esprit ».
Soyons justes, si certains de ces juges font ce qu’ils veulent, d’autres font exactement ce que leur demande l’Éborgneur en chef des Gilets Jaunes. Et il n’est pas nécessaire que ce dernier leur téléphone ou leur envoie un RAR pour cela, tout le monde en France sait exactement ce que veut la Grande faucheuse des EHPAD, l’Exterminateur des personnes âgées, c’est appliquer à la lettre, avec zèle et vigueur, le programme des mondialonazis et des psychopathes de Davos, adepte de la dépopulation de la Planète : l’Agenda 2030.
La légitime défense et les gendarmes qui protègent la population seraient désormais condamnés par des juges…
Et pour arriver à leurs fins, ils doivent détruire les structures sociales des populations occidentales en leur imposant la pauvreté et l’insécurité, qu’elle soit sanitaire ou qu’elle concerne tout simplement notre existence quotidienne : il faut que la peur règne sur les gueux que nous sommes à leurs yeux, il faut que nous tremblions de trouille du matin au soir, que ce soit par crainte de nous faire égorger dans la rue par un « petit ange », par celle d’attraper les fruits de la copulation d’un poisson et d’une chauve-souris sur un marché de Wuhan, en Chine, comme avec le « C19 » (au fait, quelqu’un a des nouvelles de la variole du singe ou de la grippe de la tomate ?).
Les gendarmes ne seraient pas épargnés par ces juges au service de l’idéologie mondialonazie…
Un gendarme, qui n’aurait manifestement fait que son devoir, vient de prendre 7 ans de prison ferme (le procureur aux ordres de l’ogre de la place Vendôme à Paris, là où se situe le ministère de la Justice, réclamait 15 ans).
Romain D., capitaine, saint-cyrien, vit une véritable descente aux enfers. Avant cela, il commandait la plus importante des unités de gendarmerie en Guadeloupe où, le 18 mars 2018, il est avec un de ses subordonnés à la recherche d’un véhicule déclaré volé qu’ils finissent par intercepter.
Au volant se trouvait un certain Yannick Locatelli « recherché par la Justice pour trafic de stupéfiants et vivant sous un faux nom en Guadeloupe » alors qu’une arme à feu était visible sur le tableau de bord du véhicule. Tout se serait alors passé très vite : après le refus d’obtempérer du délinquant, le capitaine Romain D. aurait pris son arme de service en main et fait les sommations d’usage alors qu’il se trouvait à quelques mètres du délinquant au volant du véhicule volé. Yannick Locatelli n’en aurait pas tenu compte et aurait fait démarrer son véhicule et c'est à ce moment que les versions divergent, le parquet affirme que le délinquant aurait enclenché une marche arrière et le gendarme une marche avant. Toujours est-il que Romain Dobritz a ouvert le feu, à sept reprises, après avoir fait les sommations d’usage.
Yannick Locatelli est mortellement blessé et Romain D. est arrêté et placé en garde à vue. Mis en examen pour « meurtre », il est jugé par la Cour d'assises de Basse-Terre (Guadeloupe) qui requalifie l’acte d’accusation en « violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner » et le condamne à 5 ans de prison, dont 3 ans ferme.
La décision de la Cour d’assises d’appel du Rhône : 7 ans de prison ferme
Romain D. décide de faire appel et l’affaire est rejugée par la Cour d’assises d’appel du Rhône, verdict : 7 ans de prison.
Rappelons que si les policiers et les gendarmes sont soumis aux règles juridiques de « la légitime défense » (article 122-5 du Code pénal) ou de « l'état de nécessité » (article 122-7 du Code pénal), les gendarmes, qui sont des militaires peuvent faire usage de leurs armes dans les cas énumérés à l’article L. 2338-3 du code de la défense, et plus précisément « pour empêcher la fuite d'une personne, après sommations faites à voix haute, et s’il n’existe pas d'autres moyens.
Les « petits-anges » peuvent-ils se trimballer dans nos rues en ayant des lames dans les poches, y compris pour aller dans une fête de village, sans que nous puissions nous protéger ?
Alors qu’il paraît normal aux autorités politiques et aux médias subventionnés que des petits anges se trimballent dans nos rues avec des couteaux et des armes à feu, est-ce que la mission de protéger les Français des petits anges armés jusqu’aux dents est encore assignée à la police et à la gendarmerie par les politiciens professionnels ? Ou est-ce que cette protection est strictement réservée aux politiciens, à leurs familles, à leurs amants et à leurs loufiats des médias subventionnés et aux hauts fonctionnaires ?
Comme en matière de santé, en matière de sécurité, ne devons-nous pas ne compter que sur nous-mêmes et très sérieusement organiser notre sécurité individuelle et celle de nos familles ?
Protégerons-nous de nos ennemis et des « petits-anges » porteurs de couteaux. Protégeons les êtres aimés, assurons leur sécurité, secrètement si cela est nécessaire…
Ne dit-on pas que nécessité fait loi ?
Pierre Lefevre
PS : En écho à l’article de Patrick Ledrappier « Les escadrons de la mort de Bill Gates » et la situation au Canada du mondialonazi Justin Trudeau, selon le « Daily Mail » : « Une mère canadienne de 57 ans, atteinte d'un cancer de l'estomac agressif, a été invitée à envisager le suicide assisté par des médecins qui ont déclaré que le système de santé universel du pays ne pouvait pas la sauver. Allison Ducluzeau, 57 ans, de Victoria en Colombie-Britannique, a déclaré à Global News que des consultants lui avaient conseillé de réfléchir à l'euthanasie. Le Canada a légalisé l’aide médicale à mourir (AMM) en 2016. Depuis, elle a été étendue de manière agressive. Ducluzeau a été confrontée à cette horrible perspective lorsqu'on lui a diagnostiqué un cancer abdominal de stade quatre à la fin de l'année dernière. » |