Ils interdisent un médicament classé sur la liste modèle de médicaments essentiels de l’OMS (d’avant qu’elle ne devienne la succursale commerciale de Bill Gates et de l’Église mondialiste), suite
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« Ils tuent volontairement les malades ! »
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Madame, monsieur, chère amie, cher ami,
Le 27 mai 2020, le gouvernement de la Grande faucheuse des Ehpad, de l’exterminateur des personnes âgées, a publié un décret au Journal officiel qui revient à interdire l’utilisation de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine pour soigner les malades souffrant d’un prétendu Covid-19. « Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a précisé le ministère de la Santé.
Cette interdiction fait suite à la publication d’une fausse étude dans la prestigieuse revue médicale The Lancet.
Mais au fait, de quoi s’agit-il exactement ?
Qu’est-ce que l’affaire The Lancet ?
Une « étude » a été publiée le 21 mai 2020 par l’une des revues médicales les plus réputées au monde, The Lancet, et 4 auteurs, aux titres universitaires de « professeur » ou de « docteur », en sont signataires, l’auteur principal, l’Indien Mandeep R. Mehra (prof.), l’Américain (USA) Sapan S. Desai (docteur), le Suisse (Zurich) Frank Ruschitzka (prof) et l’Indien naturalisé américain (USA) Amit N. Patel (docteur).
Une preuve statistique robuste de la dangerosité de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine
L’auteur principal de l’étude a déclaré à son sujet, qu’elle démontrait que « la chloroquine et l'hydroxychloroquine ne bénéficient pas aux patients atteints du Covid-19 ». Il a par ailleurs précisé qu’il s'agissait de la « première étude à large échelle » à établir une « preuve statistique robuste » que ces traitements sont « inefficaces, et même néfastes ».
Une « étude » prétendument fondée sur l’analyse statisitque médicale de 96 000 patients
Les auteurs auraient étudié la situation médicale personnelle de 96 000 patients admis dans 671 hôpitaux de divers pays, entre le 20 décembre 2019 et le 14 avril 2020, et qui sont depuis déshospitalisés ou décédés, et dont ils affirment qu’ils étaient infectés par le virus SARS-CoV-2.
Premières questions au sujet de ce qui nous est raconté
Au sujet des patients et des hôpitaux - Comment les auteurs ont-ils pu avoir accès à des données médicales hautement confidentielles de la part de 671 hôpitaux dans le monde ? - Qu’elles sont les données médicales précises de chaque patient qui auraient été transmises aux 4 auteurs de l’étude ? - Est-ce que les 96 000 patients ont donné leur accord pour que leur situation médiale personnelle fasse l’objet d’une étude à visée de publication ? - De quoi souffraient par ailleurs les 96 000 patients objets de la prétendue « étude » ? - Quel était l’exact motif de l’hospitalisation de ces 96 000 personnes ? - Quels tests ont été utilisés pour détecter leur positivité au Covid-19 et quelle est la fiabilité scientifique de ces tests (la fiabilité de tous les tests actuellement utilisés est remise en cause par tous les experts indépendants qui affirment qu’aucun test ne peut permettre de dire qu’une personne est infectée du Covid-19) ?
Au sujet des hôpitaux - Quels sont hôpitaux, sont-ils publics, privés, avaient-ils le droit de transmettre des données médicales personnelles à des tiers ? A quelles conditions ? Ont-ils touché de l’argent pour cela ? Si oui, dans quel cadre ? - Où sont précisément situés ces hôpitaux (ville et pays) ? - Quelles sont les données précises qu’ils ont transmises aux auteurs ? - Sous quel programme informatique ces données ont-elles été transmises (tableur, traitement de textes, etc.) ?
Au sujet du travail des auteurs de la prétendue étude - Comment a été organisé leur travail individuel (96 000 dossiers médicaux à étudier pour 4 personnes, cela représente 24 000 dossiers par personne) ? - Combien de temps ont-ils passé à l’étude chaque dossier et pour quelles informations traitées et analysées (2 heures par dossier sont un minimum, cela représente 192 000 heures de travail, soit 48 000 heures par auteur et si l’on compte 200 heures de travail par mois, cela représente 240 mois, soit 20 années de travail par auteur sans le moindre congé) ? - Quelles sont les données précises, patient par patient, qu’ils ont analysées et corrélées ?
Au sujet du coût et du financement de leur étude - 50 millions d’euros, soit un peu plus de 520 € par patient (en recherche clinique, les médecins investigateurs sont rémunérés jusqu’à 10 000 € par patient) est l’estimation la plus basse au sujet du coût de cette « étude », compte tenu des tarifs et honoraires pratiqués en recherche clinique et de la rémunération des auteurs d’études, mais quelle était leur exacte rémunération ? - Qui a financé cette « étude » pour le Brigham and Women’s Hospital Center for Advanced Heart Disease de Boston qui en serait le promoteur, pour quelles raisons ?
Sur ce dernier point, il semblerait que les auteurs affirment qu’ils auraient fait cette étude sur leur temps libre, en dehors de leur travail habituel. Comment croire à cette fable ?
15 000 patients auraient directement concerné par la chloroquine ou l’hydroxychloroquine contre 81 000 (groupe témoin) qui n’en aurait pas reçu
Selon les auteurs, 15 000 patients auraient été séparés « informatiquement » (après coup, sur données informatiques) en 4 groupes et chaque groupe aurait reçu soit une association « chloroquine seule ou associée à l'antibiotique azithromycine », ou « hydroxychloroquine seule ou associée à ce même antibiotique ». Les 4 groupes « informatique » auraient été comparés aux 81 000 patients appelés « groupe témoin » qui serait également un groupe informatique.
Nouvelles questions au sujet de ce qui nous est raconté
- Comment auraient été répartis les 4 groupes (âge ; sexes ; pathologies préexistantes, traitements associés) ? - Comment étaient repartis les 81 000 patients (âge ; sexes ; pathologies préexistantes, traitements associés) ?
Résultats publiés par The Lancet, qui offre ainsi toute sa notoriété aux 4 escrocs à la solde de l’Église mondialiste de son Grand prêtre Bill Gates et de sa succursale commerciale, l’OMS
Alors que le risque de mortalité aurait été de 9,3 % dans le « groupe témoin de 81 000 patients, il aurait été nettement supérieur dans les 4 groupes des 15 000 patients sous chloroquine ou hydroxychloroquine seules ou associées à l'antibiotique azithromycine.
Nous aurions respectivement, à la place des 9,3 % de décès du groupe témoin : - 16,4% de décès avec la chloroquine seule et 22,2 % lorsqu’elle aurait été associée à l'antibiotique - 18 % de décès avec l'hydroxychloroquine seule et23,8 % lorsqu’elle aurait été associée au même antibiotique.
The Lancet n’hésite pas à valider les conclusions des 4 escrocs qui estiment que le risque de mortalité est de 34 % à 45 % plus élevé chez des patients prenant ces traitements que chez ceux qui ne les prennent pas.
Par ailleurs, nos 4 compères affirment qu’ils auraient « découvert » des arythmies cardiaques graves et plus fréquentes chez les patients recevant chloroquine ou hydroxychloroquine avec 8 % des malades contre 0,3 % dans le groupe témoin, soit un risque 5 fois plus élevé.
Quant à l’européen du quatuor « alcaponesque », Frank Ruschitzka (centre hospitalier universitaire de Zurich), il affirme, sans en citer une, que des études préliminaires à petite échelle ont « échoué à identifier des preuves robustes d'un bénéfice » de la chloroquine et de l'hydroxychloroquine dans le traitement du Covid-19.
Le Brigham and Women’s Hospital Center for Advanced Heart Disease de Boston, qui serait le promoteur de cette « étude », a déclaré que les chercheurs avaient eu accès aux données de cinq hôpitaux enregistrant 600 patients australiens Covid-19 et 73 décès australiens au 21 avril.
Problème : - Les données de l'Université Johns Hopkins (Baltimore, dans le Maryland) affichent quant à elles seulement 67 décès dus à Covid-19 pour toute l’Australie au 21 avril 2020 ; - Le département fédéral australien de la santé affirme que ses données collectées sur les notifications du Covid-19 dans le système national de surveillance des maladies à déclaration obligatoire ; n’avait pas été communiquée à des tiers (le Département de la Santé de l’État du Victoria a confirmé que les données australiennes de l’« étude » ne concordaient pas avec les données de l'État (y compris les admissions à l'hôpital et les décès) et le ministère de la Santé de la Nouvelle-Galles du Sud a indiqué qu'il n'avait fourni aucune donnée aux « chercheurs ».
Les effets de cette « étude »
- La succursale commerciale de l’Église mondialiste et de Bill Gates, l’OMS, a interrompu tous ses essais impliquant l'hydroxychloroquine en raison des préoccupations soulevées dans l'étude concernant son efficacité et sa sécurité. - La même succursale aurait exigé du gouvernement australien qu’il fasse interrompre une étude clinique sur l'hydroxychloroquine pour traiter le Covid-19 - Le ministère australien de la Santé a indiqué que la chloroquine et l'hydroxychloroquine ne devaient être utilisées que dans le cadre d’essais cliniques et non pas en traitement hospitalier courant ; - L’étude australienne Ascot sur l'hydroxychloroquine aurait été interrompue suite à la publication du The Lancet ; - En France, pays transformé en autre succursale commerciale de Bill Gates et de l’Église mondialiste, le gouvernement a interdit le recours à la chloroquine ou à l'hydroxychloroquine pour traiter les patients atteints du prétendu Covid-19 (nous disons « prétendu », car aucun test ne permettrait de déceler réellement la présence d’un coronavirus spécifique et pour nous, les pathologies hivernales de cette année sont semblables à celles des autres années, ce que confirment les chiffres sur la mortalité).
Réactions du The Lancet après les dizaines de protestations officielles de par le monde sur le sérieux de cette « étude » (excepté en France où seuls les complotistes et populistes comme nous se permettent de la contester)
The Lancet a déclaré au journal Guardian Australia « Nous avons demandé des éclaircissements aux auteurs, nous savons qu'ils enquêtent de toute urgence et nous attendons leur réponse. »
« Surgisphere » sort du chapeau du chef du gang « alcaponesque médical », Mandeep Mehra
Suite aux demandes d’éclaircissement du The Lancet, Mandeep Mehra a déclaré qu'il avait contacté Surgisphere, la société qui a fourni les données afin de comprendre.
Surgisphere serait une société d'analyse de données de soins de santé et de formation médicale fondée par l’un des 4 escrocs, l’Américain (USA) Sapan S. Desai (qui n’hésite pas à dire qu’il n’a pas été rémunéré pour cette étude, en oubliant toutefois de préciser ses liens financiers avec Surgisphere).
Le Dr Allen Cheng, épidémiologiste spécialiste des maladies infectieuses à l’hôpital The Alfred Health (Melbourne, Australie) qui apparaîtrait dans l’étude, a déclaré qu'il n'avait jamais entendu parler de Surgisphere, et que son hôpital n'avait fourni aucune donnée à cette société. Il s’est par ailleurs étonné qu’il n’y ait que 4 auteurs dans une étude impliquant presque 100 000 patients (ce qui serait pour lui, comme pour nous, manifestement impossible).
Il n’y aurait donc eu aucune étude et aucun travail scientifique derrière cette escroquerie dont on aimerait connaître les véritables commanditaires.
En France, combien de morts, d’assassinats médicaux en plus ?
En France, le 27 mai 2020, le gouvernement de la Grande faucheuse des Ehpad, de l’exterminateur des personnes âgées, a publié un décret au Journal officiel qui revient à interdire l’utilisation de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine pour soigner les malades souffrant d’un prétendu Covid-19.
« Que ce soit en ville ou à l’hôpital, cette molécule ne doit pas être prescrite pour les patients atteints de Covid-19 », a précisé le ministère de la Santé.
Faute de soins efficaces que la Grande faucheuse des Ehpad a décidé d'interdire, cette interdiction provoquera la mort de combien de centaines ou de milliers de personnes âgées en plus ?
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Le Maroc et la chloroquine « Une étude française a montré l’efficacité de la chloroquine contre la covid-19, mais elle a disparu »
Khalid Aït, ministre de la Santé du Maroc a révélé au Parlement marocain que « trois études internationales ont montré ses effets positifs (chloroquine), dont une française qui aurait mystérieusement disparu. »
Pour en savoir plus à ce sujet, cliquez sur « Une étude française a disparu »
France : Didier Raoult et l’étude du The Lancet
Deux tweets de Didier Raoult :
« Les autorités australiennes interrogées par le Guardian Australia s’interrogent sur les fortes discordances entre les données de l’article de Mehra et Al dans le Lancet et leurs données nationales. Elles ne comprennent pas quels hôpitaux ont partagé leurs données patients »
« Le Lancet demande des comptes aux auteurs de toute urgence. Ceux-ci se défendent en expliquant qu’un des 5 hôpitaux australiens était en fait un hôpital asiatique. Toujours des écarts inexpliqués. La magie du big data ! »
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