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Lettre n°695 - Lundi 06 Février 2023
Un nouveau courant de pensée postule le longtermisme et affirme que notre priorité morale est d’œuvrer au bien-être des générations futures… Au risque de nuire aux générations présentes.
Lorsque nous observons un paysage, nos yeux et notre cerveau s’attardent plus sur les animaux que sur les plantes qui le composent. Ce biais cognitif dont nous sommes toutes et tous atteints est appelé par les chercheurs « cécité botanique »
Aujourd’hui, nombre de philosophes voient le thème de l'amour comme central dans leur réflexion. Pourquoi cet engouement ? Analyse d’un phénomène qui ne manque pas de surprendre…
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N’applaudir qu’entre les rounds, exprimer sa joie sans perturber le combat… Comment a-t-on appris à être un bon spectateur de boxe au début du 20e siècle ?
Spécialiste des Étrusques, cet archéologue mobilise des vestiges du passé pour retrouver de vieilles recettes laitières oubliées. Sans hésiter à mettre la main à la pâte.
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Thomas Piketty offre, avec Capital et idéologie (Seuil, 2019), une ample analyse des fondements idéologiques des systèmes inégalitaires.
Longtemps considéré comme symptôme d’une personnalité trop émotive ou fragile, le bégaiement est aujourd’hui mieux compris et pris en charge grâce aux récents apports des neurosciences.
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Ils sont dyslexiques, dyspraxiques, dyscalculiques, mais aussi intellectuellement brillants. Comment expliquer ce paradoxe ? À la lumière des recherches récentes en neurosciences, Michel Habib propose un état des lieux des définitions et relations réciproques entre haute intelligence et troubles dys. On rencontre de plus en plus souvent des enfants, adolescents et adultes « HPI-Dys » (les anglosaxons parlent de twice exceptionals), qui présentent des compétences supérieures dans certains domaines, et des difficultés dans d’autres. Cette double occurrence intrigue.
Et si douance et troubles dys étaient liés ? Et s’il s’agissait d’effets conjoints d’un même mécanisme évolutif de l’intelligence humaine ?
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