La fin de la liberté d’expression
Nous ne pouvons pas continuer à diffuser publiquement la version actuelle de « La Lettre Confidentielle de Libre Consentement Éclairé ». Le risque, réel, de représailles judiciaires est trop important. Il n’est pas nécessaire d’être un fin juriste pour comprendre que la conjugaison de la loi « contre les dérives sectaires » avec la loi de « programmation militaire » et la loi SREN (« Sécuriser et à réguler l’espace numérique »), remet aux mains du Président de la République et de son gouvernement le pouvoir absolu de décider ce que nous aurons désormais le droit de dire et d’écrire, et donc de penser.
« Il ne faudrait pas que les gueux puissent imaginer qu’ils ne sont pas en démocratie… »
Et la décision du Conseil constitutionnel du 17 mai 2024 (décision N° 2024-866 qui censure l’article 19 de la loi) au sujet de la SREN n’y changera, en fait, rien, car comme le précise le Conseil dans sa décision : - « … la législation comprend déjà plusieurs infractions pénales, énumérées par la décision de ce jour, permettant de réprimer des faits susceptibles de constituer des abus de la liberté d’expression et de communication, y compris lorsqu’ils sont commis par l’utilisation d’un service de communication au public en ligne. » - « … il est loisible au législateur d’instituer des incriminations réprimant les abus de l’exercice de la liberté d’expression et de communication qui portent atteinte à l’ordre public... »
Ce qui revient à dire en langage simple et familier : « Des lois existent déjà pour réprimer cette liberté d’expression qui malmène ‘l’ordre public macronien’, et si elles ne vous suffisent pas, votez-en d’autre respectant les formes et les apparences, il ne faudrait pas que les gueux puissent imaginer qu’ils ne sont pas en démocratie… »
« L’énorme machine totalitaire du mensonge » (Alexandre Soljenitsyne)
Avec ces lois en vigueur, aucune des lettres que nous avons diffusées jusqu’à ce jour n’aurait pu l’être sans que nous risquions la condamnation pénale des auteurs et de moi-même en tant que représentant légal de Libre Consentement Éclairé (prison et amendes).
Désormais, nous ne pourrons plus dénoncer publiquement « l’énorme machine totalitaire du mensonge » et les criminelles politiques de Santé publique menées par les politiciens et les fonctionnaires à la solde de Big Pharma, de Bill, de George et de leurs laquais « journalistes », « médecins » de plateaux télé, « universitaires » et autres guignols sanguinaires qui vivent grassement des impôts et taxes payées par les gueux que nous sommes à leurs yeux (en écrivant cela, je pense à toutes les victimes des « va x ins » et aux Gilets Jaunes gazés, tabassés, emprisonnés et éborgnés par des fonctionnaires).
C’est maintenant prendre de grands risques que de parler publiquement de « forme physique et mentale », de « santé », de « bien-être », de « beauté », de « liberté » et de « vérité »…
Avec les mondialonazis au pouvoir, parler des bienfaits scientifiquement et historiquement démontrés de la médecine et pharmacopée chinoises, de ceux de l’homéopathie, de l’ivermectine, de l’hydroxychloroquine, pourra vous valoir de lourdes amendes et vous mener à la case prison.
En fait, face à « l’énorme machine totalitaire du mensonge » mise en place par les politiciens professionnels, de tous bords, de la FI de Jean-Luc Mélenchon à Reconquête d’Éric Zemmour, sans oublier le RN de Marine Le Pen et du clone macronien Bardella, toute expression publique divergente et menaçant le bon déroulement de l’Agenda 2030 ou la guerre contre les Russes en Ukraine ne pourra plus être tenue publiquement.
Et pour résumer leur Agenda 2030 quelques mots suffisent : nous mourrons pauvres, isolés, piqués comme des chiens malades sur un des brancards d’une salle obscure d’un EHPAD ou d’un hôpital, juste avant d’être incinérés.
« Être un combattant de la défense de nos droits d’êtres humains, c’est d’abord et avant tout ‘s’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge’ »
Cependant, nous voulons, viscéralement, continuer à dénoncer « l’énorme machine totalitaire du mensonge », tout comme nous voulons, viscéralement également, continuer à être des combattants de la défense de la vie, du bonheur et de la joie de vivre, de la défense des libertés, de la beauté et de la vérité, car la vérité existe, tous comme la beauté ou la liberté, ne l’oublions jamais.
Après de longues discussions à ce sujet, nous pensons que dans sa forme actuelle, notre lettre doit être réservée exclusivement aux donateurs et ne plus être rendue publique par des sites « amis » (nous trouverons peut-être un moyen d’en diffuser des résumés anonymes sur « Telegram » ou autre).
Ce sera alors une correspondance strictement privée entre donateurs.
Je rappelle que les dons annuels que vous faites à Libre Consentement Éclairé sont déductibles des impôts à hauteur de 66 % dans la limite de 20 % du revenu imposable.
Concrètement, un don de 120 € donne droit à une réduction d’impôt de 78 €, soit 42 € de dépenses réelles (un total de 240 € de dons annuels donne droit à une réduction d’impôt de 158,40 €, soit 81,60 € de dépense réelle, un total de 500 € de dons annuels donne droit à une réduction d’impôt de 330 €, soit 167 € de dépense réelle, un total de 1 000 € de dons annuels donne droit à une réduction d’impôt de 660 €, soit 334 € de dépense réelle).
En espérant la compréhension de nos milliers de lecteurs qui ne peuvent pas (ou qui ne veulent pas) contribuer financièrement à notre combat pour la vie, pour la liberté, pour la beauté et pour la vérité. |