 Ils fondent un cluster pour la filière viti-vini.
La filière viti-vinicole en Champagne va avoir son cluster qui fédérera, représentera et animera un ensemble de 800 entreprises champenoises « vigne et vin » spécialisées dans la fabrication et la vente de matériel, les prestations de service, la cartonnerie, la logistique ou la communication. Ce cluster du « business connexe au champagne » sera ouvert aussi aux structures de recherche, aux territoires et aux collectivités. L’initiative a été prise par la CCI Reims-Epernay, le Club des entrepreneurs et la Communauté de communes Epernay Pays de Champagne. Elle découle des conclusions d’une étude comparée du VITeff et du Viti-Vini.
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page VI MHCS investira 1,5 milliard en 10 ans.
Le leader du champagne, Moët Hennessy Champagne Services, va investir 1,5 milliard sur 10 ans pour rénover ses outils de production et augmenter ses volumes : c’est le message qu’a passé MHCS à l’occasion de la 4e édition des « Rencontres Business de la filière connexe au champagne » organisée par la CCI Reims-Epernay et la Communauté de communes Epernay Pays de Champagne. Parmi les investissements : les 270 millions d’euros du futur site de vinification de Veuve Clicquot situé dans la Zac de Cernay - Saint-Léonard près de Reims.
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page VI Financement : les anges rémois s’ouvrent.
Réunis en association depuis février 2014, les Business Angel rémois prennent un nouvel élan. « Nous voulons mettre Reims Business Angel au milieu de l’écosystème des start-up régionales » indique Eric Ponsin, président de l’association. D’Innovact Center et ses lauréats aux nouveaux véhicules d’investissements lancés par BpiFrance, il constate un intérêt nouveau pour les start-up.
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page V Vivescia va du grain au bistrot.
Délifrance, l’enseigne méconnue du groupe Vivescia qui compte 500 établissements dans le monde, pousse plus loin le concept de la « restauration boulangère », Son objectif : 1 000 établissements en 5 ans.
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page III Le robot arrive dans les vignes.
Conçu pour les maraîchers, le robot Naïo apprend, avec le Comité Champagne, à travailler dans le vignoble champenois.
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page VII La nouvelle vie du ratafia commence.
Fort désormais d’une IGP champenoise, le ratafia, mélange d’alcool et de jus de raisin issu de l’AOC, est un « nouveau produit » qui peut ambitionner de monter en gamme.
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page VII L’Opcalia Grand Est se structure.
La fusion des régions Alsace, Lorraine et Champagne-Ardenne a entrainé le regroupement de plusieurs CPR (Conseils paritaires régionaux) et la création d’un CPR Grand Est Opcalia en mai dernier.
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page V Veuve Capet primée.
La nouvelle vodka Veuve Capet, lancée cette année à Epernay, a été élue meilleure vodka 2016 aux Spirits Innovation Awards.
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page V Commerce : Ikea fait presque mieux que la cathédrale.
Paul Magnan, directeur d’Ikea Reims, fait savoir que son magasin attirait chaque année quelque 1,2 million de chalands. C’est presque autant que la cathédrale de Reims qui affiche une fréquentation annuelle de 1,5 million de visiteurs. Après 4 années difficiles, l’antenne rémoise de l’enseigne suédoise a retrouvé la rentabilité (Texte intégral)
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page V CCI de Reims : un guichet pour aider les TPE à se financer.
Pour répondre aux doléances de ses adhérents qui se plaignent d’avoir du mal à trouver des financements, la CCI Reims-Epernay lance un guichet. C’est l’ex-banquier rémois, Michel Mine, qui animera cette structure de conseil, située au siège rémois de la chambre. « Il ne signera pas de chèque mais expliquera aux TPE et PME comment monter un dossier qui puisse être reçu par un banquier » explique Jean-Paul Pageau, président de la CCI. (Texte intégral)
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page V Open Loge arrive dans les quartiers.
Open Loge, la plate-forme de service entre particuliers, née au sein de l’incubateur rémois Innovact Center, fait ses premiers pas à Reims.
L’UNION ECONOMIE du 05/07/2016 en page V Chefs d’entreprise, osez parler de vos difficultés.
Créé en 1999, les centres d’information et de prévention des difficultés des entreprises, CIP, organisent les « entretiens du jeudi », où les chefs d’entreprise viennent partager leurs difficultés. Le CIP National estime que 3 000 à 4 000 entretiens confidentiels et anonymes sont réalisés chaque année dans les CIP de France. Plus les difficultés sont traitées en amont, plus les chances de les surmonter sont élevées. Les CIP veulent aller plus loin et proposer un soutien psychologique et répondre à la détresse de certains entrepreneurs, une convention a été signée avec Apesa France (Aide psychologique pour le soutien des entrepreneurs en souffrance psychologique aigüe). Les visiteurs du CIP pourront se voir proposer cinq séances gratuites chez un psychologue.
Les Echos sociétés du 05/07/2016 en page 01 Arcis-le-Ponsart : le magasin rouvre à l’abbaye.
Après plus d’une année de travaux, le magasin de l’abbaye d’Igny vient de rouvrir. Plus de 600 produits de l’artisanat monastique sont proposés actuellement aux visiteurs.
L’UNION REIMS du 05/07/2016 en page 19 « Sans passeport pendant 7 ans ».
Jean-Louis Desphieux revient sur « l’affaire Courlancy » et ses conséquences pour lui et le groupe. Entretien.
L’UNION REIMS du 05/07/2016 en page 10 Réunis pour célébrer « une belle date ».
A l’initiative de la blogueuse rémoise Emilie Jean-Georges, un « apéritif historique » était organisé hier soir, 4 juillet 2016, au Glue Pot pour fêter l’anniversaire de l’inscription de la Champagne au patrimoine mondial de l’Unesco.
L’UNION REIMS du 05/07/2016 en page 7 Clairmarais : les travaux compliquent la circulation.
En raison des travaux de voirie en cours actuellement dans le quartier Clairmarais à Reims, le temps de parcours est nettement plus élevé que d’ordinaire pour les habitués du quartier. Et cela va durer jusqu’au 19 août 2016.
L’UNION REIMS du 05/07/2016 en page 5 Dormans : leur mini-entreprise a été primée.
Just’ag, la mini-entreprise du collège Claude Nicolas Ledoux à Dormans, a tiré un trait final sur ses 8 mois d’activités. Les élèves ont créé un amplificateur de son pour portable, un produit reconnu et récompensé lors du 8e Salon régional des mini-entreprises EPA par le Prix du développement durable.
L’UNION EPERNAY du 05/07/2016 en page 12 Il reconstitue Reims en 3D pour un jeu vidéo.
Un Rémois de 23 ans, Jonathan Maquin, passe son temps libre à reconstituer les rues de la Cité des sacres en 3D. Objectif : faire la toile de fond d’un simulateur de transport intitulé « Omsi Bus 2 » qui permet de naviguer dans les rues des grandes villes du monde
L’UNION REIMS du 05/07/2016 en page 8 Innovation : Macron veut alléger les normes.
Le gouvernement souhaite proposer un dispositif pour favoriser les innovations en mettant en place des dérogations temporaires aux règles en vigueur. Les entreprises et associations porteuses de projets peuvent exprimer leurs besoins d’adaptation des normes auprès de la Direction générale des entreprises, « avec des relais en région et un site Internet ». Les acteurs économiques qui estiment être freinés par des raisons administratives peuvent déposer un dossier jusqu’au 31 décembre.
LES ECHOS du 05/07/2016 en page 4 Travail détaché : Valls menace Bruxelles de sécession.
En 2015 la France a accueilli 286 000 travailleurs détachés, issus principalement de l’Europe de l’Est et de la péninsule ibérique, ils opèrent principalement dans le secteur du BTP, mais aussi dans l’industrie et l’agriculture. Le Premier ministre dénonce une pratique créant du « dumping social ». Il menace de ne plus appliquer la directive de 1996 sur le travail détaché si Bruxelles n’accepte pas de la « remettre à plat ». Il souligne que si le travailleur détaché bénéficie du salaire minimum du pays d’accueil, les cotisations sociales restent dues dans le pays d’origine, soit beaucoup plus basses qu’en France. Une concurrence déloyale selon les PME et TPE, qui détruit les emplois locaux. Un travailleur détaché coûte jusqu’à deux fois moins cher qu’un Français. Si le gouvernement français refuse d’appliquer la directive, il risque une amende de la Cour de justice de l’UE mais aussi de pénaliser ses entreprises, l’an passé 136 000 travailleurs ont été détachés dans l’Union Européenne.
LES ECHOS du 05/07/2016 en page 02
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