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Jeudi 9 avril 2020

Appel aux dons masques de protection
Dans le contexte sanitaire actuel, et par solidarité avec tous les professionnels de santé engagés en 1^ère ligne dans ce combat contre le coronavirus COVID-19, nous lançons un appel aux dons auprès de toutes les entreprises de la Marne qui pourraient disposer d’un stock, d’un carton ou d’une boîte de masques permettant de se protéger et protéger leurs salariés des effluves.
Vous pouvez vous manifester auprès de M. Kevin Drumel : k.drumel@marne.cci.fr - 06 45 45 29 20

Merci pour eux

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Tourisme à Epernay. Il faut penser à l’après.
Le tourisme est pratiquement à l’arrêt. « Tout le monde est inquiet pour le futur et pour la saison touristique qui arrive », reconnaît le Président de l’Office de tourisme, Xavier Thibaut. Pas de répit toutefois pour la structure dont le personnel poursuit l’activité en télétravail « pour répondre aux questions des adhérents, faire suivre les informations sur les aides. L’office de tourisme continue son travail de promotion sur notre secteur ». Pour le président de l’office de tourisme, il va falloir travailler différemment. (Accès abonnés)
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L’UNION du 09/04/2020 en page 26

Reims. Le Tribunal de commerce dans la dématérialisation.
Si l’accueil physique est fermé jusqu’à nouvel ordre, le greffe du Tribunal de commerce reste opérationnel grâce au numérique. « Tous les services dématérialisés du greffe (kbis, statuts, copies…) sont disponibles sur www.infogreffe.fr et toutes les démarches habituelles peuvent être faites par ceux qui le souhaitent », a tenu à rappeler Axelle Delpy, greffière au sein de cette juridiction. Le greffe est lui-même joignable via plusieurs adresses mails à retrouver sur www.greffe-tc-reims.fr. (Accès abonnés)
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L’UNION du 09/04/2020 en page 16

Fonds de solidarité : diagnostiquez votre éligibilité.
Pour aider les entreprises à faire face à la crise sanitaire liée au COVID-19, le Gouvernement a mise en place un fonds de solidarité, destiné aux TPE, indépendants, micro-entrepreneurs, sous réserve de conditions.
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CHAMP’ECO du 09/04/2020

Pourquoi après avoir fermé, certaines entreprises redémarrent.
Crainte de rater la sortie de crise, refus de dossiers de chômage partiel, réorganisation avec des mesures sanitaires qui rassurent les salariés, évolution du travail... Après le choc des premiers jours à la mi-mars, plusieurs PME ont décidé de reprendre une activité, le plus souvent partielle et progressive. Mais l’heure n’est pas encore au redémarrage complet.
LES ECHOS du 09/04/2020 en page 25

Saint-Martin-sur-le-Pré. Marne Métal Concept reprend du service.
La société coopérative Marne Métal Concept, qui avait dû fermer à l’annonce du confinement, a rouvert son usine ce lundi afin de satisfaire ses clients. L’activité a pu reprendre en effectif partiel, en intégrant les mesures nécessaires pour pouvoir travailler en sécurité et sans mettre en danger ses collaborateurs. Ceux-ci travaillent désormais de 6 à 13 heures tous les jours et peuvent assurer de nouvelles commandes. (Texte intégral)
L’UNION du 09/04/2020 en page 22

Plongée au cœur des… plateformes de la Scapest.
La Scapest, c’est deux sites géants à Recy et Saint-Martin-sur-le-Pré, surnommé par les salariés L’Ilet. Cette centrale d’achats et de logistique gère au quotidien plus de 30 000 références, sur 135 000 m 2 d’entrepôts couverts. Chaque jour, 900 personnes s’activent pour permettre aux deux plateformes d’alimenter en produits et denrées les hypermarchés, drive et express pour une partie du nord-est de la France. (Accès abonnés)
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L’UNION du 09/04/2020 en page 11

La filière textile peine à répondre au nouvel appel de Bercy.
Après les masques, Bercy appelle les entreprises textiles à fabriquer des surblouses lavables pour le personnel soignant. Mais les ateliers de confection travaillent avec un personnel réduit.
LES ECHOS du 09/04/2020 en page 17

L’industrie du tourisme partagée entre l’espoir et la colère.
La perspective d’un retour rapide de l’activité a disparu. La reprise sera lente et progressive. Le secteur du tourisme se prépare à un long hiver. Mardi 7 avril, à l’occasion d’une conférence de presse téléphonique, le secrétaire d’État auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, a douché les espoirs des professionnels du secteur quant à un retour rapide de l’activité. Selon lui, « la reprise se fera progressivement » : il faudra compter « un an et demi à deux ans pour retrouver le niveau de 2019 », une année, il est vrai, exceptionnelle pour le tourisme français avec 58 milliards d’euros de recettes et 98 millions de visiteurs. Dans l’attente de jours meilleurs, les entreprises font le gros dos et tablent sur les aides mises en place par le gouvernement pour laisser passer l’orage.
LE MONDE du 08/04/2020 en page 16

Confiné, le marché immobilier fonctionne au ralenti.
Le marché immobilier est en mode pause depuis le 17 mars, premier jour du confinement. De l’annonce à la signature de l’acte d’achat chez le notaire et au déménagement, en passant par les visites d’agence, les diagnostics, les crédits bancaires et les éventuels travaux, aucun métier ne fonctionne à plus de 10 % ou 20 % de la normale. On expédie les affaires négociées avant la date fatidique, mais, puisqu’il n’y a plus de visite possible, il n’y a presque plus de transactions. Thierry Delesalle, notaire à Paris, chargé de la conjoncture pour les Notaires du Grand Paris confie : « Le décret du 3 avril assouplit les procédures et nous autorise à accomplir certains actes authentiques dits “solennels” – donation, contrat de mariage, succession et vente de logement neuf en l’état futur d’achèvement – par comparution à distance, sans la présence physique des personnes. Environ 60 % de la profession s’est donc équipée de systèmes de visioconférence, de clés sécurisées et de logiciels de signature. » Les autorités espèrent ainsi débloquer les quelques 100.000 transactions gelées par la pandémie. Le marché, cependant, n’est pas tout à fait à l’arrêt. 2 secteurs restent actifs : la construction de maisons et le logement de luxe. En effet, longtemps confinés dans de petits appartements payés à prix d’or, les Parisiens vont peut-être reconsidérer leur choix : « 17 % (…) sont partis dans leur résidence secondaire, c’est énorme, juge Pierre Madec, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques. Un tiers d’entre eux, surtout des cadres, télétravaillent et cet épisode pourrait, à terme, leur donner l’idée de quitter le centre, d’habiter en grande couronne, voire plus loin, là où ils pourront s’offrir l’espace extérieur, jardin, terrasse, et pièce de travail qui leur manquent », surtout si le confinement se reproduit par épisodes.
LE MONDE du 08/04/2020 en page 16

COVID-19 - Échéances Urssaf d’avril
Des mesures exceptionnelles pour accompagner les entreprises et chefs d’entreprise.
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