Le « théorème géant » de plus de 15 000 pages, ; Le cerveau qui évacue les stimuli non pertinents en 100 millisecondes, et les voitures électriques qui gagneraient à loger un moteur dans leurs roues.
 
Bonjour ,
 
Cette semaine, dans Pour la Science, le « théorème géant » s’arroge la démonstration la plus longue (plus de 15 000 pages), le cerveau évacue les stimuli non pertinents en 100 millisecondes, et les voitures électriques gagneraient à loger un moteur dans leurs roues.
Bonne lecture !
 
François Lassagne, rédacteur en chef de Pour la Science
 
 
 
À LIRE CETTE SEMAINE
 
 
Par Jean-Paul Delahayeprofesseur émérite à l'Université de Lille et chercheur au centre de recherche en informatique, signal et automatique de Lille (CRISTAL)
 
 
 
Pour s’amuser, provoquer, affirmer leur suprématie ou rendre une démonstration plus abordable, certains chercheurs battent des records.
 
 
Par Mandy Viktoria Bartsch, docteure en neurosciences à l’institut Leibniz de neurobiologie.
 
 
 
Pour trouver un objet parmi une multitude d’autres, notre cerveau doit ignorer le flot d’informations et de sensations sans importance qui nous submergent au même moment. Or, il s’y prend d’une façon totalement différente de ce qu’on imaginait !
 
 
Par Edouard Kierlikprofesseur de physique à Sorbonne Université, au laboratoire de physique théorique de la matière condensée (CNRS, SU) & Jean-Michel Courtyprofesseur de physique à Sorbonne Université, au laboratoire Kastler-Brossel (CNRS, SU, ENS-PSL, CdF)
 
 
 
Grâce à l’électronique et aux nouveaux aimants, on peut imaginer des moteurs électriques d’un nouveau genre et les placer dans les roues des véhicules. Les avantages sont nombreux !
 
 
LES ARTICLES LES PLUS LUS
 
 
Je m'abonne
 
 
L'ARCHIVE
 
 
Il y a 100 ans, en janvier 1923, après une douzaine d’années de débats épineux, l'hafnium est découvert avec certitude et intègre à la 72ème place le tableau périodique imaginé par Dmitri Mendeleïev. La classification périodique, en dépit de son succès, reste, de nos jours encore, un modèle perfectible, comme le montrait le philosophe et historien des sciences Eric Scerri en 2013.
 
 
Par Eric Scerri, maître de conférences en chimie et en histoire et philosophie des sciences à l'Université de Californie à Los Angeles.
 
 
 
La découverte de l'élément 117 a permis 
de remplir le dernier trou dans le tableau 
de Mendeleïev tel que nous le connaissons. 
Mais ce tableau aux propriétés remarquables pourrait présenter des défauts.
 
 
LA REVUE DE PRESSE DE LA RÉDACTION
 
 
2027, 2085… puis l’éternité pour enfouir les déchets nucléaires —
 
 
L’Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs a officiellement demandé au ministère de la Transition énergétique l’autorisation de créer le centre de stockage profond Cigéo et espère une autorisation (par décret) en 2027. S’ensuivraient travaux, autorisation par le parlement… et exploitation en 2085. Notons que le même ministère vient d’engager un plan de lutte contre les « PFAS », pour limiter l’impact de ces polluants fluorés dits « éternels » d’ici à 2027. À vos agendas…
 
 
Humain ? Prouvez-le ! —
 
 
Le cinéaste Werner Herzog et le philosophe Slavoj Žižek s’entretiennent à l’infini sur le site The Infinite Conversation. L’informaticien Giacomo Miceli, à l’origine de cet échange virtuel, entend montrer ainsi à quel point il devient difficile de démêler vrais de faux discours. La designer Maggie Appleton va plus loin encore en suggérant qu’arrive le temps où nous devrons prouver que nous sommes humains – et propose des pistes.
 
 
Dans la tête (et le nez) des fourmis —
 
 
L’observation, par fluorescence, de l’activité des centres nerveux d’une poignée de fourmis génétiquement modifiées par une équipe de l’université Rockfeller, à New York, a mis en évidence les « régions de la panique » de ces insectes sociaux : trois zones cérébrales qui s’activent en réponse à certaines phéromones.
 
 
Les plus vieilles runes —
 
 
Le fuþark – l’alphabet runique – fut créé pour transcrire un dialecte germanique, puis utilisé en Scandinavie. Près du lac Tyrifjord, en Norvège, une équipe du musée de l’Histoire culturelle d’Oslo a découvert une tombe de plus de 1 800 ans contenant des runes, qui pourraient bien être les plus anciennes connues. Aideront-elles à départager les principales hypothèses sur l’origine du fuþark : celles d’une origine étrusco-italique, latine, grecque ou encore punique ?
 
 
 
VIENT DE PARAÎTRE
Pour la Science n°543
 
 Neurones et algorithmes
 
S'abonner
 
NOUVEAU !
Hors-série n°118
 
L'exploration spatiale
 
 
Acheter
 
Thema n°33
 
 
Comment préserver les forêts
 
Acheter
 
 
Cette newsletter vous a été envoyée ?
Si vous souhaitez vous y abonner : c'est ici !
 
 
Facebook
Twitter
Instagram
 
 
Vous avez reçu cet email car vous vous êtes inscrit sur Pour la Science.
Conformément à la Loi Informatique et Libertés du 6 Janvier 1978, vous disposez d'un droit d'accès, de modification et de suppression des données personnelles vous concernant, que vous pouvez exercer à tout moment sur demande.
 
 
 
© 2023 Pour la Science